Les derniers avis

Malville
Avis posté le 2025-05-02
Mauvais choix
Robert Merle - Malvil - Gallimard - 1972.
Même titre à deux lettres près, même thème, même erreur…
S’il fallait choisir une centrale nucléaire Super Phénix n’est pas la bonne.
Cette centrale avait un but : détruire les actinides des déchets des PWR traditionnels en fabriquant de l’électricité, c’était certainement la centrale la moins polluante du système énergétique ; personnellement, j’ai rencontré les ingénieurs du site. Citoyen dubitatif et inquiet, je discutaillais sur les dangers de la radio-activité jusqu’au moment où le chef de la centrale m’a fait remarquer que je m’étais appuyé contre la cuve du réacteur.
Fuite de sodium ? Le fluide caloporteur de la centrale solaire d’Odeillo était du sodium… rejet d’argon ? etc. l’industrie chimique actuelle fait beaucoup mieux !
Quant à Super Phénix, il fonctionne dans quelques pays qui en ont piraté le système et en font leur profit.
(Aussi Malvil en film, avec Serrault, Dutronc, Trintignant, Villeret).
Robert Merle - Malvil - Gallimard - 1972.
Même titre à deux lettres près, même thème, même erreur…
S’il fallait choisir une centrale nucléaire Super Phénix n’est pas la bonne.
Cette centrale avait un but : détruire les actinides des déchets des PWR traditionnels en fabriquant de l’électricité, c’était certainement la centrale la moins polluante du système énergétique ; personnellement, j’ai rencontré les ingénieurs du site. Citoyen dubitatif et inquiet, je discutaillais sur les dangers de la radio-activité jusqu’au moment où le chef de la centrale m’a fait remarquer que je m’étais appuyé contre la cuve du réacteur.
Fuite de sodium ? Le fluide caloporteur de la centrale solaire d’Odeillo était du sodium… rejet d’argon ? etc. l’industrie chimique actuelle fait beaucoup mieux !
Quant à Super Phénix, il fonctionne dans quelques pays qui en ont piraté le système et en font leur profit.
(Aussi Malvil en film, avec Serrault, Dutronc, Trintignant, Villeret).

Les Irresponsables
Avis posté le 2025-03-18
Sérieux
Un critique dithyrambique affirmait que ce livre se lisait comme un polar… Il ne l’a pas ouvert !
C’est un livre d’histoire exhaustif qui mérite de s’y installer et d’y aller pas à pas.
Un critique dithyrambique affirmait que ce livre se lisait comme un polar… Il ne l’a pas ouvert !
C’est un livre d’histoire exhaustif qui mérite de s’y installer et d’y aller pas à pas.

À genoux
Avis posté le 2020-02-19
Dommage
Ces jours sur ma liseuse, lu un Michael Connelly inattendu : À genoux, traduit par Robert Pépin (directeur de la collection apparemment).
Cet opus doit être puisé dans la production pléthorique encore non traduite de l’écrivain ; chronologiquement il se situe après Echo Park.
Connelly est égal à lui-même ; Hieronymus se débat dans une affaire tortueuse difficile à résoudre et forcément embarrassé par les éternels obstacles hiérarchiques ou interservices.
L’histoire est intéressante mais…
Le premier principe majeur que l’on apprend aux étudiants en communication c’est, pour garantir la qualité d’un message entre émetteur et récepteur, d’éviter les bruits parasites.
Pour un message écrit, un livre, une revue, un rapport d’activité… L’obligation c’est le respect des règles typographiques, de la syntaxe et de l’orthographe.
Un document écrit distribué innocemment au début d’une réunion et vous verrez tous les participants plonger dans les pages à la recherche de la coquille, la faute, l’oubli ; cette première lecture superficielle ne sert qu’à cela : vous prendre en défaut et remettre en cause la qualité de votre message ; dans la mesure du possible les documents écrits ne devraient être ventilés qu’à la fin de la réunion.
Donc, je subodore que Robert Pépin, pressé par le temps, n’a pas relu le Bon à Tirer de l’édition électronique : une surabondance de mots collés les uns aux autres, des fautes de genre : un individu masculin devient, par l’orthographe et en quelques lignes, féminin et des phrases très (trop) tarabiscotées… Pourtant Robert Pépin ne doit pas manquer de vocabulaire.
Dommage.
J’espère que le prochain annoncé sera corrigé de ces défauts, sinon je me propose pour éventuel bénévolat dans un groupe de relecture ; j’ai un peu de temps et il me reste le minimum technique de vocabulaire.
Ces jours sur ma liseuse, lu un Michael Connelly inattendu : À genoux, traduit par Robert Pépin (directeur de la collection apparemment).
Cet opus doit être puisé dans la production pléthorique encore non traduite de l’écrivain ; chronologiquement il se situe après Echo Park.
Connelly est égal à lui-même ; Hieronymus se débat dans une affaire tortueuse difficile à résoudre et forcément embarrassé par les éternels obstacles hiérarchiques ou interservices.
L’histoire est intéressante mais…
Le premier principe majeur que l’on apprend aux étudiants en communication c’est, pour garantir la qualité d’un message entre émetteur et récepteur, d’éviter les bruits parasites.
Pour un message écrit, un livre, une revue, un rapport d’activité… L’obligation c’est le respect des règles typographiques, de la syntaxe et de l’orthographe.
Un document écrit distribué innocemment au début d’une réunion et vous verrez tous les participants plonger dans les pages à la recherche de la coquille, la faute, l’oubli ; cette première lecture superficielle ne sert qu’à cela : vous prendre en défaut et remettre en cause la qualité de votre message ; dans la mesure du possible les documents écrits ne devraient être ventilés qu’à la fin de la réunion.
Donc, je subodore que Robert Pépin, pressé par le temps, n’a pas relu le Bon à Tirer de l’édition électronique : une surabondance de mots collés les uns aux autres, des fautes de genre : un individu masculin devient, par l’orthographe et en quelques lignes, féminin et des phrases très (trop) tarabiscotées… Pourtant Robert Pépin ne doit pas manquer de vocabulaire.
Dommage.
J’espère que le prochain annoncé sera corrigé de ces défauts, sinon je me propose pour éventuel bénévolat dans un groupe de relecture ; j’ai un peu de temps et il me reste le minimum technique de vocabulaire.