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Filipe G

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les Arsène Lupin de Maurice Leblanc. On est avec cette série dans l'esprit filou/coquin qui correspond bien à la culture populaire française. J'aime me dire qu'il est inspiré du voleur anarchiste Alexandre Jacob, qui lui a bien existé, que Lupin bat en brèche une certaine idée de la morale et corrige la figure un peu fadasse du héros, probe et honnête.
les Arsène Lupin de Maurice Leblanc. On est avec cette série dans l'esprit filou/coquin qui correspond bien à la culture populaire française. J'aime me dire qu'il est inspiré du voleur anarchiste Alexandre Jacob, qui lui a bien existé, que Lupin bat en brèche une certaine idée de la morale et corrige la figure un peu fadasse du héros, probe et honnête.

Le livre que j'ai dévoré le plus vite

Les racines du mal, de Dantec
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Si je devais sauver un livre, ce serait...

Le livre de l'intranquilité de Pessoa
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Un livre qui m'a fait (sou)rire

Le dernier testament de Ben Zion Avrohom de James Frey
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Un livre qui m'a remué

Les saisons de Maurice Pons
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Si j'étais un livre, je serais...

Marelle de Cortazar
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Mes passions

faire des cartes heuristiques lorsque je pêche à la ligne
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Le pays où je rêve d'aller

Les états et empires de la lune et du soleil, pour le fun et leurs moeurs
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La musique qui me motive

le "son de saturne" enregistré par la sonde Voyager 1 ou 2, je ne sais plus.
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Les derniers avis

    Contre Céline
    Admirateur du Céline du « Voyage… », Kaminski rédige en 1938 ce texte à l’occasion de sa lecture de "Bagatelle pour un massacre ». Il y met en scène Céline comme un personnage de roman à la recherche d’un sujet, d’un mobile, tout trouvé dans l’antisémitisme. Pamphlet écrit dans le « jus » de son époque, ce témoignage est presque prémonitoire. Et puis au final, on a tous quelque chose en nous de Kaminski, amoureux, déçu puis critique.
    Admirateur du Céline du « Voyage… », Kaminski rédige en 1938 ce texte à l’occasion de sa lecture de "Bagatelle pour un massacre ». Il y met en scène Céline comme un personnage de roman à la recherche d’un sujet, d’un mobile, tout trouvé dans l’antisémitisme. Pamphlet écrit dans le « jus » de son époque, ce témoignage est presque prémonitoire. Et puis au final, on a tous quelque chose en nous de Kaminski, amoureux, déçu puis critique.
    Moi, Marthe et les autres
    Avis posté le 2019-04-30
      post-apo
      Dans ce récit post-apocalyptique, on suit une bande de jeunes personnages tentant de survivre dans une société (existe-t-elle toujours ?) en décomposition, en désagrégation. Découpé en courts paragraphes, autant de coupures qui nous permettent de reprendre notre respiration, on oscille entre espoir et noirceur, violence et fulgurance d’humanité. Ce roman nous met en face d’un futur potentiel, on en sort secoué et perplexe.
      Dans ce récit post-apocalyptique, on suit une bande de jeunes personnages tentant de survivre dans une société (existe-t-elle toujours ?) en décomposition, en désagrégation. Découpé en courts paragraphes, autant de coupures qui nous permettent de reprendre notre respiration, on oscille entre espoir et noirceur, violence et fulgurance d’humanité. Ce roman nous met en face d’un futur potentiel, on en sort secoué et perplexe.
      Cain
      Avis posté le 2019-04-30
        and co
        Avec cette tragédie, Byron comble les manques de l’histoire de Caïn, meurtrier fondateur de la civilisation. Il en fait un héros très romantique, insoumis, révolté. Le meurtre d’Abel devient ainsi un acte de résistance et non plus un simple fait de jalousie. En sous-texte, on est ému des rapprochements entre l’histoire de Caïn et la vie de Byron, qui lui ne finira pas sa vie avec sa (demie)sœur.
        Avec cette tragédie, Byron comble les manques de l’histoire de Caïn, meurtrier fondateur de la civilisation. Il en fait un héros très romantique, insoumis, révolté. Le meurtre d’Abel devient ainsi un acte de résistance et non plus un simple fait de jalousie. En sous-texte, on est ému des rapprochements entre l’histoire de Caïn et la vie de Byron, qui lui ne finira pas sa vie avec sa (demie)sœur.
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