Edgar Poe (1809-1849) commence à écrire en 1829. Considéré comme un poète maudit, ses écrits cauchemardesques et fantastiques sont aujourd'hui considérés comme précurseurs du surréalisme. C'est grâce aux traductions de Charles Baudelaire qu'il est connu en France.
L'Homme des foules. – ou de l'invention de la ville dans la littérature
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- Nombre de pages27
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-8145-5002-5
- EAN9782814550025
- Date de parution19/12/2010
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub sans ...
- ÉditeurPublie.net
Résumé
Nous percevons le monde par les villes que nous habitons. Notre expérience, notre chemin, nous le mesurons par les villes. Et encore par les villes notre découverte du monde lointain.
Cela a une histoire, et elle naît sur la côte Est des États-Unis. Mais elle naît de la ville-emblème du XIXe siècle, la tentatculaire Londres, telle que Dickens aujourd'hui nous la fait voir. Souvenir d'enfance d'un jeune orphelin américain, qui en rapporte ces images de multitude et labyrinthe ?
Ou bien démarche consciente d'un géant de la littérature, cherchant dans l'héritage européen de la littérature de quoi faire rêver ses lecteurs du nouveau monde ?
Mais dans la re-création qu'en fait Baudelaire, c'est tout un travail fin de figures, de silhouettes, de mouvement.
C'est qu'il y a une idée forte : avec l'électricité, avec les besoins du commerce et de l'industrie, et par la seule masse critique du nombre d'habitants, peut vivre 24 eures sur 24. Cela change quoi au rapport de chacun à ses angoisses, à sa filie, à ses rêves ? L'Homme des foules a fait basculer la littérature moderne - allez voir chez Walter Benjamin, ce qu'il en dit. Et il a fait naître Baudelaire à lui-même. C'est la dernière phrase, où l'homme et la ville se confondent : l'homme est un livre, mais un livre qui ne se laisse pas lire.
Qui a lu une fois L'Homme des foules le relira toute sa vie. FB (Lien -> http://www.tierslivre.net)
C'est qu'il y a une idée forte : avec l'électricité, avec les besoins du commerce et de l'industrie, et par la seule masse critique du nombre d'habitants, peut vivre 24 eures sur 24. Cela change quoi au rapport de chacun à ses angoisses, à sa filie, à ses rêves ? L'Homme des foules a fait basculer la littérature moderne - allez voir chez Walter Benjamin, ce qu'il en dit. Et il a fait naître Baudelaire à lui-même. C'est la dernière phrase, où l'homme et la ville se confondent : l'homme est un livre, mais un livre qui ne se laisse pas lire.
Qui a lu une fois L'Homme des foules le relira toute sa vie. FB (Lien -> http://www.tierslivre.net)
Nous percevons le monde par les villes que nous habitons. Notre expérience, notre chemin, nous le mesurons par les villes. Et encore par les villes notre découverte du monde lointain.
Cela a une histoire, et elle naît sur la côte Est des États-Unis. Mais elle naît de la ville-emblème du XIXe siècle, la tentatculaire Londres, telle que Dickens aujourd'hui nous la fait voir. Souvenir d'enfance d'un jeune orphelin américain, qui en rapporte ces images de multitude et labyrinthe ?
Ou bien démarche consciente d'un géant de la littérature, cherchant dans l'héritage européen de la littérature de quoi faire rêver ses lecteurs du nouveau monde ?
Mais dans la re-création qu'en fait Baudelaire, c'est tout un travail fin de figures, de silhouettes, de mouvement.
C'est qu'il y a une idée forte : avec l'électricité, avec les besoins du commerce et de l'industrie, et par la seule masse critique du nombre d'habitants, peut vivre 24 eures sur 24. Cela change quoi au rapport de chacun à ses angoisses, à sa filie, à ses rêves ? L'Homme des foules a fait basculer la littérature moderne - allez voir chez Walter Benjamin, ce qu'il en dit. Et il a fait naître Baudelaire à lui-même. C'est la dernière phrase, où l'homme et la ville se confondent : l'homme est un livre, mais un livre qui ne se laisse pas lire.
Qui a lu une fois L'Homme des foules le relira toute sa vie. FB (Lien -> http://www.tierslivre.net)
C'est qu'il y a une idée forte : avec l'électricité, avec les besoins du commerce et de l'industrie, et par la seule masse critique du nombre d'habitants, peut vivre 24 eures sur 24. Cela change quoi au rapport de chacun à ses angoisses, à sa filie, à ses rêves ? L'Homme des foules a fait basculer la littérature moderne - allez voir chez Walter Benjamin, ce qu'il en dit. Et il a fait naître Baudelaire à lui-même. C'est la dernière phrase, où l'homme et la ville se confondent : l'homme est un livre, mais un livre qui ne se laisse pas lire.
Qui a lu une fois L'Homme des foules le relira toute sa vie. FB (Lien -> http://www.tierslivre.net)