Emilien Amaury. La véritable histoire d'un patron de presse du XXe siècle
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- Nombre de pages389
- FormatePub
- ISBN978-2-7491-3020-0
- EAN9782749130200
- Date de parution31/10/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLe Cherche Midi
Résumé
Le Parisien libéré, L'Équipe, Carrefour, Marie-France, Ouest-France, Point de vue-Images du monde, Le Courrier de l'Ouest, Le Maine libre... En quelques années de l'après-guerre, Émilien Amaury acquiert, dirige ou participe à la création de ces journaux fondés sur les ruines de la presse collaborationniste. Sorti de l'école à 12 ans, il quitte sa famille. Séduit par son charme et son appétit de vie, Marc Sangnier, ami d'Aristide Briand et de Léon Blum, le prend sous son aile.
Il est successivement adoubé par les administrateurs du journal Le Petit Démocrate, André Arthus-Bertrand, Emmanuel Desgrées du Lou, Raymond Laurent, et crée en 1931, à 22 ans, avec leur soutien, son agence de publicité, l'Office de publicité générale (OPG). Puis éclate la Seconde Guerre mondiale. Le spahi se bat courageusement des Ardennes au passage de la Loire. Il est fait prisonnier, s'évade et rentre à Paris.
Puis il se rend à Vichy. Le budget de la propagande pour la famille lui est confié. Pourtant, à Paris, lui et son groupe de la rue de Lille éditeront " la moitié de la presse clandestine ". Pour Émilien Amaury et ses amis du MRP, la presse ne devait dépendre " ni de la puissance gouvernementale ni des puissances de l'argent " mais Le Parisien libéré, le journal d'Émilien (surnommé désormais Jupiter), se fait le champion du " sang à la une ".
Puis Amaury, le progressiste d'avant guerre qui, avec son ami Pierre-Henri Teitgen et Francisque Gay, a accordé le monopole de l'embauche à la CGT du Livre et son exclusivité syndicale, devient alors son pire ennemi. En 1974, éclate au Parisien le conflit le plus dur que la presse ait jamais connu en France. Il va durer trois ans. Un matin gelé de janvier 1977, Émilien Amaury fait une chute de cheval fatale.
Il a 67 ans. Trente années ont passé, le groupe Philippe Amaury, l'héritier exigeant et réservé, affiche aujourd'hui une bonne santé financière et défend une farouche indépendance. L'auteur, après une longue enquête, a reconstitué l'existence du fondateur, personnage hors du commun, un temps ami de son père, et qu'il a côtoyé dans son enfance.
Il est successivement adoubé par les administrateurs du journal Le Petit Démocrate, André Arthus-Bertrand, Emmanuel Desgrées du Lou, Raymond Laurent, et crée en 1931, à 22 ans, avec leur soutien, son agence de publicité, l'Office de publicité générale (OPG). Puis éclate la Seconde Guerre mondiale. Le spahi se bat courageusement des Ardennes au passage de la Loire. Il est fait prisonnier, s'évade et rentre à Paris.
Puis il se rend à Vichy. Le budget de la propagande pour la famille lui est confié. Pourtant, à Paris, lui et son groupe de la rue de Lille éditeront " la moitié de la presse clandestine ". Pour Émilien Amaury et ses amis du MRP, la presse ne devait dépendre " ni de la puissance gouvernementale ni des puissances de l'argent " mais Le Parisien libéré, le journal d'Émilien (surnommé désormais Jupiter), se fait le champion du " sang à la une ".
Puis Amaury, le progressiste d'avant guerre qui, avec son ami Pierre-Henri Teitgen et Francisque Gay, a accordé le monopole de l'embauche à la CGT du Livre et son exclusivité syndicale, devient alors son pire ennemi. En 1974, éclate au Parisien le conflit le plus dur que la presse ait jamais connu en France. Il va durer trois ans. Un matin gelé de janvier 1977, Émilien Amaury fait une chute de cheval fatale.
Il a 67 ans. Trente années ont passé, le groupe Philippe Amaury, l'héritier exigeant et réservé, affiche aujourd'hui une bonne santé financière et défend une farouche indépendance. L'auteur, après une longue enquête, a reconstitué l'existence du fondateur, personnage hors du commun, un temps ami de son père, et qu'il a côtoyé dans son enfance.
Le Parisien libéré, L'Équipe, Carrefour, Marie-France, Ouest-France, Point de vue-Images du monde, Le Courrier de l'Ouest, Le Maine libre... En quelques années de l'après-guerre, Émilien Amaury acquiert, dirige ou participe à la création de ces journaux fondés sur les ruines de la presse collaborationniste. Sorti de l'école à 12 ans, il quitte sa famille. Séduit par son charme et son appétit de vie, Marc Sangnier, ami d'Aristide Briand et de Léon Blum, le prend sous son aile.
Il est successivement adoubé par les administrateurs du journal Le Petit Démocrate, André Arthus-Bertrand, Emmanuel Desgrées du Lou, Raymond Laurent, et crée en 1931, à 22 ans, avec leur soutien, son agence de publicité, l'Office de publicité générale (OPG). Puis éclate la Seconde Guerre mondiale. Le spahi se bat courageusement des Ardennes au passage de la Loire. Il est fait prisonnier, s'évade et rentre à Paris.
Puis il se rend à Vichy. Le budget de la propagande pour la famille lui est confié. Pourtant, à Paris, lui et son groupe de la rue de Lille éditeront " la moitié de la presse clandestine ". Pour Émilien Amaury et ses amis du MRP, la presse ne devait dépendre " ni de la puissance gouvernementale ni des puissances de l'argent " mais Le Parisien libéré, le journal d'Émilien (surnommé désormais Jupiter), se fait le champion du " sang à la une ".
Puis Amaury, le progressiste d'avant guerre qui, avec son ami Pierre-Henri Teitgen et Francisque Gay, a accordé le monopole de l'embauche à la CGT du Livre et son exclusivité syndicale, devient alors son pire ennemi. En 1974, éclate au Parisien le conflit le plus dur que la presse ait jamais connu en France. Il va durer trois ans. Un matin gelé de janvier 1977, Émilien Amaury fait une chute de cheval fatale.
Il a 67 ans. Trente années ont passé, le groupe Philippe Amaury, l'héritier exigeant et réservé, affiche aujourd'hui une bonne santé financière et défend une farouche indépendance. L'auteur, après une longue enquête, a reconstitué l'existence du fondateur, personnage hors du commun, un temps ami de son père, et qu'il a côtoyé dans son enfance.
Il est successivement adoubé par les administrateurs du journal Le Petit Démocrate, André Arthus-Bertrand, Emmanuel Desgrées du Lou, Raymond Laurent, et crée en 1931, à 22 ans, avec leur soutien, son agence de publicité, l'Office de publicité générale (OPG). Puis éclate la Seconde Guerre mondiale. Le spahi se bat courageusement des Ardennes au passage de la Loire. Il est fait prisonnier, s'évade et rentre à Paris.
Puis il se rend à Vichy. Le budget de la propagande pour la famille lui est confié. Pourtant, à Paris, lui et son groupe de la rue de Lille éditeront " la moitié de la presse clandestine ". Pour Émilien Amaury et ses amis du MRP, la presse ne devait dépendre " ni de la puissance gouvernementale ni des puissances de l'argent " mais Le Parisien libéré, le journal d'Émilien (surnommé désormais Jupiter), se fait le champion du " sang à la une ".
Puis Amaury, le progressiste d'avant guerre qui, avec son ami Pierre-Henri Teitgen et Francisque Gay, a accordé le monopole de l'embauche à la CGT du Livre et son exclusivité syndicale, devient alors son pire ennemi. En 1974, éclate au Parisien le conflit le plus dur que la presse ait jamais connu en France. Il va durer trois ans. Un matin gelé de janvier 1977, Émilien Amaury fait une chute de cheval fatale.
Il a 67 ans. Trente années ont passé, le groupe Philippe Amaury, l'héritier exigeant et réservé, affiche aujourd'hui une bonne santé financière et défend une farouche indépendance. L'auteur, après une longue enquête, a reconstitué l'existence du fondateur, personnage hors du commun, un temps ami de son père, et qu'il a côtoyé dans son enfance.










