Le Marquis de Sade (1740-1814) de ces "historiettes" n'est pas encore l'écrivain sulfureux et violent que célébrera Guillaume Apollinaire au début du 20e Siècle, et plus tard, le Mouvement surréaliste.
Les 120 journées de Sodome. Ou l'Ecole du libertinage
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- FormatMulti-format
- ISBN978-2-37113-004-3
- EAN9782371130043
- Date de parution16/03/2016
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant Mobipocket...
- ÉditeurLes éditions Pulsio
- PréfacierAnnie Le Brun
Résumé
Les Cent Vingt Journées de Sodome, ou l'Ecole du libertinage est la première grande ouvre du marquis de Sade, écrite à la prison de la Bastille en 1785. Telle qu'elle est, l'ouvre ne présente qu'une version inachevée, que l'auteur eût probablement poursuivie s'il ne l'avait perdue en 1789, à moins que, comme l'écrit Michel Delon, elle ne soit " inachevable ", ne pouvant pas " montrer ce qui excède l'imagination ".
Georges Bataille a écrit, dans son essai La Littérature et le Mal : " Personne à moins de rester sourd n'achève les Cent Vingt Journées que malade : le plus malade est bien celui que cette lecture énerve sensuellement ".
Georges Bataille a écrit, dans son essai La Littérature et le Mal : " Personne à moins de rester sourd n'achève les Cent Vingt Journées que malade : le plus malade est bien celui que cette lecture énerve sensuellement ".
Les Cent Vingt Journées de Sodome, ou l'Ecole du libertinage est la première grande ouvre du marquis de Sade, écrite à la prison de la Bastille en 1785. Telle qu'elle est, l'ouvre ne présente qu'une version inachevée, que l'auteur eût probablement poursuivie s'il ne l'avait perdue en 1789, à moins que, comme l'écrit Michel Delon, elle ne soit " inachevable ", ne pouvant pas " montrer ce qui excède l'imagination ".
Georges Bataille a écrit, dans son essai La Littérature et le Mal : " Personne à moins de rester sourd n'achève les Cent Vingt Journées que malade : le plus malade est bien celui que cette lecture énerve sensuellement ".
Georges Bataille a écrit, dans son essai La Littérature et le Mal : " Personne à moins de rester sourd n'achève les Cent Vingt Journées que malade : le plus malade est bien celui que cette lecture énerve sensuellement ".