Les cahiers de critique communiste
Marx et l'appropriation sociale
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- Nombre de pages121
- PrésentationBroché
- Poids0.1 kg
- Dimensions10,6 cm × 16,5 cm × 0,8 cm
- ISBN2-84797-071-1
- EAN9782847970715
- Date de parution16/12/2003
- CollectionArguments et mouvements
- ÉditeurSyllepse (éditions)
Résumé
Si autrefois la plupart des organisations du mouvement ouvrier faisaient référence à l'appropriation collective des grands moyens de production et d'échange, cet horizon a disparu. Pourtant, le déchaînement de la mondialisation capitaliste et de la marchandisation, pose de façon aiguë le besoin d'une maîtrise de la société sur son développement économique. Comment une société qui n'a aucun contrôle sur une de ses activités essentielles, l'activité économique, peut-elle se dire démocratique ? On ne peut toutefois ignorer le bilan du " socialisme réel ".
Si Marx n'a jamais prôné une telle étatisation bureaucratique, il est indispensable de revenir sur les perspectives d'appropriation collective qu'il a esquissés. Ceci, afin de restituer son projet d'ensemble, mais également ses zones d'ombre. Sa perspective qui est celle d'une appropriation sociale de la production met l'accent sur la nécessité d'une transformation radicale du pouvoir public, sur l'organisation coopérative et la remise en cause du " despotisme d'usine ".
Si Marx n'a jamais prôné une telle étatisation bureaucratique, il est indispensable de revenir sur les perspectives d'appropriation collective qu'il a esquissés. Ceci, afin de restituer son projet d'ensemble, mais également ses zones d'ombre. Sa perspective qui est celle d'une appropriation sociale de la production met l'accent sur la nécessité d'une transformation radicale du pouvoir public, sur l'organisation coopérative et la remise en cause du " despotisme d'usine ".
Si autrefois la plupart des organisations du mouvement ouvrier faisaient référence à l'appropriation collective des grands moyens de production et d'échange, cet horizon a disparu. Pourtant, le déchaînement de la mondialisation capitaliste et de la marchandisation, pose de façon aiguë le besoin d'une maîtrise de la société sur son développement économique. Comment une société qui n'a aucun contrôle sur une de ses activités essentielles, l'activité économique, peut-elle se dire démocratique ? On ne peut toutefois ignorer le bilan du " socialisme réel ".
Si Marx n'a jamais prôné une telle étatisation bureaucratique, il est indispensable de revenir sur les perspectives d'appropriation collective qu'il a esquissés. Ceci, afin de restituer son projet d'ensemble, mais également ses zones d'ombre. Sa perspective qui est celle d'une appropriation sociale de la production met l'accent sur la nécessité d'une transformation radicale du pouvoir public, sur l'organisation coopérative et la remise en cause du " despotisme d'usine ".
Si Marx n'a jamais prôné une telle étatisation bureaucratique, il est indispensable de revenir sur les perspectives d'appropriation collective qu'il a esquissés. Ceci, afin de restituer son projet d'ensemble, mais également ses zones d'ombre. Sa perspective qui est celle d'une appropriation sociale de la production met l'accent sur la nécessité d'une transformation radicale du pouvoir public, sur l'organisation coopérative et la remise en cause du " despotisme d'usine ".