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Traduire Baudelaire. La joute des Italiens. "Hymne à la Beauté" par Caproni, Bufalino et Prete

Par : Gianluca Leoncini
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  • Nombre de pages110
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.194 kg
  • Dimensions15,9 cm × 24,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN979-10-320-0572-9
  • EAN9791032005729
  • Date de parution23/10/2025
  • CollectionTextuelles
  • ÉditeurPU PROVENCE

Résumé

Cette étude portant sur la traduction en italien du poème "? Hymne à la Beauté? " de Baudelaire analyse les versions de trois voix prestigieuses. Sans prétendre évaluer le talent et l'habileté de chaque contendant, l'auteur mène ici une étude contrastive des traductions en italien du poème "Hymne à la Beauté" de Baudelaire en cherchant à approfondir la variété des options d'interprétation de l'énoncé baudelairien, à faire émerger ses potentialités, à mettre au jour sa polysémie et à suggérer des clefs interprétatives non encore expérimentées.
Cette joute permet, d'une part, d'identifier les postures de trois traducteurs de renom des Fleurs du mal en Italie (Caproni, Bufalino, Prete), et rend également possible un retour réflexif sur des écueils discursifs (obscurités sémantiques, constructions elliptiques) qui ont pu constituer pour eux, au moment de l'examen exégétique, de stimulants défis langagiers et intellectuels. L'acte traductif, toutefois, ne se limite pas à des visées purement sémantiques : les textes-seconds, passés en revue, cherchent, au-delà du sens immédiat, à reproduire le sens émotionnel généré par l'hypotexte afin que le lecteur d'arrivée puisse revivre l'expérience esthétique du lecteur de départ.
Art herméneutique à part entière, la traduction littéraire, par le biais de cet affrontement virtuel, certifie de ce fait que son véritable enjeu consiste moins à dupliquer la matière originale qu'à l'explorer et à la réinventer.
Cette étude portant sur la traduction en italien du poème "? Hymne à la Beauté? " de Baudelaire analyse les versions de trois voix prestigieuses. Sans prétendre évaluer le talent et l'habileté de chaque contendant, l'auteur mène ici une étude contrastive des traductions en italien du poème "Hymne à la Beauté" de Baudelaire en cherchant à approfondir la variété des options d'interprétation de l'énoncé baudelairien, à faire émerger ses potentialités, à mettre au jour sa polysémie et à suggérer des clefs interprétatives non encore expérimentées.
Cette joute permet, d'une part, d'identifier les postures de trois traducteurs de renom des Fleurs du mal en Italie (Caproni, Bufalino, Prete), et rend également possible un retour réflexif sur des écueils discursifs (obscurités sémantiques, constructions elliptiques) qui ont pu constituer pour eux, au moment de l'examen exégétique, de stimulants défis langagiers et intellectuels. L'acte traductif, toutefois, ne se limite pas à des visées purement sémantiques : les textes-seconds, passés en revue, cherchent, au-delà du sens immédiat, à reproduire le sens émotionnel généré par l'hypotexte afin que le lecteur d'arrivée puisse revivre l'expérience esthétique du lecteur de départ.
Art herméneutique à part entière, la traduction littéraire, par le biais de cet affrontement virtuel, certifie de ce fait que son véritable enjeu consiste moins à dupliquer la matière originale qu'à l'explorer et à la réinventer.