Les savoirs professionnels des gens de métiers. Etudes sur le monde du travail dans les sociétés urbaines de l'empire romain
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- Nombre de pages172
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-38050-000-4
- EAN9782380500004
- Date de parution12/02/2020
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurCentre Jean Bérard
Résumé
Par cet ouvrage, le rapport des gens de métier aux savoirs est passé au crible d'une analyse croisée, visant à faire se rencontrer deux traditions de recherche : l'archéologie des techniques, d'une part, et l'histoire économique, d'autre part. Ces deux champs scientifiques ont beaucoup évolué durant le dernier demi siècle : les thèses finleyiennes et leur réfutation partielleont d'abord tenu le rôle d'aiguillon.
La grande controverse entre les écoles "primitiviste" et "moderniste" a stimulé des réflexions fondées aussi bien sur les sources textuelles que sur les vestiges matériels. Alors que Moses I. Finley recourait peu à l'archéologie, quand elle ne lui inspirait pas une méfiance explicite, les fouilles d'ateliers urbains lancées à partir du début des années 1980 contribuèrent à contrebalancer ses idées.
Les chantiers se firent plus nombreux grâce à l'essor des fouilles urbaines, en général, et des opérations de sauvetage, en particulier. Les résultats obtenus invitaient à répondre aux questions soulevées par M. I. Finley et à donner plus d'ampleur à l'histoire des techniques encouragée par Lucien Febvre, puis profondément et durablement théorisée par André Leroy-Gouhran.
La grande controverse entre les écoles "primitiviste" et "moderniste" a stimulé des réflexions fondées aussi bien sur les sources textuelles que sur les vestiges matériels. Alors que Moses I. Finley recourait peu à l'archéologie, quand elle ne lui inspirait pas une méfiance explicite, les fouilles d'ateliers urbains lancées à partir du début des années 1980 contribuèrent à contrebalancer ses idées.
Les chantiers se firent plus nombreux grâce à l'essor des fouilles urbaines, en général, et des opérations de sauvetage, en particulier. Les résultats obtenus invitaient à répondre aux questions soulevées par M. I. Finley et à donner plus d'ampleur à l'histoire des techniques encouragée par Lucien Febvre, puis profondément et durablement théorisée par André Leroy-Gouhran.
Par cet ouvrage, le rapport des gens de métier aux savoirs est passé au crible d'une analyse croisée, visant à faire se rencontrer deux traditions de recherche : l'archéologie des techniques, d'une part, et l'histoire économique, d'autre part. Ces deux champs scientifiques ont beaucoup évolué durant le dernier demi siècle : les thèses finleyiennes et leur réfutation partielleont d'abord tenu le rôle d'aiguillon.
La grande controverse entre les écoles "primitiviste" et "moderniste" a stimulé des réflexions fondées aussi bien sur les sources textuelles que sur les vestiges matériels. Alors que Moses I. Finley recourait peu à l'archéologie, quand elle ne lui inspirait pas une méfiance explicite, les fouilles d'ateliers urbains lancées à partir du début des années 1980 contribuèrent à contrebalancer ses idées.
Les chantiers se firent plus nombreux grâce à l'essor des fouilles urbaines, en général, et des opérations de sauvetage, en particulier. Les résultats obtenus invitaient à répondre aux questions soulevées par M. I. Finley et à donner plus d'ampleur à l'histoire des techniques encouragée par Lucien Febvre, puis profondément et durablement théorisée par André Leroy-Gouhran.
La grande controverse entre les écoles "primitiviste" et "moderniste" a stimulé des réflexions fondées aussi bien sur les sources textuelles que sur les vestiges matériels. Alors que Moses I. Finley recourait peu à l'archéologie, quand elle ne lui inspirait pas une méfiance explicite, les fouilles d'ateliers urbains lancées à partir du début des années 1980 contribuèrent à contrebalancer ses idées.
Les chantiers se firent plus nombreux grâce à l'essor des fouilles urbaines, en général, et des opérations de sauvetage, en particulier. Les résultats obtenus invitaient à répondre aux questions soulevées par M. I. Finley et à donner plus d'ampleur à l'histoire des techniques encouragée par Lucien Febvre, puis profondément et durablement théorisée par André Leroy-Gouhran.