Prix Nobel de Littérature.
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- Nombre de pages164
- FormatePub
- ISBN979-10-392-0281-7
- EAN9791039202817
- Date de parution23/02/2023
- Copier Coller02 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurARCHIPOCHE
- PréfacierAndré Gide
- PréfacierOctave Mirbeau
- TraducteurGeorges Sautreau
Résumé
L'errance physique et mentale d'un jeune écrivain torturé par la faim et par la misère dans la capitale norvégienne... La Faim (1890), récit initiatique et semi-autobiographique le plus célèbre de Knut Hamsun, prix Nobel de littérature 1920, a eu une influence considérable sur la littérature du XX e siècle. Avant-propos d'Octave Mirbeau. Préface d'André Gide.
Un jeune homme pauvre erre dans les rues de Christiania, la capitale norvégienne.
Parfois, pour quelques pièces, un journal achète les articles qu'il rédige à grand-peine. Mais la faim le torture et brouille sa conscience, la recherche d'un gîte hante ses jours et ses nuits. Ses seuls biens, l'un après l'autre, rejoignent le mont-de-piété, jusqu'aux boutons de sa jaquette. Et sa raison part en lambeaux. Il apostrophe les passants, alterne les phases d'abattement, de colère et d'exaltation ; mais, par absurde fierté, se refuse au vol et à la mendicité.
Parvenu à " la complète folie de la faim ", il en vient à sucer des cailloux, à ronger des os. Et toujours, au comble du désespoir, un miracle ajourne sa fin, prolonge son supplice. Où est l'issue de ce labyrinthe ? Celle qu'il appelle Ylajali l'y guidera-t-elle ? Nul avant Knut Hamsun n'était sorti de la misère pour la raconter, à la première personne, sous la forme à peine déguisée d'un roman.
Plus que la faim, fidèle compagne de son héros, " les troubles intellectuels et les déformations morales " qu'elle entraîne sont le sujet de ce livre halluciné dont André Gide, à la veille de sa mort, n'avait pas oublié le choc qu'il produisit en 1895, lors de sa révélation au public français.
Parfois, pour quelques pièces, un journal achète les articles qu'il rédige à grand-peine. Mais la faim le torture et brouille sa conscience, la recherche d'un gîte hante ses jours et ses nuits. Ses seuls biens, l'un après l'autre, rejoignent le mont-de-piété, jusqu'aux boutons de sa jaquette. Et sa raison part en lambeaux. Il apostrophe les passants, alterne les phases d'abattement, de colère et d'exaltation ; mais, par absurde fierté, se refuse au vol et à la mendicité.
Parvenu à " la complète folie de la faim ", il en vient à sucer des cailloux, à ronger des os. Et toujours, au comble du désespoir, un miracle ajourne sa fin, prolonge son supplice. Où est l'issue de ce labyrinthe ? Celle qu'il appelle Ylajali l'y guidera-t-elle ? Nul avant Knut Hamsun n'était sorti de la misère pour la raconter, à la première personne, sous la forme à peine déguisée d'un roman.
Plus que la faim, fidèle compagne de son héros, " les troubles intellectuels et les déformations morales " qu'elle entraîne sont le sujet de ce livre halluciné dont André Gide, à la veille de sa mort, n'avait pas oublié le choc qu'il produisit en 1895, lors de sa révélation au public français.
L'errance physique et mentale d'un jeune écrivain torturé par la faim et par la misère dans la capitale norvégienne... La Faim (1890), récit initiatique et semi-autobiographique le plus célèbre de Knut Hamsun, prix Nobel de littérature 1920, a eu une influence considérable sur la littérature du XX e siècle. Avant-propos d'Octave Mirbeau. Préface d'André Gide.
Un jeune homme pauvre erre dans les rues de Christiania, la capitale norvégienne.
Parfois, pour quelques pièces, un journal achète les articles qu'il rédige à grand-peine. Mais la faim le torture et brouille sa conscience, la recherche d'un gîte hante ses jours et ses nuits. Ses seuls biens, l'un après l'autre, rejoignent le mont-de-piété, jusqu'aux boutons de sa jaquette. Et sa raison part en lambeaux. Il apostrophe les passants, alterne les phases d'abattement, de colère et d'exaltation ; mais, par absurde fierté, se refuse au vol et à la mendicité.
Parvenu à " la complète folie de la faim ", il en vient à sucer des cailloux, à ronger des os. Et toujours, au comble du désespoir, un miracle ajourne sa fin, prolonge son supplice. Où est l'issue de ce labyrinthe ? Celle qu'il appelle Ylajali l'y guidera-t-elle ? Nul avant Knut Hamsun n'était sorti de la misère pour la raconter, à la première personne, sous la forme à peine déguisée d'un roman.
Plus que la faim, fidèle compagne de son héros, " les troubles intellectuels et les déformations morales " qu'elle entraîne sont le sujet de ce livre halluciné dont André Gide, à la veille de sa mort, n'avait pas oublié le choc qu'il produisit en 1895, lors de sa révélation au public français.
Parfois, pour quelques pièces, un journal achète les articles qu'il rédige à grand-peine. Mais la faim le torture et brouille sa conscience, la recherche d'un gîte hante ses jours et ses nuits. Ses seuls biens, l'un après l'autre, rejoignent le mont-de-piété, jusqu'aux boutons de sa jaquette. Et sa raison part en lambeaux. Il apostrophe les passants, alterne les phases d'abattement, de colère et d'exaltation ; mais, par absurde fierté, se refuse au vol et à la mendicité.
Parvenu à " la complète folie de la faim ", il en vient à sucer des cailloux, à ronger des os. Et toujours, au comble du désespoir, un miracle ajourne sa fin, prolonge son supplice. Où est l'issue de ce labyrinthe ? Celle qu'il appelle Ylajali l'y guidera-t-elle ? Nul avant Knut Hamsun n'était sorti de la misère pour la raconter, à la première personne, sous la forme à peine déguisée d'un roman.
Plus que la faim, fidèle compagne de son héros, " les troubles intellectuels et les déformations morales " qu'elle entraîne sont le sujet de ce livre halluciné dont André Gide, à la veille de sa mort, n'avait pas oublié le choc qu'il produisit en 1895, lors de sa révélation au public français.
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