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L'enfant des cimetières
Avis posté le 2012-11-07
Du fantastique dans une intrigue policière... bienvenue dans l'univers de Sire Cédric !
Dans le monde réel, tout commence par le massacre d'une famille. Un fossoyeur tue sa femme et ses enfants avant de mettre fin à ses jours. Simple fait divers ?
Deux journalistes locaux, David et Aurore se rendent sur les lieux et assistent à l'horreur laissée sur la scène de crime qui a pour toile de fond... un cimetière.
Le lendemain, c'est la compagne de David qui mourra sous la main d'un homme pris également de crise de démence. Quelle folie s'est emparée de ces hommes ?
Le commandant Vauvert a du mal à comprendre les discours incohérents des témoins: fantôme d'un enfant aux cheveux longs et blancs, son regard bleuté, les cauchemars, les images horribles, les ombres noires qui se referment sur les corps et y laissent des plaies.
Qui est cet enfant des cimetières ? Une légende urbaine ou un véritable être démoniaque qui hante les rêves des gens et les pousse au suicide ?
Sire Cédric est un auteur étonnant qui a su allier thriller et fantastique habilement. Tout au long du livre, on est happé dans l'irréel, dans un monde noir et hanté d'entités possédées et perverses et... d'un coup, replongé dans la réalité grâce à la présence imposante et rassurante de Vauvert. C'est ce personnage qui nous permet de rester ancrer dans la vie réelle. Il m'a été nécessaire pour faire face à ce monde parallèle décrit pas l'auteur. Un monde si troublant de "réalisme" tant dans l'atmosphère mise en place que dans les descriptions crues et sans concession.
"Un à un, les morts s'extirpent de leurs mausolées, brisant les portes et renversant les pierres tombales. Du fond de leurs gorges renaît le verbe, une plainte d'adoration qui monte sous la pluie, à mesure que l'herbe luxuriante et les fleurs s'épanouissent."
"Sous la pluie battante, à la lueur des éclairs, la vie et la mort se mêlent, cathédrale de chair mouvante, de corps enlacés, qui ne semblent plus appartenir qu'à une seule entité avide et frémissante."
Le rythme haletant ne m'a pas permis de pause. Je me suis laissée glisser sous la plume diabolique de Sire Cédric.
Au suivant...
Dans le monde réel, tout commence par le massacre d'une famille. Un fossoyeur tue sa femme et ses enfants avant de mettre fin à ses jours. Simple fait divers ?
Deux journalistes locaux, David et Aurore se rendent sur les lieux et assistent à l'horreur laissée sur la scène de crime qui a pour toile de fond... un cimetière.
Le lendemain, c'est la compagne de David qui mourra sous la main d'un homme pris également de crise de démence. Quelle folie s'est emparée de ces hommes ?
Le commandant Vauvert a du mal à comprendre les discours incohérents des témoins: fantôme d'un enfant aux cheveux longs et blancs, son regard bleuté, les cauchemars, les images horribles, les ombres noires qui se referment sur les corps et y laissent des plaies.
Qui est cet enfant des cimetières ? Une légende urbaine ou un véritable être démoniaque qui hante les rêves des gens et les pousse au suicide ?
Sire Cédric est un auteur étonnant qui a su allier thriller et fantastique habilement. Tout au long du livre, on est happé dans l'irréel, dans un monde noir et hanté d'entités possédées et perverses et... d'un coup, replongé dans la réalité grâce à la présence imposante et rassurante de Vauvert. C'est ce personnage qui nous permet de rester ancrer dans la vie réelle. Il m'a été nécessaire pour faire face à ce monde parallèle décrit pas l'auteur. Un monde si troublant de "réalisme" tant dans l'atmosphère mise en place que dans les descriptions crues et sans concession.
"Un à un, les morts s'extirpent de leurs mausolées, brisant les portes et renversant les pierres tombales. Du fond de leurs gorges renaît le verbe, une plainte d'adoration qui monte sous la pluie, à mesure que l'herbe luxuriante et les fleurs s'épanouissent."
"Sous la pluie battante, à la lueur des éclairs, la vie et la mort se mêlent, cathédrale de chair mouvante, de corps enlacés, qui ne semblent plus appartenir qu'à une seule entité avide et frémissante."
Le rythme haletant ne m'a pas permis de pause. Je me suis laissée glisser sous la plume diabolique de Sire Cédric.
Au suivant...