Nouveauté

La vie meurtrière

Par : Félix Vallotton
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  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-38442-553-2
  • EAN9782384425532
  • Date de parution26/08/2025
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurLa Gibecière à Mots

Résumé

Félix Vallotton (1865-1925) "Je n'ai, bien entendu, de ma naissance et des circonstances qui l'accompagnèrent, aucun souvenir, et ma mémoire n'a rien gardé des phases d'un événement qui dut se passer sans gloire, et, comme on pense, dans la plus stricte intimité. Le seul témoin qui me resta de cette époque fut une photographie de mes parents, représentés tous deux en costumes surannés, la main dans la main, avec, aux yeux, un regard naïf de bonheur rengorgé ; elle avait été faite, en signe d'orgueil, peu de jours après ma venue, et le cliché en était détruit.
Je l'avais moi-même décrochée du mur paternel, déjà jaunie, et je lui vouais un respect et des soins tout particuliers. Qu'est-elle devenue ? Je l'aimais sans doute avec exagération, car je l'ai si bien cachée un jour, que jamais plus je ne l'ai retrouvée. De ma toute première enfance, je ne sus rien que par des ouï-dire. Ma mère prétendait que j'étais beau, et mon père que j'étais intelligent.
J'étais, au dire de chacun, le portrait vivant de l'autre, et même une certaine tante Florence dont la forme rabougrie et le masque jaune me reviennent parfois, affirmait non seulement que je ressemblais à tous les deux, mais encore à mon grand-père Aubert qu'elle avait connu dans sa jeunesse, et, de plus, à sa propre sour à elle, une vieille fille un peu simple, qui n'avait vraiment rien à voir dans cette affaire. Bref, je ressemblais à tout le monde.
J'espère pour le monde n'avoir pas continué." Jacque Verdier s'est suicidé... Chez lui la police trouve un manuscrit. Ce sont ses confessions où il explique qu'il semble maudit : Autour de lui, les accidents, maladies et morts s'accumulent de manière inexplicable...
Félix Vallotton (1865-1925) "Je n'ai, bien entendu, de ma naissance et des circonstances qui l'accompagnèrent, aucun souvenir, et ma mémoire n'a rien gardé des phases d'un événement qui dut se passer sans gloire, et, comme on pense, dans la plus stricte intimité. Le seul témoin qui me resta de cette époque fut une photographie de mes parents, représentés tous deux en costumes surannés, la main dans la main, avec, aux yeux, un regard naïf de bonheur rengorgé ; elle avait été faite, en signe d'orgueil, peu de jours après ma venue, et le cliché en était détruit.
Je l'avais moi-même décrochée du mur paternel, déjà jaunie, et je lui vouais un respect et des soins tout particuliers. Qu'est-elle devenue ? Je l'aimais sans doute avec exagération, car je l'ai si bien cachée un jour, que jamais plus je ne l'ai retrouvée. De ma toute première enfance, je ne sus rien que par des ouï-dire. Ma mère prétendait que j'étais beau, et mon père que j'étais intelligent.
J'étais, au dire de chacun, le portrait vivant de l'autre, et même une certaine tante Florence dont la forme rabougrie et le masque jaune me reviennent parfois, affirmait non seulement que je ressemblais à tous les deux, mais encore à mon grand-père Aubert qu'elle avait connu dans sa jeunesse, et, de plus, à sa propre sour à elle, une vieille fille un peu simple, qui n'avait vraiment rien à voir dans cette affaire. Bref, je ressemblais à tout le monde.
J'espère pour le monde n'avoir pas continué." Jacque Verdier s'est suicidé... Chez lui la police trouve un manuscrit. Ce sont ses confessions où il explique qu'il semble maudit : Autour de lui, les accidents, maladies et morts s'accumulent de manière inexplicable...
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