De fièvre et de sang

Par : Sire Cédric

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  • Nombre de pages582
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.314 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,7 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-266-21264-9
  • EAN9782266212649
  • Date de parution08/03/2012
  • CollectionPocket
  • ÉditeurPocket

Résumé

Ils semblent se nourrir de sang. Leurs victimes sont retrouvées exsangues. Eva Svärta et le commandant Vauvert viennent enfin de mettre un terme aux agissements des frères Salaville. Mais les meurtres continuent, défiant toute logique. Les talents d'Eva, policière albinos dotée d'un instinct hors normes, vont la conduire aux frontières de la rationalité. Là où, à tout instant, les ténèbres menacent de s'ouvrir sous vos pieds, où votre propre reflet dans le miroir pourrait vous engloutir, où la part d'ombre qu'Eva porte en elle causera sa perte ou lui sauvera la vie...
Ils semblent se nourrir de sang. Leurs victimes sont retrouvées exsangues. Eva Svärta et le commandant Vauvert viennent enfin de mettre un terme aux agissements des frères Salaville. Mais les meurtres continuent, défiant toute logique. Les talents d'Eva, policière albinos dotée d'un instinct hors normes, vont la conduire aux frontières de la rationalité. Là où, à tout instant, les ténèbres menacent de s'ouvrir sous vos pieds, où votre propre reflet dans le miroir pourrait vous engloutir, où la part d'ombre qu'Eva porte en elle causera sa perte ou lui sauvera la vie...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.3/5
sur 25 notes dont 9 avis lecteurs
fantastique, policier
Voilà, je me lance enfin dans la lecture d'un roman de Monsieur Sire CEDRIC (au demeurant fort sympathique pour l'avoir croisé une fois). Et je ne m'attendais pas à ça : une intrigue très classique, pas de vampires. Quelques loups mais sans lycanthropie nocturne ; une comtesse des Carpates aux croyances étranges ; et une soirée gothique qui ne dure pas. Rien de bien illisible, ni de quoi me faire faire des cauchemars, donc. Bon, alors bien sûr, il y a ces cadavres de femmes retrouvés sans visage, mais c'est tellement bien écrit que cela ne fait pas peur à lire et ne devient jamais dégoûtant ni glauque. Un peu de fantastique avec les jeux des miroirs qui restent inexpliqués, tout de même. Mais avais-je envie de percer le mystère ? Moi qui m'en faisait tout un monde, me voilà presque déçue. Un auteur que je retrouverai avec plaisir, maintenant que l'effet de surprise est passé. L'image que je retiendrai : Celle des toilettes d'Eva, habillée tout en cuir, elle qui est albinos. Ca doit flashes ! http://motamots.canalblog.com/archives/2014/09/22/30461673.html
Voilà, je me lance enfin dans la lecture d'un roman de Monsieur Sire CEDRIC (au demeurant fort sympathique pour l'avoir croisé une fois). Et je ne m'attendais pas à ça : une intrigue très classique, pas de vampires. Quelques loups mais sans lycanthropie nocturne ; une comtesse des Carpates aux croyances étranges ; et une soirée gothique qui ne dure pas. Rien de bien illisible, ni de quoi me faire faire des cauchemars, donc. Bon, alors bien sûr, il y a ces cadavres de femmes retrouvés sans visage, mais c'est tellement bien écrit que cela ne fait pas peur à lire et ne devient jamais dégoûtant ni glauque. Un peu de fantastique avec les jeux des miroirs qui restent inexpliqués, tout de même. Mais avais-je envie de percer le mystère ? Moi qui m'en faisait tout un monde, me voilà presque déçue. Un auteur que je retrouverai avec plaisir, maintenant que l'effet de surprise est passé. L'image que je retiendrai : Celle des toilettes d'Eva, habillée tout en cuir, elle qui est albinos. Ca doit flashes ! http://motamots.canalblog.com/archives/2014/09/22/30461673.html
Un bain de sang
Un très bon thriller au rythme soutenu... Ce livre est à la fois très sanglant mais on y retrouve également une grande part de fantastique. Les héros m'ont beaucoup fait pensé à Hennebelle et Sharko les personnages récurrents chez Franck Thilliez. J'ai aimé malgré que je ne sois pas fan de fantastique et je lirai les autres aventures d'Eva.
Un très bon thriller au rythme soutenu... Ce livre est à la fois très sanglant mais on y retrouve également une grande part de fantastique. Les héros m'ont beaucoup fait pensé à Hennebelle et Sharko les personnages récurrents chez Franck Thilliez. J'ai aimé malgré que je ne sois pas fan de fantastique et je lirai les autres aventures d'Eva.
  • Terrifiant
  • Eva Svarta
  • Vauvert
  • Leroy
chronique de dubruitdanslesoreilles
On démarre le récit à 100 à l’heure, pendant 90 pages ça n’arrête pas. Malgré cela, Sire Cédric pose les bases de son intrigue et présente les protagonistes avec brio, et ce dans le feu de l’action. C’est seulement à la fin de la première partie que l’on peut lever les yeux du livre et reprendre son souffle. Voilà une (longue) introduction magistrale, de quoi être rassuré pour la suite de la lecture. Le Vauvert et Eva me font penser au duo d’enquêteur Sharko/Hennebelle de Thilliez. Eva est un personnage atypique, l’idée de faire d’elle un profileur albinos est excellente et ouvre des perspectives intéressantes en terme de psychologie. Elle est traumatisée par un lourd passé qui l’oblige à prendre des médicaments pour éviter d’avoir d’étranges visions (chez Thilliez, Sharko ne se remet pas de la mort de sa femme et de sa fille, il a lui aussi des visons). Vauvert est quant à lui plus terre à terre, c’est un homme de terrain un peu tête brulée (rôle tenu par Hennebelle pour l’auteur du Nord de la France). Aux éléments du thriller, Sire Cédric ajoute des ingrédients fantastiques, mais attention, ici c’est du sérieux. L’écrivain nous plonge dans le folklore européen. Les références majeures dans le domaine étant Vlad l’empaleur (celui du Dracula de Stoker) et la Comtesse Bathory (une forte sympathique demoiselle hongroise qui prenait des bains de sang pour ne pas vieillir. Heureusement, de nos jours il y a le lait d’ânesse). Les composantes surréalistes sont parfaitement maitrisées et se marient à merveille dans le récit. La musique est source d’inspiration pour l’auteur, il se permet même une scène se déroulant dans un club où joue le groupe de Métal portugais Moonspell, un régal pour les amateurs du genre. Sir Cédric fait partie de ces personnes qui ont su intégrer les influences du cinéma dans leurs écrits. Les chapitres sont courts et donnent un rythme incroyable au texte. Parfois, ils ne sont composés que d’une seule page, comme si, lors d’un film, deux scènes s’entrechoquaient. Les 100 dernières pages sont d’une intensité rare. L’auteur excelle dans l’action et arrive à construire une atmosphère sombre et violente. Une grande découverte pour moi ! http://dubruitdanslesoreilles-delapoussieredanslesyeux.overblog.com/2013/12/chronique-de-de-fi%C3%A8vre-et-de-sang-de-sire-c%C3%A9dric.html
On démarre le récit à 100 à l’heure, pendant 90 pages ça n’arrête pas. Malgré cela, Sire Cédric pose les bases de son intrigue et présente les protagonistes avec brio, et ce dans le feu de l’action. C’est seulement à la fin de la première partie que l’on peut lever les yeux du livre et reprendre son souffle. Voilà une (longue) introduction magistrale, de quoi être rassuré pour la suite de la lecture. Le Vauvert et Eva me font penser au duo d’enquêteur Sharko/Hennebelle de Thilliez. Eva est un personnage atypique, l’idée de faire d’elle un profileur albinos est excellente et ouvre des perspectives intéressantes en terme de psychologie. Elle est traumatisée par un lourd passé qui l’oblige à prendre des médicaments pour éviter d’avoir d’étranges visions (chez Thilliez, Sharko ne se remet pas de la mort de sa femme et de sa fille, il a lui aussi des visons). Vauvert est quant à lui plus terre à terre, c’est un homme de terrain un peu tête brulée (rôle tenu par Hennebelle pour l’auteur du Nord de la France). Aux éléments du thriller, Sire Cédric ajoute des ingrédients fantastiques, mais attention, ici c’est du sérieux. L’écrivain nous plonge dans le folklore européen. Les références majeures dans le domaine étant Vlad l’empaleur (celui du Dracula de Stoker) et la Comtesse Bathory (une forte sympathique demoiselle hongroise qui prenait des bains de sang pour ne pas vieillir. Heureusement, de nos jours il y a le lait d’ânesse). Les composantes surréalistes sont parfaitement maitrisées et se marient à merveille dans le récit. La musique est source d’inspiration pour l’auteur, il se permet même une scène se déroulant dans un club où joue le groupe de Métal portugais Moonspell, un régal pour les amateurs du genre. Sir Cédric fait partie de ces personnes qui ont su intégrer les influences du cinéma dans leurs écrits. Les chapitres sont courts et donnent un rythme incroyable au texte. Parfois, ils ne sont composés que d’une seule page, comme si, lors d’un film, deux scènes s’entrechoquaient. Les 100 dernières pages sont d’une intensité rare. L’auteur excelle dans l’action et arrive à construire une atmosphère sombre et violente. Une grande découverte pour moi ! http://dubruitdanslesoreilles-delapoussieredanslesyeux.overblog.com/2013/12/chronique-de-de-fi%C3%A8vre-et-de-sang-de-sire-c%C3%A9dric.html