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Monique Novodorsqui-Deniau

Dernière sortie
Nous partirons tête haute
Jules-Yoël Geller a vingt ans lorsqu'il est interné à Pithiviers. Il fait partie des plus jeunes parmi les 1 700 Juifs détenus du camp. Commence alors une correspondance entre lui et ses parents d'une part, et sa soeur Judith et son jeune frère Marcel de l'autre : une trentaine de lettres, rédigées entre mai 1941 et juin 1942, pieusement gardées et restituées par sa soeur. Sur un ton badin et enjoué, le jeune homme se raconte à travers la vie du camp.
On entre dans sa correspondance familiale comme par effraction, et on le suit pas à pas, avec l'espoir fou qu'il s'en sortira. On a envie de lui crier de partir, de s'évader, de ne pas faire confiance au préfet, au commandant et au gendarme « qui sont plutôt bienveillants. » Car nous connaissons la fin de l'histoire... Cette correspondance de l'intime est suivie des dernières lettres d'une trentaine d'internés sur le point de partir vers l'inconnu.
Ces dernières lettres sont celles d'hommes ordinaires, tous étrangers (deux sont français), la plupart polonais, arrivés en France dans les années 1930, et maîtrisant mal la langue française. Souvent engagés volontaires, la rafle dite du billet vert les a « cueillis », à peine démobilisés. Tel fut le cadeau de la France reconnaissante à leur égard. Plus que des tombeaux de papier, cet ouvrage sauve de l'oubli les noms de ces internés, pères, frères et fils, en redonnant corps à leur humanité.
On entre dans sa correspondance familiale comme par effraction, et on le suit pas à pas, avec l'espoir fou qu'il s'en sortira. On a envie de lui crier de partir, de s'évader, de ne pas faire confiance au préfet, au commandant et au gendarme « qui sont plutôt bienveillants. » Car nous connaissons la fin de l'histoire... Cette correspondance de l'intime est suivie des dernières lettres d'une trentaine d'internés sur le point de partir vers l'inconnu.
Ces dernières lettres sont celles d'hommes ordinaires, tous étrangers (deux sont français), la plupart polonais, arrivés en France dans les années 1930, et maîtrisant mal la langue française. Souvent engagés volontaires, la rafle dite du billet vert les a « cueillis », à peine démobilisés. Tel fut le cadeau de la France reconnaissante à leur égard. Plus que des tombeaux de papier, cet ouvrage sauve de l'oubli les noms de ces internés, pères, frères et fils, en redonnant corps à leur humanité.
Jules-Yoël Geller a vingt ans lorsqu'il est interné à Pithiviers. Il fait partie des plus jeunes parmi les 1 700 Juifs détenus du camp. Commence alors une correspondance entre lui et ses parents d'une part, et sa soeur Judith et son jeune frère Marcel de l'autre : une trentaine de lettres, rédigées entre mai 1941 et juin 1942, pieusement gardées et restituées par sa soeur. Sur un ton badin et enjoué, le jeune homme se raconte à travers la vie du camp.
On entre dans sa correspondance familiale comme par effraction, et on le suit pas à pas, avec l'espoir fou qu'il s'en sortira. On a envie de lui crier de partir, de s'évader, de ne pas faire confiance au préfet, au commandant et au gendarme « qui sont plutôt bienveillants. » Car nous connaissons la fin de l'histoire... Cette correspondance de l'intime est suivie des dernières lettres d'une trentaine d'internés sur le point de partir vers l'inconnu.
Ces dernières lettres sont celles d'hommes ordinaires, tous étrangers (deux sont français), la plupart polonais, arrivés en France dans les années 1930, et maîtrisant mal la langue française. Souvent engagés volontaires, la rafle dite du billet vert les a « cueillis », à peine démobilisés. Tel fut le cadeau de la France reconnaissante à leur égard. Plus que des tombeaux de papier, cet ouvrage sauve de l'oubli les noms de ces internés, pères, frères et fils, en redonnant corps à leur humanité.
On entre dans sa correspondance familiale comme par effraction, et on le suit pas à pas, avec l'espoir fou qu'il s'en sortira. On a envie de lui crier de partir, de s'évader, de ne pas faire confiance au préfet, au commandant et au gendarme « qui sont plutôt bienveillants. » Car nous connaissons la fin de l'histoire... Cette correspondance de l'intime est suivie des dernières lettres d'une trentaine d'internés sur le point de partir vers l'inconnu.
Ces dernières lettres sont celles d'hommes ordinaires, tous étrangers (deux sont français), la plupart polonais, arrivés en France dans les années 1930, et maîtrisant mal la langue française. Souvent engagés volontaires, la rafle dite du billet vert les a « cueillis », à peine démobilisés. Tel fut le cadeau de la France reconnaissante à leur égard. Plus que des tombeaux de papier, cet ouvrage sauve de l'oubli les noms de ces internés, pères, frères et fils, en redonnant corps à leur humanité.
Les livres de Monique Novodorsqui-Deniau

Mes enfants, il faut que je parte.... Raymonde (13 ans) et sa famille dans la tourmente : correspondance et écrits (1942 - 1944)
Raymonde Novodorsqui-Frazier, Monique Novodorsqui-Deniau
Grand Format
22,00 €
