L'expansion occidentale (XIe - XVe siècles). Formes et conséquences, XXXIIIe congrès de la SHMES (Madrid, Casa Velazquez, 23 - 26 mai 2002)
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- Nombre de pages266
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-351-0203-6
- EAN9791035102036
- Date de parution31/01/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurEditions de la Sorbonne
- PréfacierRégine Le Jan
Résumé
Croisade, Reconquête, Drang nach Osten. Autant d'expressions contestées aujourd'hui par les historiens, mais qui n'en expriment pas moins différentes modalités d'un phénomène de grande ampleur : l'expansion occidentale au Moyen Âge. Du XIe à la « première mondialisation » de la fin du XVe siècle, ce vaste mouvement aura poussé pèlerins, marchands et chevaliers des rives de la mer Noire jusqu'aux conquêtes latines de Syrie-Palestine. 
C'est cette histoire passionnée, et souvent obscurcie par les arrière-pensées idéologiques, qu'éclairent les actes du XXXIIIe congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, accueilli en mai 2002 à la Casa Velasquez, à Madrid. Ils permettent de mesurer tout ce qui sépare l'expansion médiévale de la colonisation moderne, dont la péninsule Ibérique fut l'un des premiers acteurs.
Cela se vérifie tant du point de vue des fronts de la conquête, orientés au Moyen Âge vers l'Est et le Nord tout autant que vers le Sud, que du point de vue de ses conséquences territoriales, n'affectant que marginalement le peuplement. L'expansion occidentale ne saurait se réduire, au Moyen Âge, à l'élan inexorable d'États conquérants. Les études réunies ici permettent de restituer ce mouvement historique global dans la diversité de ses acteurs, dans la complexité de ses motivations et dans la variété de ses rythmes.
Il en résulte une compréhension à la fois plus contrastée et plus sûre d'un fait historique qui appartient, qu'on le veuille ou non, au socle de l'identité occidentale.
C'est cette histoire passionnée, et souvent obscurcie par les arrière-pensées idéologiques, qu'éclairent les actes du XXXIIIe congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, accueilli en mai 2002 à la Casa Velasquez, à Madrid. Ils permettent de mesurer tout ce qui sépare l'expansion médiévale de la colonisation moderne, dont la péninsule Ibérique fut l'un des premiers acteurs.
Cela se vérifie tant du point de vue des fronts de la conquête, orientés au Moyen Âge vers l'Est et le Nord tout autant que vers le Sud, que du point de vue de ses conséquences territoriales, n'affectant que marginalement le peuplement. L'expansion occidentale ne saurait se réduire, au Moyen Âge, à l'élan inexorable d'États conquérants. Les études réunies ici permettent de restituer ce mouvement historique global dans la diversité de ses acteurs, dans la complexité de ses motivations et dans la variété de ses rythmes.
Il en résulte une compréhension à la fois plus contrastée et plus sûre d'un fait historique qui appartient, qu'on le veuille ou non, au socle de l'identité occidentale.
Croisade, Reconquête, Drang nach Osten. Autant d'expressions contestées aujourd'hui par les historiens, mais qui n'en expriment pas moins différentes modalités d'un phénomène de grande ampleur : l'expansion occidentale au Moyen Âge. Du XIe à la « première mondialisation » de la fin du XVe siècle, ce vaste mouvement aura poussé pèlerins, marchands et chevaliers des rives de la mer Noire jusqu'aux conquêtes latines de Syrie-Palestine. 
C'est cette histoire passionnée, et souvent obscurcie par les arrière-pensées idéologiques, qu'éclairent les actes du XXXIIIe congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, accueilli en mai 2002 à la Casa Velasquez, à Madrid. Ils permettent de mesurer tout ce qui sépare l'expansion médiévale de la colonisation moderne, dont la péninsule Ibérique fut l'un des premiers acteurs.
Cela se vérifie tant du point de vue des fronts de la conquête, orientés au Moyen Âge vers l'Est et le Nord tout autant que vers le Sud, que du point de vue de ses conséquences territoriales, n'affectant que marginalement le peuplement. L'expansion occidentale ne saurait se réduire, au Moyen Âge, à l'élan inexorable d'États conquérants. Les études réunies ici permettent de restituer ce mouvement historique global dans la diversité de ses acteurs, dans la complexité de ses motivations et dans la variété de ses rythmes.
Il en résulte une compréhension à la fois plus contrastée et plus sûre d'un fait historique qui appartient, qu'on le veuille ou non, au socle de l'identité occidentale.
C'est cette histoire passionnée, et souvent obscurcie par les arrière-pensées idéologiques, qu'éclairent les actes du XXXIIIe congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, accueilli en mai 2002 à la Casa Velasquez, à Madrid. Ils permettent de mesurer tout ce qui sépare l'expansion médiévale de la colonisation moderne, dont la péninsule Ibérique fut l'un des premiers acteurs.
Cela se vérifie tant du point de vue des fronts de la conquête, orientés au Moyen Âge vers l'Est et le Nord tout autant que vers le Sud, que du point de vue de ses conséquences territoriales, n'affectant que marginalement le peuplement. L'expansion occidentale ne saurait se réduire, au Moyen Âge, à l'élan inexorable d'États conquérants. Les études réunies ici permettent de restituer ce mouvement historique global dans la diversité de ses acteurs, dans la complexité de ses motivations et dans la variété de ses rythmes.
Il en résulte une compréhension à la fois plus contrastée et plus sûre d'un fait historique qui appartient, qu'on le veuille ou non, au socle de l'identité occidentale.


















