Grammaire du yoruba standard (Nigeria)
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages288
- FormatPDF
- ISBN978-2-8111-1298-1
- EAN9782811112981
- Date de parution12/01/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurKarthala
Résumé
Première description systématique de la grammaire yorùbá en français, cette grammaire n'a pas non plus d'équivalent en anglais. Elle décrit successivement le système phonologique et les mécanismes syntaxiques fondamentaux qui structurent le yorùbá standard parlé au Nigeria, sans négliger certaines formes dialectales. Son auteur, qui a inauguré à l'Inalco (Paris) en 1985 l'enseignement de cette langue et de la culture qui lui est liée, en remarquable pédagogue, conduit le lecteur de façon très progressive du plus simple au plus complexe.
Elle réussit ainsi à satisfaire aussi bien le linguiste que la personne qui souhaite étudier la langue. Le yorùbá, langue de la famille Bénoué-Congo, est parlé par plus de vingt-cinq millions de locuteurs. S'il est dominant au sud-ouest du Nigeria, il est aussi parlé dans une partie de la République du Bénin et du Togo et, suite à une émigration ancienne, dans nombre de pays d'Afrique de l'Ouest. La culture yorùbá, célèbre pour les bronzes d'Ifè, a donné au monde de grands artistes, comme Amos Tutuola, auteur de L'Ivrogne dans la brousse, Wolé Soyinka, prix Nobel de littérature, Fela Anikulapo Ransom Kuti, inventeur de l'afrobeat, etc.
Conséquence de la traite atlantique, elle a essaimé bien au-delà des limites de son espace historique. On connaît le Candomblé du Brésil ou la Santeria de Cuba dont les origines remontent au système de croyances yorùbá que l'on retrouve également au Venezuela et dans les Caraïbes. Présente aux États-Unis depuis les années 1980, une importante diaspora yorùbá s'emploie activement à y diffuser sa culture et sa langue. Michka Sachnine, docteur en linguistique, membre du Centre d'études et de recherche sur les littératures et les oralités du monde (CERLOM), est maître de conférences honoraire à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco, Paris) où elle a développé un cursus complet d'études yorùbá.
On lui doit, outre de nombreux articles, le premier et le seul dictionnaire yorùbá-français (Karthala 1997), ainsi que la traduction annotée et commentée de la pièce d'Akinwumi Isola Une sombre destinée, théâtre yorùbá (Karthala 2003).
Elle réussit ainsi à satisfaire aussi bien le linguiste que la personne qui souhaite étudier la langue. Le yorùbá, langue de la famille Bénoué-Congo, est parlé par plus de vingt-cinq millions de locuteurs. S'il est dominant au sud-ouest du Nigeria, il est aussi parlé dans une partie de la République du Bénin et du Togo et, suite à une émigration ancienne, dans nombre de pays d'Afrique de l'Ouest. La culture yorùbá, célèbre pour les bronzes d'Ifè, a donné au monde de grands artistes, comme Amos Tutuola, auteur de L'Ivrogne dans la brousse, Wolé Soyinka, prix Nobel de littérature, Fela Anikulapo Ransom Kuti, inventeur de l'afrobeat, etc.
Conséquence de la traite atlantique, elle a essaimé bien au-delà des limites de son espace historique. On connaît le Candomblé du Brésil ou la Santeria de Cuba dont les origines remontent au système de croyances yorùbá que l'on retrouve également au Venezuela et dans les Caraïbes. Présente aux États-Unis depuis les années 1980, une importante diaspora yorùbá s'emploie activement à y diffuser sa culture et sa langue. Michka Sachnine, docteur en linguistique, membre du Centre d'études et de recherche sur les littératures et les oralités du monde (CERLOM), est maître de conférences honoraire à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco, Paris) où elle a développé un cursus complet d'études yorùbá.
On lui doit, outre de nombreux articles, le premier et le seul dictionnaire yorùbá-français (Karthala 1997), ainsi que la traduction annotée et commentée de la pièce d'Akinwumi Isola Une sombre destinée, théâtre yorùbá (Karthala 2003).
Première description systématique de la grammaire yorùbá en français, cette grammaire n'a pas non plus d'équivalent en anglais. Elle décrit successivement le système phonologique et les mécanismes syntaxiques fondamentaux qui structurent le yorùbá standard parlé au Nigeria, sans négliger certaines formes dialectales. Son auteur, qui a inauguré à l'Inalco (Paris) en 1985 l'enseignement de cette langue et de la culture qui lui est liée, en remarquable pédagogue, conduit le lecteur de façon très progressive du plus simple au plus complexe.
Elle réussit ainsi à satisfaire aussi bien le linguiste que la personne qui souhaite étudier la langue. Le yorùbá, langue de la famille Bénoué-Congo, est parlé par plus de vingt-cinq millions de locuteurs. S'il est dominant au sud-ouest du Nigeria, il est aussi parlé dans une partie de la République du Bénin et du Togo et, suite à une émigration ancienne, dans nombre de pays d'Afrique de l'Ouest. La culture yorùbá, célèbre pour les bronzes d'Ifè, a donné au monde de grands artistes, comme Amos Tutuola, auteur de L'Ivrogne dans la brousse, Wolé Soyinka, prix Nobel de littérature, Fela Anikulapo Ransom Kuti, inventeur de l'afrobeat, etc.
Conséquence de la traite atlantique, elle a essaimé bien au-delà des limites de son espace historique. On connaît le Candomblé du Brésil ou la Santeria de Cuba dont les origines remontent au système de croyances yorùbá que l'on retrouve également au Venezuela et dans les Caraïbes. Présente aux États-Unis depuis les années 1980, une importante diaspora yorùbá s'emploie activement à y diffuser sa culture et sa langue. Michka Sachnine, docteur en linguistique, membre du Centre d'études et de recherche sur les littératures et les oralités du monde (CERLOM), est maître de conférences honoraire à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco, Paris) où elle a développé un cursus complet d'études yorùbá.
On lui doit, outre de nombreux articles, le premier et le seul dictionnaire yorùbá-français (Karthala 1997), ainsi que la traduction annotée et commentée de la pièce d'Akinwumi Isola Une sombre destinée, théâtre yorùbá (Karthala 2003).
Elle réussit ainsi à satisfaire aussi bien le linguiste que la personne qui souhaite étudier la langue. Le yorùbá, langue de la famille Bénoué-Congo, est parlé par plus de vingt-cinq millions de locuteurs. S'il est dominant au sud-ouest du Nigeria, il est aussi parlé dans une partie de la République du Bénin et du Togo et, suite à une émigration ancienne, dans nombre de pays d'Afrique de l'Ouest. La culture yorùbá, célèbre pour les bronzes d'Ifè, a donné au monde de grands artistes, comme Amos Tutuola, auteur de L'Ivrogne dans la brousse, Wolé Soyinka, prix Nobel de littérature, Fela Anikulapo Ransom Kuti, inventeur de l'afrobeat, etc.
Conséquence de la traite atlantique, elle a essaimé bien au-delà des limites de son espace historique. On connaît le Candomblé du Brésil ou la Santeria de Cuba dont les origines remontent au système de croyances yorùbá que l'on retrouve également au Venezuela et dans les Caraïbes. Présente aux États-Unis depuis les années 1980, une importante diaspora yorùbá s'emploie activement à y diffuser sa culture et sa langue. Michka Sachnine, docteur en linguistique, membre du Centre d'études et de recherche sur les littératures et les oralités du monde (CERLOM), est maître de conférences honoraire à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco, Paris) où elle a développé un cursus complet d'études yorùbá.
On lui doit, outre de nombreux articles, le premier et le seul dictionnaire yorùbá-français (Karthala 1997), ainsi que la traduction annotée et commentée de la pièce d'Akinwumi Isola Une sombre destinée, théâtre yorùbá (Karthala 2003).