Cahiers d'études romanes N° 50/2025
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.327 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN979-10-320-0558-3
- EAN9791032005583
- Date de parution26/06/2025
- ÉditeurPU de Provence
Résumé
La réécriture, au mépris du fait que tout est déjà dit, atteste que pourtant, sans cesse, on peut le dire de nouveau. Et ce, dans le but de réformer le texte-source, de faire émerger des aspects encore délaissés, de modifier certains angles de vue. Qu'elle soit laudative, critique ou transgressive, la réécriture constitue la réponse d'un auteur à la suite de son expérience de lecteur, de traducteur, voire de spectateur.
Loin d'être un arrangement commode dans l'optique de faire, sans effort, du neuf avec du vieux, elle est acte de revivification. Tournée vers l'avenir, et non vers le passé, tournée vers l'autre, et non vers le même, elle est donc l'essence du vivant, qui se définit par un renouvellement constant. Au mépris de l'affirmation selon laquelle tout est déjà dit, la réécriture atteste qu'on peut le dire de nouveau.
Et ce, quelquefois, dans l'intention de réformer l'esprit de l'hypotexte, de faire émerger des aspects encore délaissés, de modifier certains angles de vue. En partant de la conviction qu'une révolte écrite saurait contribuer à faire changer ce qu'Antonin Artaud nommait "? l'ordre physique et apparent des choses ? ", ou du moins à créer un mouvement dans les consciences, cet ouvrage collectif entend analyser la réécriture comme une forme de réappropriation, parfois subversive, vis-à-vis d'un discours, d'un mode de connaissance, d'une esthétique, d'une image de marque, d'une prétendue vérité, d'un code que la tradition, la pensée dominante ou les pouvoirs en place ont construit ou qu'ils cherchent à imposer.
Car les arts et la littérature, outre qu'ils se révèlent des prismes d'élection pour comprendre la réalité ou l'explorer, demeurent des sphères privilégiées de réaction et même d'insurrection.
Loin d'être un arrangement commode dans l'optique de faire, sans effort, du neuf avec du vieux, elle est acte de revivification. Tournée vers l'avenir, et non vers le passé, tournée vers l'autre, et non vers le même, elle est donc l'essence du vivant, qui se définit par un renouvellement constant. Au mépris de l'affirmation selon laquelle tout est déjà dit, la réécriture atteste qu'on peut le dire de nouveau.
Et ce, quelquefois, dans l'intention de réformer l'esprit de l'hypotexte, de faire émerger des aspects encore délaissés, de modifier certains angles de vue. En partant de la conviction qu'une révolte écrite saurait contribuer à faire changer ce qu'Antonin Artaud nommait "? l'ordre physique et apparent des choses ? ", ou du moins à créer un mouvement dans les consciences, cet ouvrage collectif entend analyser la réécriture comme une forme de réappropriation, parfois subversive, vis-à-vis d'un discours, d'un mode de connaissance, d'une esthétique, d'une image de marque, d'une prétendue vérité, d'un code que la tradition, la pensée dominante ou les pouvoirs en place ont construit ou qu'ils cherchent à imposer.
Car les arts et la littérature, outre qu'ils se révèlent des prismes d'élection pour comprendre la réalité ou l'explorer, demeurent des sphères privilégiées de réaction et même d'insurrection.
La réécriture, au mépris du fait que tout est déjà dit, atteste que pourtant, sans cesse, on peut le dire de nouveau. Et ce, dans le but de réformer le texte-source, de faire émerger des aspects encore délaissés, de modifier certains angles de vue. Qu'elle soit laudative, critique ou transgressive, la réécriture constitue la réponse d'un auteur à la suite de son expérience de lecteur, de traducteur, voire de spectateur.
Loin d'être un arrangement commode dans l'optique de faire, sans effort, du neuf avec du vieux, elle est acte de revivification. Tournée vers l'avenir, et non vers le passé, tournée vers l'autre, et non vers le même, elle est donc l'essence du vivant, qui se définit par un renouvellement constant. Au mépris de l'affirmation selon laquelle tout est déjà dit, la réécriture atteste qu'on peut le dire de nouveau.
Et ce, quelquefois, dans l'intention de réformer l'esprit de l'hypotexte, de faire émerger des aspects encore délaissés, de modifier certains angles de vue. En partant de la conviction qu'une révolte écrite saurait contribuer à faire changer ce qu'Antonin Artaud nommait "? l'ordre physique et apparent des choses ? ", ou du moins à créer un mouvement dans les consciences, cet ouvrage collectif entend analyser la réécriture comme une forme de réappropriation, parfois subversive, vis-à-vis d'un discours, d'un mode de connaissance, d'une esthétique, d'une image de marque, d'une prétendue vérité, d'un code que la tradition, la pensée dominante ou les pouvoirs en place ont construit ou qu'ils cherchent à imposer.
Car les arts et la littérature, outre qu'ils se révèlent des prismes d'élection pour comprendre la réalité ou l'explorer, demeurent des sphères privilégiées de réaction et même d'insurrection.
Loin d'être un arrangement commode dans l'optique de faire, sans effort, du neuf avec du vieux, elle est acte de revivification. Tournée vers l'avenir, et non vers le passé, tournée vers l'autre, et non vers le même, elle est donc l'essence du vivant, qui se définit par un renouvellement constant. Au mépris de l'affirmation selon laquelle tout est déjà dit, la réécriture atteste qu'on peut le dire de nouveau.
Et ce, quelquefois, dans l'intention de réformer l'esprit de l'hypotexte, de faire émerger des aspects encore délaissés, de modifier certains angles de vue. En partant de la conviction qu'une révolte écrite saurait contribuer à faire changer ce qu'Antonin Artaud nommait "? l'ordre physique et apparent des choses ? ", ou du moins à créer un mouvement dans les consciences, cet ouvrage collectif entend analyser la réécriture comme une forme de réappropriation, parfois subversive, vis-à-vis d'un discours, d'un mode de connaissance, d'une esthétique, d'une image de marque, d'une prétendue vérité, d'un code que la tradition, la pensée dominante ou les pouvoirs en place ont construit ou qu'ils cherchent à imposer.
Car les arts et la littérature, outre qu'ils se révèlent des prismes d'élection pour comprendre la réalité ou l'explorer, demeurent des sphères privilégiées de réaction et même d'insurrection.