Mémoires de Belle ou l'Amour - chien - Occasion
Grand Format
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Chronique 2 : Renaissance et guerres de religion, naissance de la monarchie absolue. L'Histoire en citations
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- FormatePub
- ISBN979-10-405-8665-4
- EAN9791040586654
- Date de parution14/08/2025
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLibrinova
Résumé
La Renaissance nous vient d'Italie et François Ier, roi chevalier, incarne ce « beau XVIe siècle » : arts florissants, commerce prospère, rayonnement de la langue française. Mais le mirage italien entraîne le pays dans 11 guerres d'Italie. « Telle était cette France : jouir ou tuer » (Michelet).
Suivent huit guerres de Religion symbolisées par le massacre de la Saint-Barthélemy (1572), papistes contre huguenots.
« Périsse le souvenir de ce jour ! » dit Michel de l'Hospital, ex-chancelier de Catherine de Médicis responsable mais pas coupable. La monarchie absolue naît sous le règne d'Henri IV, protestant converti au catholicisme : « Paris vaut bien une messe » - parole de son ministre Sully. L'édit de Nantes (1598) pacifie le pays. Poignardé par Ravaillac, le « bon roi » entre aussitôt dans la légende avec son panache blanc et la poule au pot. Louis XIII lui succède et l'autoritaire cardinal de Richelieu, devenu principal ministre, va « foudroyer les humains » plus que les gouverner, travaillant jusqu'à l'épuisement pour restaurer la puissance de l'État et rendre la monarchie absolue, au prix d'une impopularité exemplaire.
« Périsse le souvenir de ce jour ! » dit Michel de l'Hospital, ex-chancelier de Catherine de Médicis responsable mais pas coupable. La monarchie absolue naît sous le règne d'Henri IV, protestant converti au catholicisme : « Paris vaut bien une messe » - parole de son ministre Sully. L'édit de Nantes (1598) pacifie le pays. Poignardé par Ravaillac, le « bon roi » entre aussitôt dans la légende avec son panache blanc et la poule au pot. Louis XIII lui succède et l'autoritaire cardinal de Richelieu, devenu principal ministre, va « foudroyer les humains » plus que les gouverner, travaillant jusqu'à l'épuisement pour restaurer la puissance de l'État et rendre la monarchie absolue, au prix d'une impopularité exemplaire.
La Renaissance nous vient d'Italie et François Ier, roi chevalier, incarne ce « beau XVIe siècle » : arts florissants, commerce prospère, rayonnement de la langue française. Mais le mirage italien entraîne le pays dans 11 guerres d'Italie. « Telle était cette France : jouir ou tuer » (Michelet).
Suivent huit guerres de Religion symbolisées par le massacre de la Saint-Barthélemy (1572), papistes contre huguenots.
« Périsse le souvenir de ce jour ! » dit Michel de l'Hospital, ex-chancelier de Catherine de Médicis responsable mais pas coupable. La monarchie absolue naît sous le règne d'Henri IV, protestant converti au catholicisme : « Paris vaut bien une messe » - parole de son ministre Sully. L'édit de Nantes (1598) pacifie le pays. Poignardé par Ravaillac, le « bon roi » entre aussitôt dans la légende avec son panache blanc et la poule au pot. Louis XIII lui succède et l'autoritaire cardinal de Richelieu, devenu principal ministre, va « foudroyer les humains » plus que les gouverner, travaillant jusqu'à l'épuisement pour restaurer la puissance de l'État et rendre la monarchie absolue, au prix d'une impopularité exemplaire.
« Périsse le souvenir de ce jour ! » dit Michel de l'Hospital, ex-chancelier de Catherine de Médicis responsable mais pas coupable. La monarchie absolue naît sous le règne d'Henri IV, protestant converti au catholicisme : « Paris vaut bien une messe » - parole de son ministre Sully. L'édit de Nantes (1598) pacifie le pays. Poignardé par Ravaillac, le « bon roi » entre aussitôt dans la légende avec son panache blanc et la poule au pot. Louis XIII lui succède et l'autoritaire cardinal de Richelieu, devenu principal ministre, va « foudroyer les humains » plus que les gouverner, travaillant jusqu'à l'épuisement pour restaurer la puissance de l'État et rendre la monarchie absolue, au prix d'une impopularité exemplaire.
