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Gouverner l'infiniment petit. Les nanotechnologies à Grenoble et Hambourg
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- Nombre de pages164
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-25304-9
- EAN9782296253049
- Date de parution15/03/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille71 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La littérature sur les nanotechnologies croît constamment depuis la fin des années 1990. Elle déborde le seul champ des sciences de l'ingénieur, des sciences naturelles et de la physique et se caractérise par une ambivalence. La nouvelle révolution industrielle que promettraient ces technologies côtoie les nombreuses inquiétudes au sujet des risques potentiels que les nanotechnologies pourraient faire courir à l'homme, la société et l'environnement.
Le risque intervient au coeur des débats sur les nanotechnologies. Il structure le discours des experts et leur positionnement les uns vis-à-vis des autres sur la base d'une perspective commune : organiser la gouvernance des nanotechnologies et favoriser l'implication de la société civile. Un tel projet de gouvernance collaborative des nanotechnologies est-il possible ? Cette question qui parcourt le débat contemporain sur la régulation des nanotechnologies donne le fil rouge des analyses réunies dans cet ouvrage.
Elles convergent vers un paradoxe : plus il est question de gouvernance des nanotechnologies, moins son caractère collaboratif devient probable.
Le risque intervient au coeur des débats sur les nanotechnologies. Il structure le discours des experts et leur positionnement les uns vis-à-vis des autres sur la base d'une perspective commune : organiser la gouvernance des nanotechnologies et favoriser l'implication de la société civile. Un tel projet de gouvernance collaborative des nanotechnologies est-il possible ? Cette question qui parcourt le débat contemporain sur la régulation des nanotechnologies donne le fil rouge des analyses réunies dans cet ouvrage.
Elles convergent vers un paradoxe : plus il est question de gouvernance des nanotechnologies, moins son caractère collaboratif devient probable.
La littérature sur les nanotechnologies croît constamment depuis la fin des années 1990. Elle déborde le seul champ des sciences de l'ingénieur, des sciences naturelles et de la physique et se caractérise par une ambivalence. La nouvelle révolution industrielle que promettraient ces technologies côtoie les nombreuses inquiétudes au sujet des risques potentiels que les nanotechnologies pourraient faire courir à l'homme, la société et l'environnement.
Le risque intervient au coeur des débats sur les nanotechnologies. Il structure le discours des experts et leur positionnement les uns vis-à-vis des autres sur la base d'une perspective commune : organiser la gouvernance des nanotechnologies et favoriser l'implication de la société civile. Un tel projet de gouvernance collaborative des nanotechnologies est-il possible ? Cette question qui parcourt le débat contemporain sur la régulation des nanotechnologies donne le fil rouge des analyses réunies dans cet ouvrage.
Elles convergent vers un paradoxe : plus il est question de gouvernance des nanotechnologies, moins son caractère collaboratif devient probable.
Le risque intervient au coeur des débats sur les nanotechnologies. Il structure le discours des experts et leur positionnement les uns vis-à-vis des autres sur la base d'une perspective commune : organiser la gouvernance des nanotechnologies et favoriser l'implication de la société civile. Un tel projet de gouvernance collaborative des nanotechnologies est-il possible ? Cette question qui parcourt le débat contemporain sur la régulation des nanotechnologies donne le fil rouge des analyses réunies dans cet ouvrage.
Elles convergent vers un paradoxe : plus il est question de gouvernance des nanotechnologies, moins son caractère collaboratif devient probable.
