Les vices du savoir. Essai d'éthique intellectuelle

Sur la bêtise, il y a un optimisme déjà présent dans l'agir épistémique rationaliste de la première partie. Au fond, la bêtise est toujours peu ou prou de la stupidité. Même quand on descend jusqu'à la bêtise du végétal ou du minéral, il ne s'agit que de formes d'esprit assombri, comme dans la monadologie de Leibniz. Quant à la taxinomie des vices, c'est de la philosophie néoclassique. C'est assez original !