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Mélissa R

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Les derniers avis

C'est pas sorcier Harry !
Avis posté le 2019-08-11
    Fiction et réalité pour une enquête humoristique…
    L’humour un peu particulier et parfois un peu lourdingue de l’auteur, fait qu’il m’a été difficile de rentrer dans le roman, surtout que je suis une très grande fan d’Harry Potter, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai choisi ce livre de Gordon ZOLA. Pour une lecture de vacances, ça passe bien, pas besoin de se prendre la tête. Il y a beaucoup de références diverses: mythologiques, à Harry Potter (logique)… Les jeux de mots sont très récurrents y compris dans les noms des personnages, ces jeux de mots ne sont pas toujours compréhensibles à la première lecture. Ce roman est vraiment à prendre au second voir même au troisième degré, il ne faut pas prendre l’auteur au sérieux sans pour autant le discréditer, il est donc difficile de trouver un juste milieu. Le roman se lit facilement, même entrecoupé, à voir ce qu’il en est du reste de la sage des Aventures de Guillaume SUITAUME, qui sont toutes des parodies. La fin est un peu bizarre, il y a trop de choses laissées en suspend: on ne sait pas ce qu’il advient de l’assistante de SUITAUME, ni de M. HONNERY…
    L’humour un peu particulier et parfois un peu lourdingue de l’auteur, fait qu’il m’a été difficile de rentrer dans le roman, surtout que je suis une très grande fan d’Harry Potter, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai choisi ce livre de Gordon ZOLA. Pour une lecture de vacances, ça passe bien, pas besoin de se prendre la tête. Il y a beaucoup de références diverses: mythologiques, à Harry Potter (logique)… Les jeux de mots sont très récurrents y compris dans les noms des personnages, ces jeux de mots ne sont pas toujours compréhensibles à la première lecture. Ce roman est vraiment à prendre au second voir même au troisième degré, il ne faut pas prendre l’auteur au sérieux sans pour autant le discréditer, il est donc difficile de trouver un juste milieu. Le roman se lit facilement, même entrecoupé, à voir ce qu’il en est du reste de la sage des Aventures de Guillaume SUITAUME, qui sont toutes des parodies. La fin est un peu bizarre, il y a trop de choses laissées en suspend: on ne sait pas ce qu’il advient de l’assistante de SUITAUME, ni de M. HONNERY…
    Le talisman
    Avis posté le 2019-07-28
      Un génie de l’aéronautique!
      Cette biographie se lit vite, elle est écrite en gros caractères sur du papier un peu « plastifié » donc qui subit les reflets de la lumière, elle est très bien illustrée par de nombreuses photos notamment des différents avions créés par la société DASSAULT ou des photos de Marcel DASSAULT lui-même. Bref, vous l’aurez compris, ce n’est pas de la grande littérature mais, ça n’empêche pas de prendre beaucoup de plaisirs à la lire. Elle est très intéressante. Ainsi, cet ouvrage raconte la vie de Marcel DASSAULT de sa naissance jusqu’à son entrée à l’Assemblée Nationale, en passant par son séjour dans le camp de Buchenwald. En revanche, à aucun moment n’est cité son changement de nom, ni les raisons qui l’y ont poussé… Effectivement, il s’appelait Marcel BLOCH, ce nom raisonnait trop avec « Boch » et pouvait poser quelques problèmes au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, c’est pourquoi il a trouvé plus judicieux de changer de nom. Cependant, il y a un point négatif à cette autobiographie, le prologue écrit par Serge DASSAULT, résume parfaitement la vie de son père, il cite tous les éléments importants de sa vie et donc de l’œuvre. On pourrait lire uniquement le prologue qui est l’équivalent d’un très bon résumé. Cette œuvre nous permet d’en apprendre d’avantage sur Marcel DASSAULT, de découvrir l’homme « social » qui se cachait derrière le grand homme. Il a fait beaucoup pour le bien-être de ses employés (ces derniers avaient déjà des congés payés avant que ceux-ci soient instaurés en France puis, ces mêmes congés furent toujours d’une durée supérieure à celles des congés payés « classiques », et croyez moi ou non, je peux vous assurer que c’est toujours le cas…). En tant que député, il a mis en place un projet de lois permettant et/ou facilitant l’accès à la propriété pour la classe moyenne.
      Cette biographie se lit vite, elle est écrite en gros caractères sur du papier un peu « plastifié » donc qui subit les reflets de la lumière, elle est très bien illustrée par de nombreuses photos notamment des différents avions créés par la société DASSAULT ou des photos de Marcel DASSAULT lui-même. Bref, vous l’aurez compris, ce n’est pas de la grande littérature mais, ça n’empêche pas de prendre beaucoup de plaisirs à la lire. Elle est très intéressante. Ainsi, cet ouvrage raconte la vie de Marcel DASSAULT de sa naissance jusqu’à son entrée à l’Assemblée Nationale, en passant par son séjour dans le camp de Buchenwald. En revanche, à aucun moment n’est cité son changement de nom, ni les raisons qui l’y ont poussé… Effectivement, il s’appelait Marcel BLOCH, ce nom raisonnait trop avec « Boch » et pouvait poser quelques problèmes au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, c’est pourquoi il a trouvé plus judicieux de changer de nom. Cependant, il y a un point négatif à cette autobiographie, le prologue écrit par Serge DASSAULT, résume parfaitement la vie de son père, il cite tous les éléments importants de sa vie et donc de l’œuvre. On pourrait lire uniquement le prologue qui est l’équivalent d’un très bon résumé. Cette œuvre nous permet d’en apprendre d’avantage sur Marcel DASSAULT, de découvrir l’homme « social » qui se cachait derrière le grand homme. Il a fait beaucoup pour le bien-être de ses employés (ces derniers avaient déjà des congés payés avant que ceux-ci soient instaurés en France puis, ces mêmes congés furent toujours d’une durée supérieure à celles des congés payés « classiques », et croyez moi ou non, je peux vous assurer que c’est toujours le cas…). En tant que député, il a mis en place un projet de lois permettant et/ou facilitant l’accès à la propriété pour la classe moyenne.
      Les mots qu'on ne me dit pas
      Avis posté le 2019-07-28
        Hilarant!
        J’adore! Une lecture rapide, drôle, émouvante. Une « héroïne » qui nous touche et pourrait être notre voisine tellement on la sent proche de nous. Véronique se confie à nous dans son premier roman autobiographique, elle raconte sa vie et surtout son enfance au sein d’une famille un peu particulière, effectivement ses parents sont sourds. À travers ce livre on grandit avec elle et on découvre ce que c’est pour un « entendant » d’évoluer dans ce monde silencieux, notamment par le biais de différentes anecdotes de sa vie, par exemple, elle écrit « «Salut, bande d’enculés !» C’est comme ça que je salue mes parents quand je rentre à la maison. Mes copains me croient jamais quand je leur dis qu’ils sont sourds. Je vais leur prouver que je dis vrai. «Salut, bande d’enculés !» Et ma mère vient m’embrasser tendrement. » Son histoire et l’extrait que je vous ai cité, vous rappelle peut-être un film sorti en 2014, La famille Bélier. C’est normal, le scénario écrit par la fille de Guy BEDOS est inspiré de la vie de Véronique POULAIN sans pour autant la calquée totalement. Véronique a travaillée durant plusieurs années comme assistante de Guy BEDOS, c’est là qu’elle a raconté différentes anecdotes à la scénariste qui s’en est servi pour son film. Ensuite, l’éditeur de Véronique a sorti le livre avant que le film soit sur les écrans. Je tiens ces informations de Véronique POULAIN elle-même, j’ai pu la rencontrer lors d’une des Rencontres Littéraires auxquelles j’assiste. J’ai ainsi pu faire dédicacé mon exemplaire du roman.
        J’adore! Une lecture rapide, drôle, émouvante. Une « héroïne » qui nous touche et pourrait être notre voisine tellement on la sent proche de nous. Véronique se confie à nous dans son premier roman autobiographique, elle raconte sa vie et surtout son enfance au sein d’une famille un peu particulière, effectivement ses parents sont sourds. À travers ce livre on grandit avec elle et on découvre ce que c’est pour un « entendant » d’évoluer dans ce monde silencieux, notamment par le biais de différentes anecdotes de sa vie, par exemple, elle écrit « «Salut, bande d’enculés !» C’est comme ça que je salue mes parents quand je rentre à la maison. Mes copains me croient jamais quand je leur dis qu’ils sont sourds. Je vais leur prouver que je dis vrai. «Salut, bande d’enculés !» Et ma mère vient m’embrasser tendrement. » Son histoire et l’extrait que je vous ai cité, vous rappelle peut-être un film sorti en 2014, La famille Bélier. C’est normal, le scénario écrit par la fille de Guy BEDOS est inspiré de la vie de Véronique POULAIN sans pour autant la calquée totalement. Véronique a travaillée durant plusieurs années comme assistante de Guy BEDOS, c’est là qu’elle a raconté différentes anecdotes à la scénariste qui s’en est servi pour son film. Ensuite, l’éditeur de Véronique a sorti le livre avant que le film soit sur les écrans. Je tiens ces informations de Véronique POULAIN elle-même, j’ai pu la rencontrer lors d’une des Rencontres Littéraires auxquelles j’assiste. J’ai ainsi pu faire dédicacé mon exemplaire du roman.
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