L'Etat post-moderne
3e édition

Par : Jacques Chevallier
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  • Nombre de pages266
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.445 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-275-03318-1
  • EAN9782275033181
  • Date de parution02/10/2008
  • CollectionDroit et société. Politique
  • ÉditeurLGDJ

Résumé

Tout se passe comme si les sociétés contemporaines connaissaient, en début de ce XXIe siècle, une transformation profonde de leurs principes d'organisation. Il semble qu'on soit entré dans un âge nouveau, dans lequel l'architecture sociale tout entière est en passe d'être redéfinie, au prix de fortes secousses : la société " moderne ", dont les contours ont été tracés en occident avant d'être diffusée à l'échelle planétaire, tend à faire place à une société nouvelle qui, si elle s'enracine dans la modernité, n'en présente pas moins des caractéristiques différentes, donc " post-moderne ".
Les changements qui affectent l'État ne sont qu'un des aspects de cette mutation et, en tant que tels, indissociables des mouvements de fond qui agitent le social. L'entrée de l'État dans l'âge de la post-modernité se traduit par la remise en cause des attributs classiques qui étaient les siens, sans qu'il soit possible pour autant de tracer les contours d'un autre modèle étatique : l'État post-moderne est un État dont les traits restent marqués par l'incertitude, la complexité, l'indétermination.
Pour l'analyser, il est seulement possible de dégager un certain nombre d'aspects qui sont la marque, l'indice, le signe tangible de cette indétermination nouvelle : la reconfiguration des appareils d'État (chapitre I) et les transformations corrélatives dans la conception du droit (chapitre 2), recouvrent ainsi un mouvement plus profond de redéfinition du lien politique (chapitre 3).
Tout se passe comme si les sociétés contemporaines connaissaient, en début de ce XXIe siècle, une transformation profonde de leurs principes d'organisation. Il semble qu'on soit entré dans un âge nouveau, dans lequel l'architecture sociale tout entière est en passe d'être redéfinie, au prix de fortes secousses : la société " moderne ", dont les contours ont été tracés en occident avant d'être diffusée à l'échelle planétaire, tend à faire place à une société nouvelle qui, si elle s'enracine dans la modernité, n'en présente pas moins des caractéristiques différentes, donc " post-moderne ".
Les changements qui affectent l'État ne sont qu'un des aspects de cette mutation et, en tant que tels, indissociables des mouvements de fond qui agitent le social. L'entrée de l'État dans l'âge de la post-modernité se traduit par la remise en cause des attributs classiques qui étaient les siens, sans qu'il soit possible pour autant de tracer les contours d'un autre modèle étatique : l'État post-moderne est un État dont les traits restent marqués par l'incertitude, la complexité, l'indétermination.
Pour l'analyser, il est seulement possible de dégager un certain nombre d'aspects qui sont la marque, l'indice, le signe tangible de cette indétermination nouvelle : la reconfiguration des appareils d'État (chapitre I) et les transformations corrélatives dans la conception du droit (chapitre 2), recouvrent ainsi un mouvement plus profond de redéfinition du lien politique (chapitre 3).
Droit et marché
Sarah Dormont, Thomas Perroud
45,00 €