Les Droits de l'âme. Pour une reconnaissance politique de la transcendance
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- Nombre de pages142
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-21309-8
- EAN9782296213098
- Date de parution01/01/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille83 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Soixante ans après les droits de l'homme, les droits de l'âme. Mais avons-nous réellement une âme? Poser publiquement la question semble aujourd'hui déplacé. Ou, du moins, inconvenant: "C'est du ressort de la vie privée!" Dans notre société laïque, l'âme, concept d'origine religieuse, n'a plus droit de cité. De ce fait, la question de la survie après la mort et la question de l'éternité sont bannies des débats publics.
Or, que ce soit la fin de vie, la santé de façon générale, les progrès de la recherche scientifique (neurosciences, biotechnologies, etc.), le rapport entre l'esprit et la matière, le problème des guérisseurs et des médecines complémentaires, la question des sectes et de la laïcité, la justice, la différence entre l'homme et l'animal, etc., tous ces thèmes seront traités différemment selon que l'on reconnaît ou non une existence, ou du moins, une possibilité d'existence, à un principe spirituel spécifique à l'homme.
Le problème est que notre société oublie trop souvent, quand elle ne la méprise pas, ce double aspect de l'âme: à la fois spiritualité (universalité) et personne unique (singularité). La thèse défendue ici est que l'âme, virtualité d'être, non seulement est une question d'intérêt public, mais aussi qu'elle doit se voir accorder des droits, de véritables droits reconnus par la communauté nationale, sinon universelle.
Or, que ce soit la fin de vie, la santé de façon générale, les progrès de la recherche scientifique (neurosciences, biotechnologies, etc.), le rapport entre l'esprit et la matière, le problème des guérisseurs et des médecines complémentaires, la question des sectes et de la laïcité, la justice, la différence entre l'homme et l'animal, etc., tous ces thèmes seront traités différemment selon que l'on reconnaît ou non une existence, ou du moins, une possibilité d'existence, à un principe spirituel spécifique à l'homme.
Le problème est que notre société oublie trop souvent, quand elle ne la méprise pas, ce double aspect de l'âme: à la fois spiritualité (universalité) et personne unique (singularité). La thèse défendue ici est que l'âme, virtualité d'être, non seulement est une question d'intérêt public, mais aussi qu'elle doit se voir accorder des droits, de véritables droits reconnus par la communauté nationale, sinon universelle.
Soixante ans après les droits de l'homme, les droits de l'âme. Mais avons-nous réellement une âme? Poser publiquement la question semble aujourd'hui déplacé. Ou, du moins, inconvenant: "C'est du ressort de la vie privée!" Dans notre société laïque, l'âme, concept d'origine religieuse, n'a plus droit de cité. De ce fait, la question de la survie après la mort et la question de l'éternité sont bannies des débats publics.
Or, que ce soit la fin de vie, la santé de façon générale, les progrès de la recherche scientifique (neurosciences, biotechnologies, etc.), le rapport entre l'esprit et la matière, le problème des guérisseurs et des médecines complémentaires, la question des sectes et de la laïcité, la justice, la différence entre l'homme et l'animal, etc., tous ces thèmes seront traités différemment selon que l'on reconnaît ou non une existence, ou du moins, une possibilité d'existence, à un principe spirituel spécifique à l'homme.
Le problème est que notre société oublie trop souvent, quand elle ne la méprise pas, ce double aspect de l'âme: à la fois spiritualité (universalité) et personne unique (singularité). La thèse défendue ici est que l'âme, virtualité d'être, non seulement est une question d'intérêt public, mais aussi qu'elle doit se voir accorder des droits, de véritables droits reconnus par la communauté nationale, sinon universelle.
Or, que ce soit la fin de vie, la santé de façon générale, les progrès de la recherche scientifique (neurosciences, biotechnologies, etc.), le rapport entre l'esprit et la matière, le problème des guérisseurs et des médecines complémentaires, la question des sectes et de la laïcité, la justice, la différence entre l'homme et l'animal, etc., tous ces thèmes seront traités différemment selon que l'on reconnaît ou non une existence, ou du moins, une possibilité d'existence, à un principe spirituel spécifique à l'homme.
Le problème est que notre société oublie trop souvent, quand elle ne la méprise pas, ce double aspect de l'âme: à la fois spiritualité (universalité) et personne unique (singularité). La thèse défendue ici est que l'âme, virtualité d'être, non seulement est une question d'intérêt public, mais aussi qu'elle doit se voir accorder des droits, de véritables droits reconnus par la communauté nationale, sinon universelle.