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Amaury Deshayes

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Amaury Deshayes n'a pas fini de compléter son profil.
"Parfois, j'hésite, mon cœur ouvert, quelqu'un a dû le fermer mal J'suis dans la peau d'un amnésique qui tenterait d'écrire ses mémoires" Youssoupha
"Parfois, j'hésite, mon cœur ouvert, quelqu'un a dû le fermer mal J'suis dans la peau d'un amnésique qui tenterait d'écrire ses mémoires" Youssoupha

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Les Somnambules Dracula Lovecraft Batman et les monstres
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#Trashtalk Le Basket américain en 300 listes folles
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Devenir Vieux et Le Jour où j'ai arrêté le rap, Youssoupha
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Les derniers avis

Le meilleur des mondes
Avis posté le 2018-10-28
    Le meilleur des mondes
    Écrit en 1931 par Aldous Huxley, « Le meilleur des mondes » nous décrit une société dystopique où les maladies ont été éradiquées, les effets de la vieillesse arrêtés, les naissances sont totalement contrôlées et les enfants se voient formater, très tôt, pour leur futur rôle social par l’hypnopédie. On nous décrit ainsi un État mondial, hiérarchisé en castes où chaque individu se voit assigner un rôle précis. La population ne ressent aucune envie de se révolter puisqu’elle est entièrement contrôlée par le plaisir (sexualité, consommation, le soma). Lorsqu’il écrivit une préface à l’édition de 1946, Huxley notait que les gouvernements s’attacheront dans le futur à sonder « le problème du bonheur » « en d’autres termes, le problème consistant à faire aimer aux gens leur servitude. » Selon lui, la réalisation de ce monde, qu’il avait « lancé à six cents ans dans l’avenir », n’était plus si éloigné et il l’envisageait dans « trois ou quatre générations ». Un des signes révélateurs était, selon lui, la croissance du nombre des divorces. « A mesure que diminue la liberté économique et politique, la liberté sexuelle a tendance à s’accroître en compensation. Et le dictateur […] fera bien d’encourager cette liberté-là. ». Un roman captivant et effrayant.
    Écrit en 1931 par Aldous Huxley, « Le meilleur des mondes » nous décrit une société dystopique où les maladies ont été éradiquées, les effets de la vieillesse arrêtés, les naissances sont totalement contrôlées et les enfants se voient formater, très tôt, pour leur futur rôle social par l’hypnopédie. On nous décrit ainsi un État mondial, hiérarchisé en castes où chaque individu se voit assigner un rôle précis. La population ne ressent aucune envie de se révolter puisqu’elle est entièrement contrôlée par le plaisir (sexualité, consommation, le soma). Lorsqu’il écrivit une préface à l’édition de 1946, Huxley notait que les gouvernements s’attacheront dans le futur à sonder « le problème du bonheur » « en d’autres termes, le problème consistant à faire aimer aux gens leur servitude. » Selon lui, la réalisation de ce monde, qu’il avait « lancé à six cents ans dans l’avenir », n’était plus si éloigné et il l’envisageait dans « trois ou quatre générations ». Un des signes révélateurs était, selon lui, la croissance du nombre des divorces. « A mesure que diminue la liberté économique et politique, la liberté sexuelle a tendance à s’accroître en compensation. Et le dictateur […] fera bien d’encourager cette liberté-là. ». Un roman captivant et effrayant.
    Fahrenheit 451
    Avis posté le 2018-10-28
      Farenheit 451
      Guy Montag est un pompier, mais dans Farenheit 451(température à laquelle le papier s’enflamme et se consume), les pompiers ont pour mission de brûler les livres ainsi que les maisons de leurs détenteurs. En effet, dans cette société dystopique, la détention de livre est un délit. Il représente une arme dangereuse qui répand la culture, la réflexion, le doute, la tristesse, la joie, le doute, l’esprit critique. Bref, l’instabilité. Intolérable pour un État qui s’attache à maintenir, par la consommation et les technologies, la société totalement endormie. La vie de Guy Montag poursuit tranquillement son cours jusqu’à la rencontre de Clarisse. Cette jeune fille va l’amener à réfléchir sur le sens de son existence et le fonctionnement de la société. Bien qu’écrit en 1953, le roman trouve une certaine résonance sur notre époque. Effrayant. Un classique.
      Guy Montag est un pompier, mais dans Farenheit 451(température à laquelle le papier s’enflamme et se consume), les pompiers ont pour mission de brûler les livres ainsi que les maisons de leurs détenteurs. En effet, dans cette société dystopique, la détention de livre est un délit. Il représente une arme dangereuse qui répand la culture, la réflexion, le doute, la tristesse, la joie, le doute, l’esprit critique. Bref, l’instabilité. Intolérable pour un État qui s’attache à maintenir, par la consommation et les technologies, la société totalement endormie. La vie de Guy Montag poursuit tranquillement son cours jusqu’à la rencontre de Clarisse. Cette jeune fille va l’amener à réfléchir sur le sens de son existence et le fonctionnement de la société. Bien qu’écrit en 1953, le roman trouve une certaine résonance sur notre époque. Effrayant. Un classique.
      1984
      Avis posté le 2018-10-21
        1984
        Écrit en 1948 par Georges Orwell, « 1984 » est une dystopie décrivant une sombre société totalitaire. On suit l’existence étouffante de Winston, habitant de l’empire Oceania, coincé dans un quotidien où le pouvoir (incarné par l’immortel Big Brother) vous surveille en permanence, appauvrit votre pensée, vous lave le cerveau, incite à la délation, faisant régner une peur permanente. Dans ce quotidien glauque, il y a une lueur d’espoir pour Winston, une histoire d’amour naissante mais qui sera rapidement étouffée et d’une terrible manière. Encore aujourd’hui, la dimension de classique qu’a ce chef d’œuvre ne se dément pas. Le livre fermé, il continue de nous faire réfléchir et on met un petit moment à se remettre de cette claque. Cette œuvre révèle tellement de choses sur le contrôle de nos vies, sur l’importance de la liberté. Un chef d’œuvre.
        Écrit en 1948 par Georges Orwell, « 1984 » est une dystopie décrivant une sombre société totalitaire. On suit l’existence étouffante de Winston, habitant de l’empire Oceania, coincé dans un quotidien où le pouvoir (incarné par l’immortel Big Brother) vous surveille en permanence, appauvrit votre pensée, vous lave le cerveau, incite à la délation, faisant régner une peur permanente. Dans ce quotidien glauque, il y a une lueur d’espoir pour Winston, une histoire d’amour naissante mais qui sera rapidement étouffée et d’une terrible manière. Encore aujourd’hui, la dimension de classique qu’a ce chef d’œuvre ne se dément pas. Le livre fermé, il continue de nous faire réfléchir et on met un petit moment à se remettre de cette claque. Cette œuvre révèle tellement de choses sur le contrôle de nos vies, sur l’importance de la liberté. Un chef d’œuvre.
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