A quoi songent-ils, ceux que le sommeil fuit ?

Par : Gaëlle Josse

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  • FormatePub
  • ISBN978-2-88983-001-5
  • EAN9782889830015
  • Date de parution01/02/2024
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1014 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurNoir sur Blanc

Résumé

"Quelques éclats demeurent au milieu des heures profondes, en veille. Parfois une silhouette immobile se détache sur le rectangle éclairé. À quoi songent-ils, tous ceux que le sommeil fuit ? À quelle part de leur histoire, de leur mémoire, à quels absents parlent-ils en silence ? C'est l'heure des aveux, des regrets, des impatiences, des souvenirs, de l'attente. Ce sont les heures où le cour tremble, où les corps se souviennent, peau à peau avec la nuit.
On ne triche plus. Ce sont les heures sentinelles de nos histoires, de nos petites victoires, de nos défaites. Que racontent ces silhouettes silencieuses à la grande nuit bleue ?" On rencontrera ici des femmes, des hommes, des couples, des enfants, portraits intenses de vies ordinaires, tous reflets de notre humanité et de nos vacillements. À travers ces microfictions, Gaëlle Josse poursuit cette écoute ultrasensible de nos vies qu'elle nous offre de livre en livre, au plus juste des émotions qui les traversent.
"Quelques éclats demeurent au milieu des heures profondes, en veille. Parfois une silhouette immobile se détache sur le rectangle éclairé. À quoi songent-ils, tous ceux que le sommeil fuit ? À quelle part de leur histoire, de leur mémoire, à quels absents parlent-ils en silence ? C'est l'heure des aveux, des regrets, des impatiences, des souvenirs, de l'attente. Ce sont les heures où le cour tremble, où les corps se souviennent, peau à peau avec la nuit.
On ne triche plus. Ce sont les heures sentinelles de nos histoires, de nos petites victoires, de nos défaites. Que racontent ces silhouettes silencieuses à la grande nuit bleue ?" On rencontrera ici des femmes, des hommes, des couples, des enfants, portraits intenses de vies ordinaires, tous reflets de notre humanité et de nos vacillements. À travers ces microfictions, Gaëlle Josse poursuit cette écoute ultrasensible de nos vies qu'elle nous offre de livre en livre, au plus juste des émotions qui les traversent.

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Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Regarder la nuit
« Le monde s’évanouit, un autre vient de s’ouvrir ». « Il s’approche de nouveau de la fenêtre, interroge la nuit. » Deuxième très beau titre avec les « heures silencieuses » ; deux titres qui laissent deviner un rapport particulier entretenu avec le temps. Une citation ajoute au pressentiment que cette lecture nous propose : « Vous savez, les gens ont l’air d’aller bien, mais chacun de nous a sa nuit. » On peut maintenant s’avancer un peu plus : « La nuit entre dans la ville, la ville entre dans la nuit. » … « L’heure de rendre les armes, ou de résister un peu, encore. » C’est presque qu’un théâtre, une scène à guichet fermé. Quelques lumières, une fenêtre éclairée ou un regard au dehors. Il y a parfois un peu d’angoisse à s’y avancer ou à l’écourter. On sort aussi de scène ou on y entre. La nuit semble nous envoyer d’étranges messages ou réveiller quelques fantômes. Ici et là quelques balises lumineuses. Elle n’est pas transparente, elle prête aux songes, à l’introspection. « Trop tard ». « Rester éveiller ». On n’a pas encore tout à fait quitté « la gravité terrestre ». On cherche encore l’autre. On ne peut pas se détacher de la fenêtre. On s’y dénude, on y trouve refuge, on explore toujours son cœur. Quelque chose s’allume ou disparaît et parfois une ombre persiste. Ajouter un mot à celui de nuit et quelque chose est propice aux songes, aux microfictions de nos vies à cheval. Où s’arrête le jour ? Où commence le sommeil ? Ce sont « les heures sentinelles de nos histoires ». Un entre-deux propice à nos vies imparfaites, un moment de rappel à nos amours, à nos sens, vides et absences.
« Le monde s’évanouit, un autre vient de s’ouvrir ». « Il s’approche de nouveau de la fenêtre, interroge la nuit. » Deuxième très beau titre avec les « heures silencieuses » ; deux titres qui laissent deviner un rapport particulier entretenu avec le temps. Une citation ajoute au pressentiment que cette lecture nous propose : « Vous savez, les gens ont l’air d’aller bien, mais chacun de nous a sa nuit. » On peut maintenant s’avancer un peu plus : « La nuit entre dans la ville, la ville entre dans la nuit. » … « L’heure de rendre les armes, ou de résister un peu, encore. » C’est presque qu’un théâtre, une scène à guichet fermé. Quelques lumières, une fenêtre éclairée ou un regard au dehors. Il y a parfois un peu d’angoisse à s’y avancer ou à l’écourter. On sort aussi de scène ou on y entre. La nuit semble nous envoyer d’étranges messages ou réveiller quelques fantômes. Ici et là quelques balises lumineuses. Elle n’est pas transparente, elle prête aux songes, à l’introspection. « Trop tard ». « Rester éveiller ». On n’a pas encore tout à fait quitté « la gravité terrestre ». On cherche encore l’autre. On ne peut pas se détacher de la fenêtre. On s’y dénude, on y trouve refuge, on explore toujours son cœur. Quelque chose s’allume ou disparaît et parfois une ombre persiste. Ajouter un mot à celui de nuit et quelque chose est propice aux songes, aux microfictions de nos vies à cheval. Où s’arrête le jour ? Où commence le sommeil ? Ce sont « les heures sentinelles de nos histoires ». Un entre-deux propice à nos vies imparfaites, un moment de rappel à nos amours, à nos sens, vides et absences.
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