L'internationalisation du capital. Éléments critiques
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- Nombre de pages232
- FormatPDF
- ISBN2-348-03500-6
- EAN9782348035005
- Date de parution01/01/1975
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille81 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurLa Découverte (réédition numériq...
Résumé
Qu'est-ce que l'internationalisation du capital ?
L'extension géographique, spatiale (l'internationalisation), du rapport social qu'est le capital. Christian Palloix, dans cet ouvrage, ne se contente pas de saisir les formes de cette extension. Il propose une méthodologie, des concepts qui permettent de rendre compte du mouvement du capital, comme rapport social, qui permettent de rendre compte de la lutte qui oppose les classes sociales dans le partage entre travail nécessaire (prolétariat et alliés : paysannerie) et surtravail (approprié par les capitalistes et alliés), partage qui reçoit une sanction de plus en plus située au plan mondial.
L'internationalisation n'est pas une donnée préétablie, ce n'est que la tendance de plus en plus accélérée du mouvement du capital (tendance qui peut connaître des phases de recul, comme la phase historique qui suit la grande crise de 1929-1930). Le mouvement d'internationalisation qui affecte les branches industrielles, qui affecte donc la mise en valeur des capitaux individuels engagés dans ces branches (pour ce qui nous concerne ici, la sidérurgie et les industries mécaniques et électriques pour l'essentiel), n'est que la concrétisation du mouvement d'internationalisation du capital, du mouvement d'internationalisation qui affecte le partage entre travail nécessaire et surtravail, du mouvement d'internationalisation de la lutte qui s'engage entre les classes nanties et les masses exploitées. L'appréhension plus concrète de l'internationalisation (comme double tendance à l'unification - différenciation des conditions de production et d'échange) qui régit les branches industrielles et financières - telles que la sidérurgie et les industries mécaniques - exige au préalable que soient fournis des éléments de l'économie politique de l'internationalisation du capital, ainsi que l'énoncé critique de la prétention à l'autonomisation du capital (qui veut se réifier), hors de tout contexte de lutte de classes.
Le développement inégal, la lutte de classes sont les phénomènes centraux livrés par l'économie politique de l'internationalisation du capital et sa critique, avec mise en cause du découpage devenu traditionnel de l'économie mondiale capitaliste entre un « centre », et sa « périphérie », avec mise en cause de la récupération économiste du concept de « sous-développement ».
L'internationalisation n'est pas une donnée préétablie, ce n'est que la tendance de plus en plus accélérée du mouvement du capital (tendance qui peut connaître des phases de recul, comme la phase historique qui suit la grande crise de 1929-1930). Le mouvement d'internationalisation qui affecte les branches industrielles, qui affecte donc la mise en valeur des capitaux individuels engagés dans ces branches (pour ce qui nous concerne ici, la sidérurgie et les industries mécaniques et électriques pour l'essentiel), n'est que la concrétisation du mouvement d'internationalisation du capital, du mouvement d'internationalisation qui affecte le partage entre travail nécessaire et surtravail, du mouvement d'internationalisation de la lutte qui s'engage entre les classes nanties et les masses exploitées. L'appréhension plus concrète de l'internationalisation (comme double tendance à l'unification - différenciation des conditions de production et d'échange) qui régit les branches industrielles et financières - telles que la sidérurgie et les industries mécaniques - exige au préalable que soient fournis des éléments de l'économie politique de l'internationalisation du capital, ainsi que l'énoncé critique de la prétention à l'autonomisation du capital (qui veut se réifier), hors de tout contexte de lutte de classes.
Le développement inégal, la lutte de classes sont les phénomènes centraux livrés par l'économie politique de l'internationalisation du capital et sa critique, avec mise en cause du découpage devenu traditionnel de l'économie mondiale capitaliste entre un « centre », et sa « périphérie », avec mise en cause de la récupération économiste du concept de « sous-développement ».
Qu'est-ce que l'internationalisation du capital ?
L'extension géographique, spatiale (l'internationalisation), du rapport social qu'est le capital. Christian Palloix, dans cet ouvrage, ne se contente pas de saisir les formes de cette extension. Il propose une méthodologie, des concepts qui permettent de rendre compte du mouvement du capital, comme rapport social, qui permettent de rendre compte de la lutte qui oppose les classes sociales dans le partage entre travail nécessaire (prolétariat et alliés : paysannerie) et surtravail (approprié par les capitalistes et alliés), partage qui reçoit une sanction de plus en plus située au plan mondial.
L'internationalisation n'est pas une donnée préétablie, ce n'est que la tendance de plus en plus accélérée du mouvement du capital (tendance qui peut connaître des phases de recul, comme la phase historique qui suit la grande crise de 1929-1930). Le mouvement d'internationalisation qui affecte les branches industrielles, qui affecte donc la mise en valeur des capitaux individuels engagés dans ces branches (pour ce qui nous concerne ici, la sidérurgie et les industries mécaniques et électriques pour l'essentiel), n'est que la concrétisation du mouvement d'internationalisation du capital, du mouvement d'internationalisation qui affecte le partage entre travail nécessaire et surtravail, du mouvement d'internationalisation de la lutte qui s'engage entre les classes nanties et les masses exploitées. L'appréhension plus concrète de l'internationalisation (comme double tendance à l'unification - différenciation des conditions de production et d'échange) qui régit les branches industrielles et financières - telles que la sidérurgie et les industries mécaniques - exige au préalable que soient fournis des éléments de l'économie politique de l'internationalisation du capital, ainsi que l'énoncé critique de la prétention à l'autonomisation du capital (qui veut se réifier), hors de tout contexte de lutte de classes.
Le développement inégal, la lutte de classes sont les phénomènes centraux livrés par l'économie politique de l'internationalisation du capital et sa critique, avec mise en cause du découpage devenu traditionnel de l'économie mondiale capitaliste entre un « centre », et sa « périphérie », avec mise en cause de la récupération économiste du concept de « sous-développement ».
L'internationalisation n'est pas une donnée préétablie, ce n'est que la tendance de plus en plus accélérée du mouvement du capital (tendance qui peut connaître des phases de recul, comme la phase historique qui suit la grande crise de 1929-1930). Le mouvement d'internationalisation qui affecte les branches industrielles, qui affecte donc la mise en valeur des capitaux individuels engagés dans ces branches (pour ce qui nous concerne ici, la sidérurgie et les industries mécaniques et électriques pour l'essentiel), n'est que la concrétisation du mouvement d'internationalisation du capital, du mouvement d'internationalisation qui affecte le partage entre travail nécessaire et surtravail, du mouvement d'internationalisation de la lutte qui s'engage entre les classes nanties et les masses exploitées. L'appréhension plus concrète de l'internationalisation (comme double tendance à l'unification - différenciation des conditions de production et d'échange) qui régit les branches industrielles et financières - telles que la sidérurgie et les industries mécaniques - exige au préalable que soient fournis des éléments de l'économie politique de l'internationalisation du capital, ainsi que l'énoncé critique de la prétention à l'autonomisation du capital (qui veut se réifier), hors de tout contexte de lutte de classes.
Le développement inégal, la lutte de classes sont les phénomènes centraux livrés par l'économie politique de l'internationalisation du capital et sa critique, avec mise en cause du découpage devenu traditionnel de l'économie mondiale capitaliste entre un « centre », et sa « périphérie », avec mise en cause de la récupération économiste du concept de « sous-développement ».