Apocalypse managériale. Promenade à Manhattan de 1941 à 1946 puis au-delà
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- Nombre de pages600
- FormatePub
- ISBN978-2-251-91745-0
- EAN9782251917450
- Date de parution18/02/2022
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
Résumé
1941. L'année où tout bascule. L'Europe tombe entre les mains d'Hitler. La barbarie fait son nid partout où la raison guidait le monde. Au même moment à New York, trois événements signent le commencement d'aventures apparemment très distinctes. Saint-Exupéry arrive à Manhattan. Il y rédige le mythique Petit prince. James Burnham publie son ouvrage Managerial revolution. Il y décrit la montée en puissance d'une nouvelle classe sociale : les managers.
À quelques encablures, les acteurs de la Fondation Macy préparent un cycle de conférences. Le grand moment cybernétique approche. Trois acteurs, trois lieux, trois projets. Sans qu'ils ne se parlent, leurs idées se rencontreront sur l'échiquier new-yorkais pour changer le monde. Comment décrire ce phénomène à hauteur d'Hommes ? En donnant chair à Antoine de Saint-Exupéry, James Burnham et à l'un des pères fondateurs de la cybernétique : Norbert Wiener. C'est ainsi qu'il devient possible de raconter le « moment historique » et la « grande histoire » de cette rencontre entre management et digitalité.
La « mobilisation industrielle », les besoins en puissance de calcul, le développement d'une instrumentation de gestion à une échelle inédite, la nécessité de gérer à distance du théâtre d'opérations, le besoin d'agencer l'obsolescence et l'accélération. Avant, pendant et après les années de guerre, une alliance inédite et fondatrice se met en place entre management et digital. De plus en plus narrative, elle ne se dénouera plus jusqu'aux années 2000. En faisant converser des philosophes européens et américains contemporains de ce mouvement historique, Apocalypse managériale propose une enquête originale et fouillée sur une conjonction capitale pour comprendre notre temps et un de ses symptômes : la perte de profondeur de nos expériences.
À quelques encablures, les acteurs de la Fondation Macy préparent un cycle de conférences. Le grand moment cybernétique approche. Trois acteurs, trois lieux, trois projets. Sans qu'ils ne se parlent, leurs idées se rencontreront sur l'échiquier new-yorkais pour changer le monde. Comment décrire ce phénomène à hauteur d'Hommes ? En donnant chair à Antoine de Saint-Exupéry, James Burnham et à l'un des pères fondateurs de la cybernétique : Norbert Wiener. C'est ainsi qu'il devient possible de raconter le « moment historique » et la « grande histoire » de cette rencontre entre management et digitalité.
La « mobilisation industrielle », les besoins en puissance de calcul, le développement d'une instrumentation de gestion à une échelle inédite, la nécessité de gérer à distance du théâtre d'opérations, le besoin d'agencer l'obsolescence et l'accélération. Avant, pendant et après les années de guerre, une alliance inédite et fondatrice se met en place entre management et digital. De plus en plus narrative, elle ne se dénouera plus jusqu'aux années 2000. En faisant converser des philosophes européens et américains contemporains de ce mouvement historique, Apocalypse managériale propose une enquête originale et fouillée sur une conjonction capitale pour comprendre notre temps et un de ses symptômes : la perte de profondeur de nos expériences.
1941. L'année où tout bascule. L'Europe tombe entre les mains d'Hitler. La barbarie fait son nid partout où la raison guidait le monde. Au même moment à New York, trois événements signent le commencement d'aventures apparemment très distinctes. Saint-Exupéry arrive à Manhattan. Il y rédige le mythique Petit prince. James Burnham publie son ouvrage Managerial revolution. Il y décrit la montée en puissance d'une nouvelle classe sociale : les managers.
À quelques encablures, les acteurs de la Fondation Macy préparent un cycle de conférences. Le grand moment cybernétique approche. Trois acteurs, trois lieux, trois projets. Sans qu'ils ne se parlent, leurs idées se rencontreront sur l'échiquier new-yorkais pour changer le monde. Comment décrire ce phénomène à hauteur d'Hommes ? En donnant chair à Antoine de Saint-Exupéry, James Burnham et à l'un des pères fondateurs de la cybernétique : Norbert Wiener. C'est ainsi qu'il devient possible de raconter le « moment historique » et la « grande histoire » de cette rencontre entre management et digitalité.
La « mobilisation industrielle », les besoins en puissance de calcul, le développement d'une instrumentation de gestion à une échelle inédite, la nécessité de gérer à distance du théâtre d'opérations, le besoin d'agencer l'obsolescence et l'accélération. Avant, pendant et après les années de guerre, une alliance inédite et fondatrice se met en place entre management et digital. De plus en plus narrative, elle ne se dénouera plus jusqu'aux années 2000. En faisant converser des philosophes européens et américains contemporains de ce mouvement historique, Apocalypse managériale propose une enquête originale et fouillée sur une conjonction capitale pour comprendre notre temps et un de ses symptômes : la perte de profondeur de nos expériences.
À quelques encablures, les acteurs de la Fondation Macy préparent un cycle de conférences. Le grand moment cybernétique approche. Trois acteurs, trois lieux, trois projets. Sans qu'ils ne se parlent, leurs idées se rencontreront sur l'échiquier new-yorkais pour changer le monde. Comment décrire ce phénomène à hauteur d'Hommes ? En donnant chair à Antoine de Saint-Exupéry, James Burnham et à l'un des pères fondateurs de la cybernétique : Norbert Wiener. C'est ainsi qu'il devient possible de raconter le « moment historique » et la « grande histoire » de cette rencontre entre management et digitalité.
La « mobilisation industrielle », les besoins en puissance de calcul, le développement d'une instrumentation de gestion à une échelle inédite, la nécessité de gérer à distance du théâtre d'opérations, le besoin d'agencer l'obsolescence et l'accélération. Avant, pendant et après les années de guerre, une alliance inédite et fondatrice se met en place entre management et digital. De plus en plus narrative, elle ne se dénouera plus jusqu'aux années 2000. En faisant converser des philosophes européens et américains contemporains de ce mouvement historique, Apocalypse managériale propose une enquête originale et fouillée sur une conjonction capitale pour comprendre notre temps et un de ses symptômes : la perte de profondeur de nos expériences.