Les savoirs au collège. Discours officiels et discours critiques sur la pédagogie du secondaire
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- Nombre de pages336
- FormatePub
- ISBN2-13-068473-4
- EAN9782130684732
- Date de parution01/01/1999
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille492 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPresses universitaires de France...
Résumé
Quelles que soient les missions de l'École, elles se traduisent toutes, des textes officiels à la classe, par des contenus scolaires. Ce qui réunit les enseignants et les élèves, à travers l'histoire scolaire, c'est essentiellement le savoir. Or, si la pédagogie est au cour de l'École, elle n'occupe pas cette place, ni dans l'histoire, ni dans la sociologie de l'éducation en France. Voilà pourquoi cet ouvrage est consacré aux savoirs (sans oublier les pratiques) de l'enseignement secondaire et, plus particulièrement, du premier cycle, en confrontant les dispositions officielles (instructions, programmes, horaires) au contexte intellectuel et politique du XXe siècle.
On voit alors comment, tout au long de ce temps républicain, s'est déposée une pluralité de références, souvent légitimes, mais qui font tensions aujourd'hui. La difficulté du temps présent consiste, ainsi, à concilier sans doute plus qu'à écarter les principes, à mettre en ordre plutôt qu'à séparer. L'universalisme, l'intellectualisme, le réalisme... se conjuguent désormais avec les particularismes régionaux, le relativisme culturel, le pluralisme...
Et les exigences de l'économie bousculent, sans encore abolir tout à fait, les principes humanistes sur lesquels se fonde notre culture. Pour autant, l'ordonnance culturelle d'aujourd'hui n'est plus celle d'hier.
On voit alors comment, tout au long de ce temps républicain, s'est déposée une pluralité de références, souvent légitimes, mais qui font tensions aujourd'hui. La difficulté du temps présent consiste, ainsi, à concilier sans doute plus qu'à écarter les principes, à mettre en ordre plutôt qu'à séparer. L'universalisme, l'intellectualisme, le réalisme... se conjuguent désormais avec les particularismes régionaux, le relativisme culturel, le pluralisme...
Et les exigences de l'économie bousculent, sans encore abolir tout à fait, les principes humanistes sur lesquels se fonde notre culture. Pour autant, l'ordonnance culturelle d'aujourd'hui n'est plus celle d'hier.
Quelles que soient les missions de l'École, elles se traduisent toutes, des textes officiels à la classe, par des contenus scolaires. Ce qui réunit les enseignants et les élèves, à travers l'histoire scolaire, c'est essentiellement le savoir. Or, si la pédagogie est au cour de l'École, elle n'occupe pas cette place, ni dans l'histoire, ni dans la sociologie de l'éducation en France. Voilà pourquoi cet ouvrage est consacré aux savoirs (sans oublier les pratiques) de l'enseignement secondaire et, plus particulièrement, du premier cycle, en confrontant les dispositions officielles (instructions, programmes, horaires) au contexte intellectuel et politique du XXe siècle.
On voit alors comment, tout au long de ce temps républicain, s'est déposée une pluralité de références, souvent légitimes, mais qui font tensions aujourd'hui. La difficulté du temps présent consiste, ainsi, à concilier sans doute plus qu'à écarter les principes, à mettre en ordre plutôt qu'à séparer. L'universalisme, l'intellectualisme, le réalisme... se conjuguent désormais avec les particularismes régionaux, le relativisme culturel, le pluralisme...
Et les exigences de l'économie bousculent, sans encore abolir tout à fait, les principes humanistes sur lesquels se fonde notre culture. Pour autant, l'ordonnance culturelle d'aujourd'hui n'est plus celle d'hier.
On voit alors comment, tout au long de ce temps républicain, s'est déposée une pluralité de références, souvent légitimes, mais qui font tensions aujourd'hui. La difficulté du temps présent consiste, ainsi, à concilier sans doute plus qu'à écarter les principes, à mettre en ordre plutôt qu'à séparer. L'universalisme, l'intellectualisme, le réalisme... se conjuguent désormais avec les particularismes régionaux, le relativisme culturel, le pluralisme...
Et les exigences de l'économie bousculent, sans encore abolir tout à fait, les principes humanistes sur lesquels se fonde notre culture. Pour autant, l'ordonnance culturelle d'aujourd'hui n'est plus celle d'hier.
