Les cahiers de critique communiste
Classe ouvrière, salariat, luttes des classes

Par : Antoine Artous, Henri Wilno, Sabine Fortino, Patrice Cuperty

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages112
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.09 kg
  • Dimensions10,5 cm × 16,5 cm × 0,6 cm
  • ISBN2-84950-022-4
  • EAN9782849500224
  • Date de parution01/02/2005
  • ÉditeurSyllepse (Editions)

Résumé

Il y a encore peu de temps, parler de classes semblait totalement archaïque. On nous annonçait que la classe ouvrière et le prolétariat s'étaient fondus dans une vaste classe moyenne dont les conditions de vie ne cessaient de s'améliorer. Depuis, l'offensive néolibérale et la mondialisation capitaliste ont montré que ce rêve était fini. Non seulement les inégalités sociales n'ont pas disparu, mais le système les renforce.
On ne peut toutefois s'en tenir à ce seul constat. Il est indéniable que les ouvriers de l'industrie n'occupent plus la même place. Et si le salariat s'est renforcé, il s'est également fortement diversifié. La notion de salariat est-elle équivalente à ce que, dans le passé, le mouvement ouvrier appelait classe ouvrière ? Comment articuler l'analyse des rapports de classe et des rapports sociaux de sexe ? Comment analyser l'offensive néolibérale de restructuration du rapport salarial ? La référence à la centralité du conflit entre le prolétariat et le capital est-elle devenue obsolète, remplacée par des mouvements sociaux aux visages divers ou par les luttes de la " multitude " ?
Il y a encore peu de temps, parler de classes semblait totalement archaïque. On nous annonçait que la classe ouvrière et le prolétariat s'étaient fondus dans une vaste classe moyenne dont les conditions de vie ne cessaient de s'améliorer. Depuis, l'offensive néolibérale et la mondialisation capitaliste ont montré que ce rêve était fini. Non seulement les inégalités sociales n'ont pas disparu, mais le système les renforce.
On ne peut toutefois s'en tenir à ce seul constat. Il est indéniable que les ouvriers de l'industrie n'occupent plus la même place. Et si le salariat s'est renforcé, il s'est également fortement diversifié. La notion de salariat est-elle équivalente à ce que, dans le passé, le mouvement ouvrier appelait classe ouvrière ? Comment articuler l'analyse des rapports de classe et des rapports sociaux de sexe ? Comment analyser l'offensive néolibérale de restructuration du rapport salarial ? La référence à la centralité du conflit entre le prolétariat et le capital est-elle devenue obsolète, remplacée par des mouvements sociaux aux visages divers ou par les luttes de la " multitude " ?
Retours sur mai
Antoine Artous, Francis Sitel
E-book
7,99 €
Retours sur mai
Antoine Artous, Francis Sitel
E-book
7,99 €
Marx politique
Jean-Numa Ducange, Isabelle Garo
18,00 €