La vie quotidienne en Egypte au temps des Khédives. 1863-1914
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- Nombre de pages252
- FormatPDF
- ISBN2-296-37177-9
- EAN9782296371774
- Date de parution01/01/1999
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille148 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La période qui s'étend de 1863 à 1914 et au cours de laquelle ont régné trois khédives en Egypte, se caractérise par les perturbations et les crises qui secouent directement ou indirectement la contrée. L'intrusion des normes de la civilisation occidentale dans un monde figé depuis des siècles brise un mode de vie que beaucoup croyaient immuable. En moins d'un demi-siècle, les Egyptiens ont vécu l'aventure du Canal de Suez, l'installation des Tribunaux Mixtes, l'ouverture de la Bourse et l'occupation britannique.
Ils ont connu les prémisses de l'urbanisation, l'eau courante, le gaz et l'électricité. Ils ont participé aux débuts de la grande industrie et de la grande distribution. Les écoles de l'Etat d'inspiration occidentale introduisent l'esprit scientifique là où la mémorisation tenait lieu de savoir. L'instruction des jeunes filles cesse d'être un tabou. Les collèges étrangers (nombreux) deviennent les phares de la formation moderne.
Une presse dynamique porte au loin les idées nouvelles pas toujours bien assimilées... Les étrangers établis en nombre sur les bords du Nil, attirés par les khédives en vue de moderniser le pays, jouissent d'un statut exceptionnel. Les privilèges juridiques et fiscaux qui leur sont octroyés indisposent les autochtones. Les émeutes qui éclatent sporadiquement témoignent de leur frustration. L'occupation anglaise vient cristalliser leur aversion de l'étranger.
Les grands mouvements internes qui affectent peu ou prou tous les niveaux sociaux forment la trame de l'ouvrage que nous présentons ici.
Ils ont connu les prémisses de l'urbanisation, l'eau courante, le gaz et l'électricité. Ils ont participé aux débuts de la grande industrie et de la grande distribution. Les écoles de l'Etat d'inspiration occidentale introduisent l'esprit scientifique là où la mémorisation tenait lieu de savoir. L'instruction des jeunes filles cesse d'être un tabou. Les collèges étrangers (nombreux) deviennent les phares de la formation moderne.
Une presse dynamique porte au loin les idées nouvelles pas toujours bien assimilées... Les étrangers établis en nombre sur les bords du Nil, attirés par les khédives en vue de moderniser le pays, jouissent d'un statut exceptionnel. Les privilèges juridiques et fiscaux qui leur sont octroyés indisposent les autochtones. Les émeutes qui éclatent sporadiquement témoignent de leur frustration. L'occupation anglaise vient cristalliser leur aversion de l'étranger.
Les grands mouvements internes qui affectent peu ou prou tous les niveaux sociaux forment la trame de l'ouvrage que nous présentons ici.
La période qui s'étend de 1863 à 1914 et au cours de laquelle ont régné trois khédives en Egypte, se caractérise par les perturbations et les crises qui secouent directement ou indirectement la contrée. L'intrusion des normes de la civilisation occidentale dans un monde figé depuis des siècles brise un mode de vie que beaucoup croyaient immuable. En moins d'un demi-siècle, les Egyptiens ont vécu l'aventure du Canal de Suez, l'installation des Tribunaux Mixtes, l'ouverture de la Bourse et l'occupation britannique.
Ils ont connu les prémisses de l'urbanisation, l'eau courante, le gaz et l'électricité. Ils ont participé aux débuts de la grande industrie et de la grande distribution. Les écoles de l'Etat d'inspiration occidentale introduisent l'esprit scientifique là où la mémorisation tenait lieu de savoir. L'instruction des jeunes filles cesse d'être un tabou. Les collèges étrangers (nombreux) deviennent les phares de la formation moderne.
Une presse dynamique porte au loin les idées nouvelles pas toujours bien assimilées... Les étrangers établis en nombre sur les bords du Nil, attirés par les khédives en vue de moderniser le pays, jouissent d'un statut exceptionnel. Les privilèges juridiques et fiscaux qui leur sont octroyés indisposent les autochtones. Les émeutes qui éclatent sporadiquement témoignent de leur frustration. L'occupation anglaise vient cristalliser leur aversion de l'étranger.
Les grands mouvements internes qui affectent peu ou prou tous les niveaux sociaux forment la trame de l'ouvrage que nous présentons ici.
Ils ont connu les prémisses de l'urbanisation, l'eau courante, le gaz et l'électricité. Ils ont participé aux débuts de la grande industrie et de la grande distribution. Les écoles de l'Etat d'inspiration occidentale introduisent l'esprit scientifique là où la mémorisation tenait lieu de savoir. L'instruction des jeunes filles cesse d'être un tabou. Les collèges étrangers (nombreux) deviennent les phares de la formation moderne.
Une presse dynamique porte au loin les idées nouvelles pas toujours bien assimilées... Les étrangers établis en nombre sur les bords du Nil, attirés par les khédives en vue de moderniser le pays, jouissent d'un statut exceptionnel. Les privilèges juridiques et fiscaux qui leur sont octroyés indisposent les autochtones. Les émeutes qui éclatent sporadiquement témoignent de leur frustration. L'occupation anglaise vient cristalliser leur aversion de l'étranger.
Les grands mouvements internes qui affectent peu ou prou tous les niveaux sociaux forment la trame de l'ouvrage que nous présentons ici.