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  • Nombre de pages253
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7073-2476-4
  • EAN9782707324764
  • Date de parution04/10/2012
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille655 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurMinuit (Les Editions de)

Résumé

Je m'en vais a obtenu le prix Goncourt en 1999. Ce n'est pas tout de quitter sa femme, encore faut-il aller plus loin. Félix Ferrer part donc faire un tour au pôle Nord où l'attend, depuis un demi-siècle, un trésor enfoui dans la banquise. « Je m'en vais, ce sont les premiers mots prononcés par le héros du roman d'Echenoz, qui vient de décider de quitter sa femme. Ce sont également les derniers mots du livre, émis par ce même héros lorsque, après une année d'errance et d'aventure, le cour brisé, il revient hanter ce qui fut le domicile conjugal.
La boucle est bouclée, la révolution est terminée, la parenthèse se ferme, le héros a simplement un peu vieilli. Il a connu des aventures qu'on dirait palpitantes à cause des dérèglements de son muscle cardiaque, il est allé jusqu'au pôle Nord pour récupérer un trésor d'ancien art esquimau, il a été volé et voleur, escroc et escroqué, séducteur et séduit, il a vécu. Il ne lui en reste qu'un vague malaise et un essoufflement.
De livre en livre, depuis Le Méridien de Greenwich, Jean Echenoz s'est fait le cartographe de son temps. De ses séismes, de ses catastrophes, de son imaginaire, de ses objets, de ses rêves et de sa longue glissade hors du réel : dans les images, dans les fantasmes, dans les rêveries de conquête, dans l'éloignement de soi et des autres. Je m'en vais, c'est aussi la formule d'adieu d'un siècle bien incapable de savoir où il va et qui oublie même de se poser la question.
Il s'en va, c'est tout. » (Pierre Lepape, Le Monde)
Je m'en vais a obtenu le prix Goncourt en 1999. Ce n'est pas tout de quitter sa femme, encore faut-il aller plus loin. Félix Ferrer part donc faire un tour au pôle Nord où l'attend, depuis un demi-siècle, un trésor enfoui dans la banquise. « Je m'en vais, ce sont les premiers mots prononcés par le héros du roman d'Echenoz, qui vient de décider de quitter sa femme. Ce sont également les derniers mots du livre, émis par ce même héros lorsque, après une année d'errance et d'aventure, le cour brisé, il revient hanter ce qui fut le domicile conjugal.
La boucle est bouclée, la révolution est terminée, la parenthèse se ferme, le héros a simplement un peu vieilli. Il a connu des aventures qu'on dirait palpitantes à cause des dérèglements de son muscle cardiaque, il est allé jusqu'au pôle Nord pour récupérer un trésor d'ancien art esquimau, il a été volé et voleur, escroc et escroqué, séducteur et séduit, il a vécu. Il ne lui en reste qu'un vague malaise et un essoufflement.
De livre en livre, depuis Le Méridien de Greenwich, Jean Echenoz s'est fait le cartographe de son temps. De ses séismes, de ses catastrophes, de son imaginaire, de ses objets, de ses rêves et de sa longue glissade hors du réel : dans les images, dans les fantasmes, dans les rêveries de conquête, dans l'éloignement de soi et des autres. Je m'en vais, c'est aussi la formule d'adieu d'un siècle bien incapable de savoir où il va et qui oublie même de se poser la question.
Il s'en va, c'est tout. » (Pierre Lepape, Le Monde)

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.7/5
sur 10 notes dont 1 avis lecteur
Un excellent voyage dans le commerce de l'art
Ferrer est un homme à femmes. Il n'hésite pas à séduire ce qui, à son grand dam, provoque chez lui pas mal de déboires amoureux. Il tient une galerie d'art sur Paris. Son collègue-adjoint lui indique qu'un bateau transportant des objets d'art inuits est bloqué dans les glaces du grand Nord. Peu après lui avoir communiqué cette information, ce collègue décède et Ferrer décide de partir à la conquête des oeuvres d'art enfermées dans la glace. De retour à Paris, les ennuis commencent. Je conseille vivement ce roman à l'écriture vive et réaliste. Le livre se dévore du fait d'une histoire rondement menée.
Ferrer est un homme à femmes. Il n'hésite pas à séduire ce qui, à son grand dam, provoque chez lui pas mal de déboires amoureux. Il tient une galerie d'art sur Paris. Son collègue-adjoint lui indique qu'un bateau transportant des objets d'art inuits est bloqué dans les glaces du grand Nord. Peu après lui avoir communiqué cette information, ce collègue décède et Ferrer décide de partir à la conquête des oeuvres d'art enfermées dans la glace. De retour à Paris, les ennuis commencent. Je conseille vivement ce roman à l'écriture vive et réaliste. Le livre se dévore du fait d'une histoire rondement menée.
  • Drôle
  • Paris
  • Espagne
  • Le grand nord
  • Ferrer
Jean Echenoz
Né le 26 décembre 1947 à Orange dans un milieu familial favorisé, Jean Echenoz suit des études de sociologie et de génie civil dans différentes villes de province avant de décider de s'installer à Paris en 1970. Il collabore quelque temps à l'Humanité et à l'AFP avant de commencer à écrire. Son premier roman "Le méridien de Greenwich" paraît aux Editions de Minuit en 1979. Depuis il est resté fidèle à la maison créée par Jérôme Lindon ; il rédige d'ailleurs un petit opuscule après la disparition de ce dernier en 2001. Y sont notamment publiés "L’Equipée malaise" (1987), "Lac" (1989) "Nous trois" (1992), "Les grandes blondes" (1995), "Au piano" (2003), ou "Des éclairs" (2010), mais aussi "Cherokee" (1983) récompensé par le Prix Fémina, et "Je m'en vais" pour lequel il reçoit le Prix Goncourt en 1999.
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