"En vie paraît en 1971. Sans avoir bénéficié de la fulgurance du "boom", le roman mérite d'être lu dans ce cadre. Il s'affirme alors comme ce qu'il est : un roman ascétique, indépendant, insulaire. Dans ce microcosme, les débâcles de ces êtres mis à l'écart, décrites avec obsession, restent actuelles. En cela, En vie peut expliquer la stratégie militante de l'écrivain engagé et de son sort tragique.
Il a été séquestré, torturé et éliminé par la dernière dictature sans que son corps réapparaisse à ce jour. Mais, je suggère de le lire en oubliant la muséification de son auteur. Parce que les pages de son livre sont restées et restent en vie.", Guillermo Saccomanno. "Je ne sais pas si cela a du sens mais je me dis chaque fois : raconte ce qu'il arrive aux gens comme si tu le chantais en y mettant tout ton coeur, et si on ne se souvient pas de ton nom, que personne n'oublie la vieille et simple histoire que tu racontes.", Haroldo Conti.
"En vie paraît en 1971. Sans avoir bénéficié de la fulgurance du "boom", le roman mérite d'être lu dans ce cadre. Il s'affirme alors comme ce qu'il est : un roman ascétique, indépendant, insulaire. Dans ce microcosme, les débâcles de ces êtres mis à l'écart, décrites avec obsession, restent actuelles. En cela, En vie peut expliquer la stratégie militante de l'écrivain engagé et de son sort tragique.
Il a été séquestré, torturé et éliminé par la dernière dictature sans que son corps réapparaisse à ce jour. Mais, je suggère de le lire en oubliant la muséification de son auteur. Parce que les pages de son livre sont restées et restent en vie.", Guillermo Saccomanno. "Je ne sais pas si cela a du sens mais je me dis chaque fois : raconte ce qu'il arrive aux gens comme si tu le chantais en y mettant tout ton coeur, et si on ne se souvient pas de ton nom, que personne n'oublie la vieille et simple histoire que tu racontes.", Haroldo Conti.