Un homme, un destin, une épopée de vingt ans : Napoléon, admiré autant que détesté, mais superstar de l'Histoire.
L'irrésistible ascension commence par des victoires militaires sous le Directoire : le jeune général s'illustre dans sa première campagne d'Italie : « Chacun de ses pas désormais marqué par une parole, par un de ces mots historiques qu'on retient parce qu'il est éclairé de gloire. » (Sainte-Beuve)
Le coup d'État du 18 Brumaire (1799) donne tout pouvoir au Premier Consul.
Napoléon Bonaparte réforme la France (Concordat, Code civil), mais ordonne l'assassinat du duc d'Enghien : « Pire qu'un crime, c'est une faute ».
Plébiscité par le peuple, l'empereur est sacré par Pie VII (2 décembre 1804) et le Grand Empire s'édifie par la conquête. Depuis Austerlitz (2 décembre 1805), Napoléon vole de victoire en victoire, brisant trois coalitions successives. Souverain de l'Europe, « l'air de se promener au milieu de sa gloire », il rêve de Paris capitale du monde.
Mais les guerres déciment et ruinent le pays, la campagne de Russie marque « le commencement de la fin » (prévu par Talleyrand) jusqu'à la chute, le premier exil (île d'Elbe)... avant les Cent-Jours et Waterloo (1815). « Quel roman que ma vie ! » dit-il, avouant aussi « La fortune m'a ébloui ».
Un homme, un destin, une épopée de vingt ans : Napoléon, admiré autant que détesté, mais superstar de l'Histoire.
L'irrésistible ascension commence par des victoires militaires sous le Directoire : le jeune général s'illustre dans sa première campagne d'Italie : « Chacun de ses pas désormais marqué par une parole, par un de ces mots historiques qu'on retient parce qu'il est éclairé de gloire. » (Sainte-Beuve)
Le coup d'État du 18 Brumaire (1799) donne tout pouvoir au Premier Consul.
Napoléon Bonaparte réforme la France (Concordat, Code civil), mais ordonne l'assassinat du duc d'Enghien : « Pire qu'un crime, c'est une faute ».
Plébiscité par le peuple, l'empereur est sacré par Pie VII (2 décembre 1804) et le Grand Empire s'édifie par la conquête. Depuis Austerlitz (2 décembre 1805), Napoléon vole de victoire en victoire, brisant trois coalitions successives. Souverain de l'Europe, « l'air de se promener au milieu de sa gloire », il rêve de Paris capitale du monde.
Mais les guerres déciment et ruinent le pays, la campagne de Russie marque « le commencement de la fin » (prévu par Talleyrand) jusqu'à la chute, le premier exil (île d'Elbe)... avant les Cent-Jours et Waterloo (1815). « Quel roman que ma vie ! » dit-il, avouant aussi « La fortune m'a ébloui ».