L'enseignement et les sciences. Les politiques de l'éducation en France au début du XXe siècle

Par : Nicole Hulin

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  • Nombre de pages264
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-23506-9
  • EAN9782296235069
  • Date de parution01/02/2010
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille8 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierDominique Julia

Résumé

Que représente le choc de la guerre de 1914 en matière de politique de l'éducation ? D'une part, afin de prolonger la fraternité née de la guerre et jugeant que l'enseignement doit être un moteur pour la reconstruction du pays, les Compagnons de l'Université nouvelle militent pour l'école unique en supprimant les barrières entre l'enseignement primaire gratuit et l'enseignement secondaire payant. Celle-ci d'objectif démocratique se voudra fondée sur la méritocratie.
D'autre part, est réclamé le retour à la prééminence dans le secondaire des humanités classiques, jugées caractéristiques de " l'esprit français " dans une opposition qui est faite avec " la culture germanique ". Aucune mesure d'ensemble n'est mise en oeuvre pour réaliser l'école unique. Seules des mesures transitoires sont adoptées. La réalisation du deuxième objectif conduit à la suppression de filières spécialisées et l'adoption du principe de l'égalité scientifique, mais le constat des effets néfastes de cette organisation conduit à son abandon au bout de deux décennies.
Au coeur des débats se trouve posée la question du rôle et de la place des sciences dans la formation générale.
Que représente le choc de la guerre de 1914 en matière de politique de l'éducation ? D'une part, afin de prolonger la fraternité née de la guerre et jugeant que l'enseignement doit être un moteur pour la reconstruction du pays, les Compagnons de l'Université nouvelle militent pour l'école unique en supprimant les barrières entre l'enseignement primaire gratuit et l'enseignement secondaire payant. Celle-ci d'objectif démocratique se voudra fondée sur la méritocratie.
D'autre part, est réclamé le retour à la prééminence dans le secondaire des humanités classiques, jugées caractéristiques de " l'esprit français " dans une opposition qui est faite avec " la culture germanique ". Aucune mesure d'ensemble n'est mise en oeuvre pour réaliser l'école unique. Seules des mesures transitoires sont adoptées. La réalisation du deuxième objectif conduit à la suppression de filières spécialisées et l'adoption du principe de l'égalité scientifique, mais le constat des effets néfastes de cette organisation conduit à son abandon au bout de deux décennies.
Au coeur des débats se trouve posée la question du rôle et de la place des sciences dans la formation générale.