Ecrits allemands. Tome 2, Philosophie du droit, philosophie sociale et phénoménologie

Par : Georges Gurvitch

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages378
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-14154-4
  • EAN9782296141544
  • Date de parution01/02/2006
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille16 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • TraducteurChristian Papilloud
  • TraducteurCécile Rol

Résumé

Le second volume des écrits allemands de Georges Gurvitch (1894-1965) comporte les travaux que l'auteur a dédiés à la philosophie du droit, la philosophie sociale ainsi qu'à la phénoménologie qu'il fut l'un des premiers à introduire en France. Il contient une contribution sur le philosophe du droit Otto von Gierke, sur Proudhon, sur le philosophe autrichien du droit Anton Menger et enfin sur Gustav Radbruch.
Hormis ce dernier, tous ces articles paraissent pour la première fois en français. Les contributions que Gurvitch consacre à la philosophie sociale et à la phénoménologie portent sur Edmund Husserl, Emil Lask et Nikolaï Hartmann, deux articles préparant les fameuses Tendances actuelles de la philosophie allemande. Suivent une longue recension commune du Fichte de Xavier Léon et du Hegel de Jean Wahl, inédite en français, ainsi qu'un article sur la philosophie sociale de Karl Krause.
L'ouvrage se termine par un article critique portant sur la théorie de la valeur du philosophe néo-kantien Heinrich Rickert. Ces textes révèlent la permanence des thématiques fichtéennes et plus généralement de la tradition allemande dans les travaux de Gurvitch. Ils attestent également de son effort pour établir une synthèse critique de traditions philosophiques, au profit d'une science de la morale pratique dont il cherchait les sources européennes.
Gurvitch trouvera en France la patrie d'adoption de son projet, mais aussi une terre de débats féroces que l'exacerbation des nationalismes en Europe ne manquera pas d'aiguiser. Marginale, sa présence à l'intérieur du champ socio-philosophique franco-allemand invitera néanmoins à certaines redéfinitions. En témoigne en fin d'ouvrage une collection de matériaux bio-bibliographiques inédits.
Le second volume des écrits allemands de Georges Gurvitch (1894-1965) comporte les travaux que l'auteur a dédiés à la philosophie du droit, la philosophie sociale ainsi qu'à la phénoménologie qu'il fut l'un des premiers à introduire en France. Il contient une contribution sur le philosophe du droit Otto von Gierke, sur Proudhon, sur le philosophe autrichien du droit Anton Menger et enfin sur Gustav Radbruch.
Hormis ce dernier, tous ces articles paraissent pour la première fois en français. Les contributions que Gurvitch consacre à la philosophie sociale et à la phénoménologie portent sur Edmund Husserl, Emil Lask et Nikolaï Hartmann, deux articles préparant les fameuses Tendances actuelles de la philosophie allemande. Suivent une longue recension commune du Fichte de Xavier Léon et du Hegel de Jean Wahl, inédite en français, ainsi qu'un article sur la philosophie sociale de Karl Krause.
L'ouvrage se termine par un article critique portant sur la théorie de la valeur du philosophe néo-kantien Heinrich Rickert. Ces textes révèlent la permanence des thématiques fichtéennes et plus généralement de la tradition allemande dans les travaux de Gurvitch. Ils attestent également de son effort pour établir une synthèse critique de traditions philosophiques, au profit d'une science de la morale pratique dont il cherchait les sources européennes.
Gurvitch trouvera en France la patrie d'adoption de son projet, mais aussi une terre de débats féroces que l'exacerbation des nationalismes en Europe ne manquera pas d'aiguiser. Marginale, sa présence à l'intérieur du champ socio-philosophique franco-allemand invitera néanmoins à certaines redéfinitions. En témoigne en fin d'ouvrage une collection de matériaux bio-bibliographiques inédits.