Iris et Petite - Fumée
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- FormatePub
- ISBN979-10-424-2270-7
- EAN9791042422707
- Date de parution06/01/2024
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille154 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBousquet Joë
Résumé
Bousquet Joë - Iris et Petite-Fumée suivi de Paroles du lépreux sans nom et Retour : Iris et Petite Fumée, est le dialogue d'un médecin et de son patient: dialogue laborieux et tortueux, ponctué de « bruits ». Le malade avait le projet d'écrire un livre « sur l'aimer et le connaître. » Ce projet avorté, le médecin décide de consigner les paroles de son malade. Parlant de lui à la troisième personne, le médecin rappelle Joë Bousquet « simple lecteur de son ouvre ».
Le style de l'ouvre est presque affecté, emprunté. « Le récit d'Iris et Petite-fumée passe bien l'essentiel de son temps à se déguiser [...] rarement Bousquet sera allé aussi loin dans la mise en cause de l'identité du sujet à lui-même. Rien ni personne qui ne diffère ici de soi. [...] [...] Cet hypocrite M. Sureau ne reçoit en effet son docteur chez lui que pour le neutraliser et lui faire oublier le chemin de sa maison : envoûté, le médecin en vient peu à peu à délaisser une épouse dont voilà bientôt la culotte et la combinaison livrées [...] à tous les fantasmes du fétichiste, nécrophile, sadique et voyeur tout à la fois, bref, du pervers M.
Sureau. » (citation et d'après: François Berquin, Hypocrisies de Joë Bourquin, Objet, Presses universitaires du Septentrion, 2000, books.openedition.org) Joë Bousquet, né à Narbonne (Aude) le 19 mars 1897 et mort à Carcassonne (Aude) le 28 septembre 1950 à l'âge de 53 ans, est un poète et écrivain français. Immobilisé à vie par une blessure de guerre le 27 mai 1918, il a composé une ouvre poétique romanesque.
Elle mêle contes, journaux, poèmes, récits, romans, méditations philosophiques, où les mots seuls importent et la pensée impose son rythme. Pendant les 32 années où il vécut dans sa maison de Carcassonne, il reçut les visites des plus grands écrivains et artistes - Paul et Gala Éluard, Max Ernst, Louis Aragon et Elsa Triolet, Simone Weil, André Gide, Gaston Gallimard, Jean Paulhan.
Le style de l'ouvre est presque affecté, emprunté. « Le récit d'Iris et Petite-fumée passe bien l'essentiel de son temps à se déguiser [...] rarement Bousquet sera allé aussi loin dans la mise en cause de l'identité du sujet à lui-même. Rien ni personne qui ne diffère ici de soi. [...] [...] Cet hypocrite M. Sureau ne reçoit en effet son docteur chez lui que pour le neutraliser et lui faire oublier le chemin de sa maison : envoûté, le médecin en vient peu à peu à délaisser une épouse dont voilà bientôt la culotte et la combinaison livrées [...] à tous les fantasmes du fétichiste, nécrophile, sadique et voyeur tout à la fois, bref, du pervers M.
Sureau. » (citation et d'après: François Berquin, Hypocrisies de Joë Bourquin, Objet, Presses universitaires du Septentrion, 2000, books.openedition.org) Joë Bousquet, né à Narbonne (Aude) le 19 mars 1897 et mort à Carcassonne (Aude) le 28 septembre 1950 à l'âge de 53 ans, est un poète et écrivain français. Immobilisé à vie par une blessure de guerre le 27 mai 1918, il a composé une ouvre poétique romanesque.
Elle mêle contes, journaux, poèmes, récits, romans, méditations philosophiques, où les mots seuls importent et la pensée impose son rythme. Pendant les 32 années où il vécut dans sa maison de Carcassonne, il reçut les visites des plus grands écrivains et artistes - Paul et Gala Éluard, Max Ernst, Louis Aragon et Elsa Triolet, Simone Weil, André Gide, Gaston Gallimard, Jean Paulhan.
Bousquet Joë - Iris et Petite-Fumée suivi de Paroles du lépreux sans nom et Retour : Iris et Petite Fumée, est le dialogue d'un médecin et de son patient: dialogue laborieux et tortueux, ponctué de « bruits ». Le malade avait le projet d'écrire un livre « sur l'aimer et le connaître. » Ce projet avorté, le médecin décide de consigner les paroles de son malade. Parlant de lui à la troisième personne, le médecin rappelle Joë Bousquet « simple lecteur de son ouvre ».
Le style de l'ouvre est presque affecté, emprunté. « Le récit d'Iris et Petite-fumée passe bien l'essentiel de son temps à se déguiser [...] rarement Bousquet sera allé aussi loin dans la mise en cause de l'identité du sujet à lui-même. Rien ni personne qui ne diffère ici de soi. [...] [...] Cet hypocrite M. Sureau ne reçoit en effet son docteur chez lui que pour le neutraliser et lui faire oublier le chemin de sa maison : envoûté, le médecin en vient peu à peu à délaisser une épouse dont voilà bientôt la culotte et la combinaison livrées [...] à tous les fantasmes du fétichiste, nécrophile, sadique et voyeur tout à la fois, bref, du pervers M.
Sureau. » (citation et d'après: François Berquin, Hypocrisies de Joë Bourquin, Objet, Presses universitaires du Septentrion, 2000, books.openedition.org) Joë Bousquet, né à Narbonne (Aude) le 19 mars 1897 et mort à Carcassonne (Aude) le 28 septembre 1950 à l'âge de 53 ans, est un poète et écrivain français. Immobilisé à vie par une blessure de guerre le 27 mai 1918, il a composé une ouvre poétique romanesque.
Elle mêle contes, journaux, poèmes, récits, romans, méditations philosophiques, où les mots seuls importent et la pensée impose son rythme. Pendant les 32 années où il vécut dans sa maison de Carcassonne, il reçut les visites des plus grands écrivains et artistes - Paul et Gala Éluard, Max Ernst, Louis Aragon et Elsa Triolet, Simone Weil, André Gide, Gaston Gallimard, Jean Paulhan.
Le style de l'ouvre est presque affecté, emprunté. « Le récit d'Iris et Petite-fumée passe bien l'essentiel de son temps à se déguiser [...] rarement Bousquet sera allé aussi loin dans la mise en cause de l'identité du sujet à lui-même. Rien ni personne qui ne diffère ici de soi. [...] [...] Cet hypocrite M. Sureau ne reçoit en effet son docteur chez lui que pour le neutraliser et lui faire oublier le chemin de sa maison : envoûté, le médecin en vient peu à peu à délaisser une épouse dont voilà bientôt la culotte et la combinaison livrées [...] à tous les fantasmes du fétichiste, nécrophile, sadique et voyeur tout à la fois, bref, du pervers M.
Sureau. » (citation et d'après: François Berquin, Hypocrisies de Joë Bourquin, Objet, Presses universitaires du Septentrion, 2000, books.openedition.org) Joë Bousquet, né à Narbonne (Aude) le 19 mars 1897 et mort à Carcassonne (Aude) le 28 septembre 1950 à l'âge de 53 ans, est un poète et écrivain français. Immobilisé à vie par une blessure de guerre le 27 mai 1918, il a composé une ouvre poétique romanesque.
Elle mêle contes, journaux, poèmes, récits, romans, méditations philosophiques, où les mots seuls importent et la pensée impose son rythme. Pendant les 32 années où il vécut dans sa maison de Carcassonne, il reçut les visites des plus grands écrivains et artistes - Paul et Gala Éluard, Max Ernst, Louis Aragon et Elsa Triolet, Simone Weil, André Gide, Gaston Gallimard, Jean Paulhan.




















