Le sexe des larmes. Pourquoi les femmes pleurent-elles plus et mieux que les hommes ?

Par : Patrick Lemoine

Formats :

Disponible d'occasion :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages132
  • FormatePub
  • ISBN978-2-221-12029-3
  • EAN9782221120293
  • Date de parution10/03/2011
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • ÉditeurRobert Laffont

Résumé

Depuis qu'Hippocrate et ses disciples ont proclamé " la femme deux fois plus mélancolique que l'homme ", la cause semble définitivement entendue : le chagrin, qu'il s'exprime par les larmes ou se traduise par la maladie, est plus souvent l'apanage du beau sexe que celui du sexe dit fort. D'autant que, circonstance aggravante, les très actuelles déesses Science, Médecine et Épidémiologie, font chorus : la femme, bien plus que l'homme, est soumise aux pressions de son milieu intérieur (température, hormones...) et du milieu ambiant (famille, collègues, saisons, sexisme...).
Depuis la nuit des temps, la femme qui souffre communique elle parle, écrit, se pâme ou alors, elle pleure. L'homme, quant à lui, dissimule son chagrin : il construit, frappe, picole ou s'enfuit. Génétiques, sociales, psychologiques, culturelles, physiologiques, historiques, les larmes des femmes illustrent à leur manière l'aventure éternelle du dialogue entre les sexes. Pourtant les hommes du troisième millénaire semblent de moins en moins craindre de montrer leurs larmes...
Et les femmes d'agir. Bientôt, sans doute, en Occident, les larmes seront-elles mixtes...
Depuis qu'Hippocrate et ses disciples ont proclamé " la femme deux fois plus mélancolique que l'homme ", la cause semble définitivement entendue : le chagrin, qu'il s'exprime par les larmes ou se traduise par la maladie, est plus souvent l'apanage du beau sexe que celui du sexe dit fort. D'autant que, circonstance aggravante, les très actuelles déesses Science, Médecine et Épidémiologie, font chorus : la femme, bien plus que l'homme, est soumise aux pressions de son milieu intérieur (température, hormones...) et du milieu ambiant (famille, collègues, saisons, sexisme...).
Depuis la nuit des temps, la femme qui souffre communique elle parle, écrit, se pâme ou alors, elle pleure. L'homme, quant à lui, dissimule son chagrin : il construit, frappe, picole ou s'enfuit. Génétiques, sociales, psychologiques, culturelles, physiologiques, historiques, les larmes des femmes illustrent à leur manière l'aventure éternelle du dialogue entre les sexes. Pourtant les hommes du troisième millénaire semblent de moins en moins craindre de montrer leurs larmes...
Et les femmes d'agir. Bientôt, sans doute, en Occident, les larmes seront-elles mixtes...
Et la fidélité, bordel !
Patrick Lemoine
E-book
14,99 €