L'homme égaré
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- Nombre de pages356
- FormatePub
- ISBN2-259-28477-9
- EAN9782259284776
- Date de parution01/01/1953
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille563 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPlon (réédition numérique FeniXX...
Résumé
Claude Jamet est né en 1910, à Paris. Il est Normalien. Son ouvre littéraire - qu'il a menée de pair avec une carrière journalistique bien remplie - se divise jusqu'ici en essais littéraires, comme Images de la littérature, Images mêlées, Engagements, et en « journaux », comme Carnets de déroute, Fifi-Roi (qui lui a valu le Prix Silvio-Pellico), et Journal très intime. L'Homme égaré est son premier roman.
Il emprunte d'ailleurs, lui-même, la forme du journal intime imaginaire. Michel, veuf à trente ans, devient - pendant la guerre - l'amant de Mona, dont le mari est prisonnier. Elle s'installe chez lui mais, très vite, il apparaît à Michel que leur attachement est purement sensuel, ce qui l'incite à renouer avec une de ses anciennes élèves. Après avoir rompu avec Mona, il épouse Madeleine. Mais l'amour fervent, un peu humble, un peu « popotte » de Madeleine, le pousse à rechercher - auprès de Mona - des joies plus ardentes.
Comment Michel se délivrera-t-il de cet imbroglio ? Ce qui fait l'originalité de ce roman psychologique, c'est que l'analyse des « mouvements du cour » de son héros, partagé entre le souvenir d'une morte et l'amour antagoniste qui l'attache à deux femmes profondément différentes, est menée de façon toujours attachante, sous la forme de notations justes, sensibles, profondes et, ce qui ne gâte rien, empreintes de l'humour le plus subtil, que soulignent à merveille une langue nerveuse, pleine de trouvailles, et un style tout à la fois familier et brillant.
Il emprunte d'ailleurs, lui-même, la forme du journal intime imaginaire. Michel, veuf à trente ans, devient - pendant la guerre - l'amant de Mona, dont le mari est prisonnier. Elle s'installe chez lui mais, très vite, il apparaît à Michel que leur attachement est purement sensuel, ce qui l'incite à renouer avec une de ses anciennes élèves. Après avoir rompu avec Mona, il épouse Madeleine. Mais l'amour fervent, un peu humble, un peu « popotte » de Madeleine, le pousse à rechercher - auprès de Mona - des joies plus ardentes.
Comment Michel se délivrera-t-il de cet imbroglio ? Ce qui fait l'originalité de ce roman psychologique, c'est que l'analyse des « mouvements du cour » de son héros, partagé entre le souvenir d'une morte et l'amour antagoniste qui l'attache à deux femmes profondément différentes, est menée de façon toujours attachante, sous la forme de notations justes, sensibles, profondes et, ce qui ne gâte rien, empreintes de l'humour le plus subtil, que soulignent à merveille une langue nerveuse, pleine de trouvailles, et un style tout à la fois familier et brillant.
Claude Jamet est né en 1910, à Paris. Il est Normalien. Son ouvre littéraire - qu'il a menée de pair avec une carrière journalistique bien remplie - se divise jusqu'ici en essais littéraires, comme Images de la littérature, Images mêlées, Engagements, et en « journaux », comme Carnets de déroute, Fifi-Roi (qui lui a valu le Prix Silvio-Pellico), et Journal très intime. L'Homme égaré est son premier roman.
Il emprunte d'ailleurs, lui-même, la forme du journal intime imaginaire. Michel, veuf à trente ans, devient - pendant la guerre - l'amant de Mona, dont le mari est prisonnier. Elle s'installe chez lui mais, très vite, il apparaît à Michel que leur attachement est purement sensuel, ce qui l'incite à renouer avec une de ses anciennes élèves. Après avoir rompu avec Mona, il épouse Madeleine. Mais l'amour fervent, un peu humble, un peu « popotte » de Madeleine, le pousse à rechercher - auprès de Mona - des joies plus ardentes.
Comment Michel se délivrera-t-il de cet imbroglio ? Ce qui fait l'originalité de ce roman psychologique, c'est que l'analyse des « mouvements du cour » de son héros, partagé entre le souvenir d'une morte et l'amour antagoniste qui l'attache à deux femmes profondément différentes, est menée de façon toujours attachante, sous la forme de notations justes, sensibles, profondes et, ce qui ne gâte rien, empreintes de l'humour le plus subtil, que soulignent à merveille une langue nerveuse, pleine de trouvailles, et un style tout à la fois familier et brillant.
Il emprunte d'ailleurs, lui-même, la forme du journal intime imaginaire. Michel, veuf à trente ans, devient - pendant la guerre - l'amant de Mona, dont le mari est prisonnier. Elle s'installe chez lui mais, très vite, il apparaît à Michel que leur attachement est purement sensuel, ce qui l'incite à renouer avec une de ses anciennes élèves. Après avoir rompu avec Mona, il épouse Madeleine. Mais l'amour fervent, un peu humble, un peu « popotte » de Madeleine, le pousse à rechercher - auprès de Mona - des joies plus ardentes.
Comment Michel se délivrera-t-il de cet imbroglio ? Ce qui fait l'originalité de ce roman psychologique, c'est que l'analyse des « mouvements du cour » de son héros, partagé entre le souvenir d'une morte et l'amour antagoniste qui l'attache à deux femmes profondément différentes, est menée de façon toujours attachante, sous la forme de notations justes, sensibles, profondes et, ce qui ne gâte rien, empreintes de l'humour le plus subtil, que soulignent à merveille une langue nerveuse, pleine de trouvailles, et un style tout à la fois familier et brillant.