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Les sabres sacrés Tome 1
Le sabre de neige
Le sabre de neige
Avis posté le 2025-04-05
- Japon
- Fantasy
- romance
Un roman qui n'est pas à la hauteur des espérances
Une histoire de sabres magiques dans un Japon qui jamais ne fut, avec des duels épiques, où les Yokai et autres créatures du folklore japonais sont présent... C'est vrai que tout cela vend du rêve et plante le décor de ce roman d'une très belle manière.
Mais selon moi, la force du roman s'arrête là, écrasée par LE défaut de son histoire : les deux personnages centraux et leur relation ambiguë. Isao vit seul avec son maître Shiro, le Héron Blanc, porteur du Sabre de Neige. On raconte que les Porteurs de Sabres Sacrés servent la volonté des kami. Ils ne sont pas immortels, mais vieillissent différemment, s’éloignant peu à peu de l’humanité... Et le jeune Isao aime éperdument son maître, âgé de 5 siècles ! De plus, celui-ci semble jouer avec les sentiments de son apprenti... Une relation que l'on pourrait qualifier de toxique, ou, en tout cas, qui a de quoi mettre mal à l'aise. De plus, notre personnage principal, Isao, a une forte tendance à se mettre dans le pétrin au début et a espéré que son "beau et parfait Héron Blanc" vienne le sauver... Bref, un personnage très mièvre qui m'a fait soupirer un nombre incalculable de fois (insupportable), au point où je souhaitais pouvoir entrer dans le roman pour le secouer un peu, ou que son maître ne meurt dès le début pour lui faire un électrochoc et le faire avancer.
En conclusion, ce livre est une déception. Il avait de quoi être une réussite : une bonne intrigue, un monde inspiré du Japon qui n'est pas si exploité en Fantasy, l'idée des sabres magiques qui n'est pas inintéressante, et le folklore bien présent ! Mais cela est entaché par une relation Maître/élève trop présente et mal tourné.
Je n'ai pas aimé... Mais le roman peut peut-être plaire aux novices de fantasy, et surtout de Romantasy, fans de l'imagerie japonaise...
Une histoire de sabres magiques dans un Japon qui jamais ne fut, avec des duels épiques, où les Yokai et autres créatures du folklore japonais sont présent... C'est vrai que tout cela vend du rêve et plante le décor de ce roman d'une très belle manière.
Mais selon moi, la force du roman s'arrête là, écrasée par LE défaut de son histoire : les deux personnages centraux et leur relation ambiguë. Isao vit seul avec son maître Shiro, le Héron Blanc, porteur du Sabre de Neige. On raconte que les Porteurs de Sabres Sacrés servent la volonté des kami. Ils ne sont pas immortels, mais vieillissent différemment, s’éloignant peu à peu de l’humanité... Et le jeune Isao aime éperdument son maître, âgé de 5 siècles ! De plus, celui-ci semble jouer avec les sentiments de son apprenti... Une relation que l'on pourrait qualifier de toxique, ou, en tout cas, qui a de quoi mettre mal à l'aise. De plus, notre personnage principal, Isao, a une forte tendance à se mettre dans le pétrin au début et a espéré que son "beau et parfait Héron Blanc" vienne le sauver... Bref, un personnage très mièvre qui m'a fait soupirer un nombre incalculable de fois (insupportable), au point où je souhaitais pouvoir entrer dans le roman pour le secouer un peu, ou que son maître ne meurt dès le début pour lui faire un électrochoc et le faire avancer.
En conclusion, ce livre est une déception. Il avait de quoi être une réussite : une bonne intrigue, un monde inspiré du Japon qui n'est pas si exploité en Fantasy, l'idée des sabres magiques qui n'est pas inintéressante, et le folklore bien présent ! Mais cela est entaché par une relation Maître/élève trop présente et mal tourné.
Je n'ai pas aimé... Mais le roman peut peut-être plaire aux novices de fantasy, et surtout de Romantasy, fans de l'imagerie japonaise...

Moi ?
Avis posté le 2025-04-05
- identite
- première guerre mondiale
- littérature allemande
Un livre sur la question de l'identité et les traumatismes de guerre
À la fin de la guerre, en 1918, un soldat allemand récupère le passeport d'un autre, tombé au combat... Ainsi que l'identité de ce dernier ! Et tout son entourage semble le reconnaître. Il parvient même avec brio à camper son nouveau rôle de médecin, lui qui n'était qu'un artisan boulanger.
Mais il est hanté par son ancienne vie, et par ses doutes sur sa propre identité, se mêlant peu à peu à celle volée. Il s'interroge tout au long de cette "plaidoirie" qu'est ce roman sur ce qu'il est... : Qui est-il ? Qu'est-il ? Que représente désormais ce "moi" ?...Il ne sait plus...
Peter Flamm (1891-1963), médecin allemand (il connaît donc son sujet), nous livre avec "Moi ?" son premier roman, écrit en 1926, un ouvrage poignant, puissant. Tantôt lyrique, tantôt pathétique, c'est un texte terriblement efficace sur les traumatismes de la Première guerre mondiale, qui mérite qu'on s'y intéresse.
À la fin de la guerre, en 1918, un soldat allemand récupère le passeport d'un autre, tombé au combat... Ainsi que l'identité de ce dernier ! Et tout son entourage semble le reconnaître. Il parvient même avec brio à camper son nouveau rôle de médecin, lui qui n'était qu'un artisan boulanger.
Mais il est hanté par son ancienne vie, et par ses doutes sur sa propre identité, se mêlant peu à peu à celle volée. Il s'interroge tout au long de cette "plaidoirie" qu'est ce roman sur ce qu'il est... : Qui est-il ? Qu'est-il ? Que représente désormais ce "moi" ?...Il ne sait plus...
Peter Flamm (1891-1963), médecin allemand (il connaît donc son sujet), nous livre avec "Moi ?" son premier roman, écrit en 1926, un ouvrage poignant, puissant. Tantôt lyrique, tantôt pathétique, c'est un texte terriblement efficace sur les traumatismes de la Première guerre mondiale, qui mérite qu'on s'y intéresse.

Moi ?
Avis posté le 2025-04-05
- identite
- première guerre mondiale
- littérature allemande
Un livre sur la question de l'identité et les traumatismes de guerre
À la fin de la guerre, en 1918, un soldat allemand récupère le passeport d'un autre, tombé au combat... Ainsi que l'identité de ce dernier ! Et tout son entourage semble le reconnaître. Il parvient même avec brio à camper son nouveau rôle de médecin, lui qui n'était qu'un artisan boulanger.
Mais il est hanté par son ancienne vie, et par ses doutes sur sa propre identité, se mêlant peu à peu à celle volée. Il s'interroge tout au long de cette "plaidoirie" qu'est ce roman sur ce qu'il est... : Qui est-il ? Qu'est-il ? Que représente désormais ce "moi" ?...Il ne sait plus...
Peter Flamm (1891-1963), médecin allemand (il connaît donc son sujet), nous livre avec "Moi ?" son premier roman, écrit en 1926, un ouvrage poignant, puissant. Tantôt lyrique, tantôt pathétique, c'est un texte terriblement efficace sur les traumatismes de la Première guerre mondiale, qui mérite qu'on s'y intéresse.
À la fin de la guerre, en 1918, un soldat allemand récupère le passeport d'un autre, tombé au combat... Ainsi que l'identité de ce dernier ! Et tout son entourage semble le reconnaître. Il parvient même avec brio à camper son nouveau rôle de médecin, lui qui n'était qu'un artisan boulanger.
Mais il est hanté par son ancienne vie, et par ses doutes sur sa propre identité, se mêlant peu à peu à celle volée. Il s'interroge tout au long de cette "plaidoirie" qu'est ce roman sur ce qu'il est... : Qui est-il ? Qu'est-il ? Que représente désormais ce "moi" ?...Il ne sait plus...
Peter Flamm (1891-1963), médecin allemand (il connaît donc son sujet), nous livre avec "Moi ?" son premier roman, écrit en 1926, un ouvrage poignant, puissant. Tantôt lyrique, tantôt pathétique, c'est un texte terriblement efficace sur les traumatismes de la Première guerre mondiale, qui mérite qu'on s'y intéresse.