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Thalyssa

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Les dernières notes et avis

Notes et avis 1 à 8 sur un total de 18
De fièvre et de sang
Avis posté le 2012-09-04
  • Terrifiant
  • XXIe siècle
  • Paris
  • thriller
  • fantastique
  • Eva Svarta
  • Vauvert
Une Fièvre qui vous glacera pourtant le sang !
L’ambiance de ce livre est glauque et oppressante, on plonge directement dans les méandres de l’âme humaine et j’ai souvent été déstabilisée par la façon dont l’auteur sait se jouer de ses lecteurs. On jongle constamment entre deux concepts pourtant diamétralement opposés : des personnages que l’on voyait déjà morts survivent envers et contre tout tandis que d’autres que l’on n’imaginait pas périr dans le feu de l’action tombent les uns après les autres. L’intrigue oscille entre une époque contemporaine et des mythes passés, entre folie furieuse et forces occultes, thriller et fantastique, on ne sait pas trop sur quel pied danser ni quel regard apporter sur les faits. Sire Cédric distille les indices et les révélations avec parcimonie, lentement mais sûrement, et pourtant le rythme reste effréné et on ne bénéficie pas du moindre répit. Les frontières entre le réel et l’irréel deviennent floues, le début et la fin du cauchemar s’entremêlent avec une obsédante complexité.
L’ambiance de ce livre est glauque et oppressante, on plonge directement dans les méandres de l’âme humaine et j’ai souvent été déstabilisée par la façon dont l’auteur sait se jouer de ses lecteurs. On jongle constamment entre deux concepts pourtant diamétralement opposés : des personnages que l’on voyait déjà morts survivent envers et contre tout tandis que d’autres que l’on n’imaginait pas périr dans le feu de l’action tombent les uns après les autres. L’intrigue oscille entre une époque contemporaine et des mythes passés, entre folie furieuse et forces occultes, thriller et fantastique, on ne sait pas trop sur quel pied danser ni quel regard apporter sur les faits. Sire Cédric distille les indices et les révélations avec parcimonie, lentement mais sûrement, et pourtant le rythme reste effréné et on ne bénéficie pas du moindre répit. Les frontières entre le réel et l’irréel deviennent floues, le début et la fin du cauchemar s’entremêlent avec une obsédante complexité.
Chi, une vie de chat Tome 1
Avis posté le 2012-08-04
  • Drôle
  • XXIe siècle
  • Japon
  • Attendrissant
  • Tranche de vie
Un titre tout public et plein de charme
Je vais commencer cette chronique en ronchonnant un peu, histoire quand même de finir sur du positif parce que ce manga s'est révélé très sympathique même si pendant longtemps, je suis restée indifférente à ce titre. Je me permets de jouer les rebelles et de mettre cette chronique dans les "mangas inclassables" car Chi est paru en Seinen (manga pour adulte) au Japon et en Jeunesse en France. Je trouve les deux classifications rédhibitoires puisque pour moi, Chi est un merveilleux exemple de manga tout public ! Ensuite... le prix chez Glénat... Les mangas constituent déjà une passion onéreuse puisque la lecture d'un titre ne dépasse jamais une heure et pourtant je prends mon temps pour m'attarder sur certaines planches... Alors plus de 10€, je trouve cela excessif et cela n'encourage pas à populariser ce titre qui vaut pourtant le détour. Alors oui, c'est en couleurs pour une fois, le sens de lecture a été inversé pour s'adapter au public français et se rendre ainsi plus accessible aux plus jeunes, et un petit marque-page très sympa est offert avec, mais bon... Si je ne l'avais pas trouvé d'occasion, soyons honnête, je n'aurais sans doute jamais acheté... Pour le manga en lui-même, Konami Kanata a un chat et ça se voit ! Je me suis intéressée à Chi parce que justement, j'ai adopté un chaton il y a moins d'un an alors cela titillait ma curiosité. Comment ne pas sourire devant les (més)aventures de Chi, toutes ces petites anecdotes adorables et tellement vraies pour lesquelles tous les maîtres (ou plutôt esclaves ?) de chat ne pourront que se souvenir avec un brin de nostalgie. De l'humour et de la tendresse à gogo entre Chi et sa famille d'accueil, un crayonné simple mais attractif, rendant bien les émotions du chaton, une oeuvre capable de séduire petits et grands et de relater avec justesse les réalités inhérentes à l'adoption d'un petit animal. Chi n'était pas "prévue" au programme et pourtant ses maîtres assument tant bien que mal. Ils improvisent, contournent les petits soucis car ils s'y sont très vite attachés. Les bêtises sont là... mais l'amour encore plus !
Je vais commencer cette chronique en ronchonnant un peu, histoire quand même de finir sur du positif parce que ce manga s'est révélé très sympathique même si pendant longtemps, je suis restée indifférente à ce titre. Je me permets de jouer les rebelles et de mettre cette chronique dans les "mangas inclassables" car Chi est paru en Seinen (manga pour adulte) au Japon et en Jeunesse en France. Je trouve les deux classifications rédhibitoires puisque pour moi, Chi est un merveilleux exemple de manga tout public ! Ensuite... le prix chez Glénat... Les mangas constituent déjà une passion onéreuse puisque la lecture d'un titre ne dépasse jamais une heure et pourtant je prends mon temps pour m'attarder sur certaines planches... Alors plus de 10€, je trouve cela excessif et cela n'encourage pas à populariser ce titre qui vaut pourtant le détour. Alors oui, c'est en couleurs pour une fois, le sens de lecture a été inversé pour s'adapter au public français et se rendre ainsi plus accessible aux plus jeunes, et un petit marque-page très sympa est offert avec, mais bon... Si je ne l'avais pas trouvé d'occasion, soyons honnête, je n'aurais sans doute jamais acheté... Pour le manga en lui-même, Konami Kanata a un chat et ça se voit ! Je me suis intéressée à Chi parce que justement, j'ai adopté un chaton il y a moins d'un an alors cela titillait ma curiosité. Comment ne pas sourire devant les (més)aventures de Chi, toutes ces petites anecdotes adorables et tellement vraies pour lesquelles tous les maîtres (ou plutôt esclaves ?) de chat ne pourront que se souvenir avec un brin de nostalgie. De l'humour et de la tendresse à gogo entre Chi et sa famille d'accueil, un crayonné simple mais attractif, rendant bien les émotions du chaton, une oeuvre capable de séduire petits et grands et de relater avec justesse les réalités inhérentes à l'adoption d'un petit animal. Chi n'était pas "prévue" au programme et pourtant ses maîtres assument tant bien que mal. Ils improvisent, contournent les petits soucis car ils s'y sont très vite attachés. Les bêtises sont là... mais l'amour encore plus !
  • Drôle
  • Emouvant
  • Ironique
  • XXIe siècle
  • Charley Davidons
  • Reyes Farrow
  • Cookie
  • Garrett Swopes
  • Faucheuse
  • urban fantasy
  • fantômes
  • détective privée
Coup de coeur dans ce monde... et Au-Delà ;)
Avis très très très résumé... Désolée mais j'en ai assez de cette limite de caractères :/ Darynda Jones jongle habilement avec les deux facettes de son intrigue : la 1ère nous permet de découvrir pleinement le monde de son héroïne à travers ses déboires avec des collègues qui préfèrent la croire folle que d’avouer que ses pouvoirs puissent être réels, des pouvoirs qu’elle n’a pourtant pas demandés et qui lui ont passablement pourri la vie depuis sa plus tendre enfance. Pourtant, Charley reste fraîche et ne tombe pas dans l’amertume. Elle manque de stabilité mais a conscience des responsabilités inhérentes à son rôle de « portail ». Elle sait ce qu’elle veut et se donne les moyens de l’obtenir. Le 2nd visage de ce roman relève quant à lui du polar. Des meurtres, des disparitions, une enquête qui piétine mais qui trouvera petit à petit son dénouement. Les rebondissements sont nombreux et j’ai pris plusieurs claques, notamment dans la seconde moitié du livre. J’ai beau chercher, je ne vois pas le moindre point négatif à exposer pour une fois ! Ce 1er tome est un véritable petit bijou, un trésor d’humour, d’amour et d’action, sans jamais tomber dans le piège des stéréotypes. Les chapitres s’emboîtent à merveille, sans aucun temps mort, et plus on en apprend et plus on se pose de questions. J’ai trouvé cela assez troublant d’ailleurs… Darynda Jones a trouvé le juste dosage dans ses révélations, la fin ne m’a pas frustrée et pourtant je trépigne rien qu’à l’idée de devoir attendre un mois avant de pouvoir dévorer le 2nd tome.
Avis très très très résumé... Désolée mais j'en ai assez de cette limite de caractères :/ Darynda Jones jongle habilement avec les deux facettes de son intrigue : la 1ère nous permet de découvrir pleinement le monde de son héroïne à travers ses déboires avec des collègues qui préfèrent la croire folle que d’avouer que ses pouvoirs puissent être réels, des pouvoirs qu’elle n’a pourtant pas demandés et qui lui ont passablement pourri la vie depuis sa plus tendre enfance. Pourtant, Charley reste fraîche et ne tombe pas dans l’amertume. Elle manque de stabilité mais a conscience des responsabilités inhérentes à son rôle de « portail ». Elle sait ce qu’elle veut et se donne les moyens de l’obtenir. Le 2nd visage de ce roman relève quant à lui du polar. Des meurtres, des disparitions, une enquête qui piétine mais qui trouvera petit à petit son dénouement. Les rebondissements sont nombreux et j’ai pris plusieurs claques, notamment dans la seconde moitié du livre. J’ai beau chercher, je ne vois pas le moindre point négatif à exposer pour une fois ! Ce 1er tome est un véritable petit bijou, un trésor d’humour, d’amour et d’action, sans jamais tomber dans le piège des stéréotypes. Les chapitres s’emboîtent à merveille, sans aucun temps mort, et plus on en apprend et plus on se pose de questions. J’ai trouvé cela assez troublant d’ailleurs… Darynda Jones a trouvé le juste dosage dans ses révélations, la fin ne m’a pas frustrée et pourtant je trépigne rien qu’à l’idée de devoir attendre un mois avant de pouvoir dévorer le 2nd tome.