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Les dernières notes et avis

Notes et avis 1 à 8 sur un total de 28
Les Renards pâles
Avis posté le 2013-09-17
    Critique de Conso-Mag.com
    [...] Rapidement, le ton employé par Yannick Haenel devient accusateur et interpelle, gêne, crispe. On plonge alors dans un discours « gauchiste » et anticapitaliste quelque peu surfait, véritable blâme de la finance et du monde économique libéral. Ajoutez à cela un style poétique, certes travaillé, mais trop souvent vide de sens et présent simplement pour enjoliver la prose de l’auteur, et vous obtenez un mélange assez indigeste qui ne nous a pas du tout convaincu. Au final, nous sommes globalement déçus par ce nouveau roman de Haenel même si on ne peut que saluer sa volonté de mettre en avant et de faire briller les sans-papiers. Si le fond est là, la forme nous a en revanche laissé perplexes. • Lire la critique complète : http://www.conso-mag.com/reviews/livre-les-renards-pales-de-yannick-haenel/
    [...] Rapidement, le ton employé par Yannick Haenel devient accusateur et interpelle, gêne, crispe. On plonge alors dans un discours « gauchiste » et anticapitaliste quelque peu surfait, véritable blâme de la finance et du monde économique libéral. Ajoutez à cela un style poétique, certes travaillé, mais trop souvent vide de sens et présent simplement pour enjoliver la prose de l’auteur, et vous obtenez un mélange assez indigeste qui ne nous a pas du tout convaincu. Au final, nous sommes globalement déçus par ce nouveau roman de Haenel même si on ne peut que saluer sa volonté de mettre en avant et de faire briller les sans-papiers. Si le fond est là, la forme nous a en revanche laissé perplexes. • Lire la critique complète : http://www.conso-mag.com/reviews/livre-les-renards-pales-de-yannick-haenel/
      Critique de Conso-Mag.com
      [...] Bref, « A la découverte de la cuisine ukrainienne » reste pour moi une bonne surprise, du fait que je n’avais jamais eu entre mes mains un livre traitant de cette cuisine. Si vous voulez découvrir une cuisine originale, laissez vous tenter par ce livre de recettes. • Lire la critique complète : http://www.conso-mag.com/reviews/livre-a-la-decouverte-de-la-cuisine-ukrainienne/
      [...] Bref, « A la découverte de la cuisine ukrainienne » reste pour moi une bonne surprise, du fait que je n’avais jamais eu entre mes mains un livre traitant de cette cuisine. Si vous voulez découvrir une cuisine originale, laissez vous tenter par ce livre de recettes. • Lire la critique complète : http://www.conso-mag.com/reviews/livre-a-la-decouverte-de-la-cuisine-ukrainienne/
      Plonger
      Avis posté le 2013-09-17
        Critique de Conso-Mag.com
        Paz était artiste et photographe, elle était indépendante, libre, impénétrable et mystérieuse. Une envie constante de voyager et de découvrir l’a amenée à vivre la plupart du temps loin de l’Europe et de son bien-aimé. Le narrateur en profite pour se remémorer cette histoire d’amour et replonger dans son passé. Le tout contenu dans un récit entraînant, écrit par une plume dynamique. Pas d’introduction cotonneuse au début de l’histoire, on entre tout de suite dans le vif du sujet. Christophe Ono-Dit-Biot réussit ainsi à nous tenir en haleine tout au long du livre. Bref, Plonger est tout ce qu’on aime chez Conso-Mag, à savoir un roman mouvementé, surprenant et émouvant. • Lire la critique complète : http://www.conso-mag.com/reviews/livre-plonger-de-christophe-ono-dit-biot/
        Paz était artiste et photographe, elle était indépendante, libre, impénétrable et mystérieuse. Une envie constante de voyager et de découvrir l’a amenée à vivre la plupart du temps loin de l’Europe et de son bien-aimé. Le narrateur en profite pour se remémorer cette histoire d’amour et replonger dans son passé. Le tout contenu dans un récit entraînant, écrit par une plume dynamique. Pas d’introduction cotonneuse au début de l’histoire, on entre tout de suite dans le vif du sujet. Christophe Ono-Dit-Biot réussit ainsi à nous tenir en haleine tout au long du livre. Bref, Plonger est tout ce qu’on aime chez Conso-Mag, à savoir un roman mouvementé, surprenant et émouvant. • Lire la critique complète : http://www.conso-mag.com/reviews/livre-plonger-de-christophe-ono-dit-biot/
        La nuit en vérité
        Avis posté le 2013-09-05
          Critique de Conso-Mag.com
          Véronique Olmi n’est pas une novice puisqu’elle écrit avec La nuit en vérité son dixième roman. Après avoir régulièrement abordé les liaisons amoureuses dans les coupes, elle s’attelle cette fois-ci à la relation mère-fils à travers la vie d’une famille monoparentale que l’on peut qualifier de marginale. Cette famille pas comme les autres est composée de Liouba Popov, jeune femme russe dans le rôle de la mère, et de Enzo Popov, son fils, dans le rôle du préadolescent obèse et timide. Ils vivent ensemble dans un grand appartement de Paris où Liouba officie en tant que femme de ménage, et où ils profitent de l’absence répétée des propriétaires. L’auteur fait de ces deux personnages un duo fusionnel, dans lequel persistent de nombreuses tensions, dues entre autres aux particularités qui caractérisent chacun des deux êtres. Lire la critique complète : http://www.conso-mag.com/reviews/livre-la-nuit-en-verite-de-veronique-olmi/
          Véronique Olmi n’est pas une novice puisqu’elle écrit avec La nuit en vérité son dixième roman. Après avoir régulièrement abordé les liaisons amoureuses dans les coupes, elle s’attelle cette fois-ci à la relation mère-fils à travers la vie d’une famille monoparentale que l’on peut qualifier de marginale. Cette famille pas comme les autres est composée de Liouba Popov, jeune femme russe dans le rôle de la mère, et de Enzo Popov, son fils, dans le rôle du préadolescent obèse et timide. Ils vivent ensemble dans un grand appartement de Paris où Liouba officie en tant que femme de ménage, et où ils profitent de l’absence répétée des propriétaires. L’auteur fait de ces deux personnages un duo fusionnel, dans lequel persistent de nombreuses tensions, dues entre autres aux particularités qui caractérisent chacun des deux êtres. Lire la critique complète : http://www.conso-mag.com/reviews/livre-la-nuit-en-verite-de-veronique-olmi/
          Volt
          Avis posté le 2013-09-05
            Critique de Conso-Mag.com
            Dans son bouquin, Alan Heathcock nous raconte l’histoire de plusieurs personnes ayant toutes un dénominateur commun : le village de Krafton, leur lieu de résidence. Un bled paumé au beau milieu de l’Amérique profonde, théâtre d’événements inavouables, tombeau de secrets qui doivent rester à jamais enfouis. Chaque nouvelle nous conte les aventures d’un nouveau personnage. Du père qui réveille son fils en plein milieu de la nuit afin qu’il l’aide à dissimuler le cadavre d’un homme qu’il vient d’assassiner, au père de famille qui s’enfouit de Krafton après avoir causé la mort de son fils dans un accident, en passant par la shérif du village qui décide de faire justice elle-même pour être certaine qu’un criminel récolte la peine qu’il mérite réellement, chaque histoire apporte son lot d’émotions et d’instants forts. Malgré un nombre de pages assez restreint pour chaque nouvelle (certaines ne durent pas plus d’une cinquantaine de pages), on parvient à s’attacher aux personnages, à ressentir leurs joies – mais surtout leurs peines, à se projeter dans ce lieu figé dans le passé qu’est Krafton. Lire la critique complète : http://www.conso-mag.com/reviews/livre-volt-dalan-heathcock/
            Dans son bouquin, Alan Heathcock nous raconte l’histoire de plusieurs personnes ayant toutes un dénominateur commun : le village de Krafton, leur lieu de résidence. Un bled paumé au beau milieu de l’Amérique profonde, théâtre d’événements inavouables, tombeau de secrets qui doivent rester à jamais enfouis. Chaque nouvelle nous conte les aventures d’un nouveau personnage. Du père qui réveille son fils en plein milieu de la nuit afin qu’il l’aide à dissimuler le cadavre d’un homme qu’il vient d’assassiner, au père de famille qui s’enfouit de Krafton après avoir causé la mort de son fils dans un accident, en passant par la shérif du village qui décide de faire justice elle-même pour être certaine qu’un criminel récolte la peine qu’il mérite réellement, chaque histoire apporte son lot d’émotions et d’instants forts. Malgré un nombre de pages assez restreint pour chaque nouvelle (certaines ne durent pas plus d’une cinquantaine de pages), on parvient à s’attacher aux personnages, à ressentir leurs joies – mais surtout leurs peines, à se projeter dans ce lieu figé dans le passé qu’est Krafton. Lire la critique complète : http://www.conso-mag.com/reviews/livre-volt-dalan-heathcock/
            Le temple noir
            Avis posté le 2013-09-02
              Critique de Conso-Mag.com
              Antoine Marcas, neuvième ! Eric Giacometti et Jacques Ravenne remettent le couvert pour nous proposer une nouvelle aventure de notre Indiana Jones des temps modernes. Prenant place une dizaine de mois après Le Septième Templier, le nouveau roman Le Temple Noir fait replonger le lecteur dans les conspirations franc-maçonniques et autres croyances ésotériques, avec plus ou moins de brio. C’est vrai, autant cesser le suspense tout de suite et livrer notre verdict dès maintenant : ce nouveau bouquin du célèbre duo n’est pas aussi délicieux que les précédents, même s’il reste excellent. Un signe avant-coureur que le filon commence légèrement à s’essouffler ? Les idées sont pourtant bonnes. La première repose sur les trois façons possibles de lire l’ouvrage. « Trois. Chiffre maçonnique par excellence » comme le déclarent d’ailleurs les auteurs en introduction de leur roman. Ainsi, l’oeuvre alterne entre chapitres contemporains et passages historiques, en 1232, en pleine Terre Sainte. Si Giacometti et Ravenne déclarent qu’il est tout à fait possible de lire le livre d’une traite, il est également possible de le parcourir en lisant d’abord les chapitres mettant en avant Antoine Marcas, avant de se faire un bond dans le passé pour lire les autres. Ou inversement. Libre à vous, donc, de choisir la voie qui vous semble la plus intéressante. Pour son époque moderne, Le Temple Noir prend principalement place dans un Londres où se préparent les Jeux Olympiques de 2012. Mêlant habilement secrets maçonniques et mystères financiers de la City, les auteurs parviennent comme toujours à nous faire aller où bon leur semble, enchaînant les rebondissements et autres révélations. On regrettera toutefois que quelques personnages, notamment féminins ne soient pas plus présents, mais surtout un final qui pourrait décevoir – et il semble que ce soit le cas au vu des critiques émises ici et là par les lecteurs. Le Temple Noir reste malgré tout un excellent roman qui parvient à nous captiver tout du long. Désormais disponible au format Pocket pour moins d’une dizaine d’euros, ce serait faire la fine bouche que de passer à côté. http://www.conso-mag.com/reviews/livre-le-temple-noir-de-giacometti-et-ravenne/
              Antoine Marcas, neuvième ! Eric Giacometti et Jacques Ravenne remettent le couvert pour nous proposer une nouvelle aventure de notre Indiana Jones des temps modernes. Prenant place une dizaine de mois après Le Septième Templier, le nouveau roman Le Temple Noir fait replonger le lecteur dans les conspirations franc-maçonniques et autres croyances ésotériques, avec plus ou moins de brio. C’est vrai, autant cesser le suspense tout de suite et livrer notre verdict dès maintenant : ce nouveau bouquin du célèbre duo n’est pas aussi délicieux que les précédents, même s’il reste excellent. Un signe avant-coureur que le filon commence légèrement à s’essouffler ? Les idées sont pourtant bonnes. La première repose sur les trois façons possibles de lire l’ouvrage. « Trois. Chiffre maçonnique par excellence » comme le déclarent d’ailleurs les auteurs en introduction de leur roman. Ainsi, l’oeuvre alterne entre chapitres contemporains et passages historiques, en 1232, en pleine Terre Sainte. Si Giacometti et Ravenne déclarent qu’il est tout à fait possible de lire le livre d’une traite, il est également possible de le parcourir en lisant d’abord les chapitres mettant en avant Antoine Marcas, avant de se faire un bond dans le passé pour lire les autres. Ou inversement. Libre à vous, donc, de choisir la voie qui vous semble la plus intéressante. Pour son époque moderne, Le Temple Noir prend principalement place dans un Londres où se préparent les Jeux Olympiques de 2012. Mêlant habilement secrets maçonniques et mystères financiers de la City, les auteurs parviennent comme toujours à nous faire aller où bon leur semble, enchaînant les rebondissements et autres révélations. On regrettera toutefois que quelques personnages, notamment féminins ne soient pas plus présents, mais surtout un final qui pourrait décevoir – et il semble que ce soit le cas au vu des critiques émises ici et là par les lecteurs. Le Temple Noir reste malgré tout un excellent roman qui parvient à nous captiver tout du long. Désormais disponible au format Pocket pour moins d’une dizaine d’euros, ce serait faire la fine bouche que de passer à côté. http://www.conso-mag.com/reviews/livre-le-temple-noir-de-giacometti-et-ravenne/