Dernière sortie
Scellée
Esther Ramón, née à Madrid en 1970, est partagée entre la passion de l'écriture et celle de la photographie. Son univers, aux images étranges et colorées, se renouvelle toujours de livre en livre. Dans Scellée, son neuvième ouvrage, paru en Espagne en 2019, le premier à être traduit en français, la voix résonne fort, "jusqu'à la voûte racine des sons", et s'enflamme depuis un "foyer d'abrasion" moins fait de feu que d'eau.
On y découvre la quête d'un fil enfoui au-dedans du corps, de la mémoire, où l'écriture part se perdre sur "des foulards d'étain". Elle ramène de ses voyages intérieurs des récits déroutants, traversés de fragments où tout est possible, que soulèvent des mouvements rythmiques puissants.
On y découvre la quête d'un fil enfoui au-dedans du corps, de la mémoire, où l'écriture part se perdre sur "des foulards d'étain". Elle ramène de ses voyages intérieurs des récits déroutants, traversés de fragments où tout est possible, que soulèvent des mouvements rythmiques puissants.
Esther Ramón, née à Madrid en 1970, est partagée entre la passion de l'écriture et celle de la photographie. Son univers, aux images étranges et colorées, se renouvelle toujours de livre en livre. Dans Scellée, son neuvième ouvrage, paru en Espagne en 2019, le premier à être traduit en français, la voix résonne fort, "jusqu'à la voûte racine des sons", et s'enflamme depuis un "foyer d'abrasion" moins fait de feu que d'eau.
On y découvre la quête d'un fil enfoui au-dedans du corps, de la mémoire, où l'écriture part se perdre sur "des foulards d'étain". Elle ramène de ses voyages intérieurs des récits déroutants, traversés de fragments où tout est possible, que soulèvent des mouvements rythmiques puissants.
On y découvre la quête d'un fil enfoui au-dedans du corps, de la mémoire, où l'écriture part se perdre sur "des foulards d'étain". Elle ramène de ses voyages intérieurs des récits déroutants, traversés de fragments où tout est possible, que soulèvent des mouvements rythmiques puissants.
