« L'humour est une déclaration de dignité, une affirmation de la supériorité de l'homme sur ce qui lui arrive ». Cette phrase de Romain Gary, cité par Christophe Gavat, est plus qu'une simple citation, c'est une philosophie. Surtout dans un métier où tous les jours vous pouvez être confrontés à des situations très difficile. Certains tiennent, certains sont « broyés par le métier ». C'est un métier de passion et Christophe Gavat est passionné.
Ce livre est l'occasion pour lui de revenir sur des moments importants, forts et émouvants (Yohan) de 25 années de carrière.
D'un concours réussi une première fois mais à égalité avec le dernier admis (la question fatale « où le Nil prend-t'il sa source ?») où il se retrouve contraint de le passer une seconde fois avec réussite, à des enquêtes riches en rebondissements (Kamel). Tous ces évènements sont retranscris : Toujours avec humour et humilité.
« 96 heures » c'est également, et surtout, l'occasion de revenir sur un « dossier monté de travers ». Ce que les médias ont nommé « l'affaire Neyret ».
Au mois d'octobre 2011, des policiers lyonnais et grenoblois sont arrêtés, Christophe Gavat, alors chef de la PJ de Grenoble, est l'un d'eux. L'inspection générale des services (IGS) les soupçonne d'avoir détourné de la drogue pour rétribuer des indicateurs, sur ordre de leur supérieur, le commissaire divisionnaire Michel Neyret.
Christophe Gavat est alors placé en garde à vue pendant 96 heures (pour 4 heures d'audition). Il faut alors faire face à une administration qui « par la volonté de quelques-uns, arrive à casser des hommes, des flics, des pères, des maris » puis vient s'ajouter encore à tout cela les raccourcis quotidiens des journalistes.
On vous interdit de rentrer en contact avec vos collègues et d'exercer votre profession, Heureusement, la famille (Titou) et les amis (Renaud « Toujours là ») sont présents même lorsque vous êtes interdits de voir vos collègues et d'exercer votre profession.
Et il reste l'écriture et l'humour.
96 Heures
« L'humour est une déclaration de dignité, une affirmation de la supériorité de l'homme sur ce qui lui arrive ». Cette phrase de Romain Gary, cité par Christophe Gavat, est plus qu'une simple citation, c'est une philosophie. Surtout dans un métier où tous les jours vous pouvez être confrontés à des situations très difficile. Certains tiennent, certains sont « broyés par le métier ». C'est un métier de passion et Christophe Gavat est passionné.
Ce livre est l'occasion pour lui de revenir sur des moments importants, forts et émouvants (Yohan) de 25 années de carrière.
D'un concours réussi une première fois mais à égalité avec le dernier admis (la question fatale « où le Nil prend-t'il sa source ?») où il se retrouve contraint de le passer une seconde fois avec réussite, à des enquêtes riches en rebondissements (Kamel). Tous ces évènements sont retranscris : Toujours avec humour et humilité.
« 96 heures » c'est également, et surtout, l'occasion de revenir sur un « dossier monté de travers ». Ce que les médias ont nommé « l'affaire Neyret ».
Au mois d'octobre 2011, des policiers lyonnais et grenoblois sont arrêtés, Christophe Gavat, alors chef de la PJ de Grenoble, est l'un d'eux. L'inspection générale des services (IGS) les soupçonne d'avoir détourné de la drogue pour rétribuer des indicateurs, sur ordre de leur supérieur, le commissaire divisionnaire Michel Neyret.
Christophe Gavat est alors placé en garde à vue pendant 96 heures (pour 4 heures d'audition). Il faut alors faire face à une administration qui « par la volonté de quelques-uns, arrive à casser des hommes, des flics, des pères, des maris » puis vient s'ajouter encore à tout cela les raccourcis quotidiens des journalistes.
On vous interdit de rentrer en contact avec vos collègues et d'exercer votre profession, Heureusement, la famille (Titou) et les amis (Renaud « Toujours là ») sont présents même lorsque vous êtes interdits de voir vos collègues et d'exercer votre profession.
Et il reste l'écriture et l'humour.