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Notes et avis 1 à 7 sur un total de 7
Say you swear
Avis posté le 2025-05-14
    Je te le jure pour l'éternité, Say You Swear m’a marquée
    ⚠️ Cette critique contient des SPOILERS. ⚠️ En général, je ne supporte pas le trope du sibling’s best-friend. Et comme je ne lis jamais les résumés, je ne savais pas encore que ce n’était qu’un point de départ temporaire. Assister à sa course éperdue derrière lui m’a mise franchement mal à l’aise. Cependant, elle a dix-huit ans, et l’amour ressemble à ça, à cet âge-là. C’est naïf, c’est pathétique, et oui, c’est embarrassant (Miss Olivia Rodrigo l’a parfaitement résumé, iykyk). Cela n’a donc pas été franchement agréable à lire... mais doute parce que ça m’a touchée plus que je ne veux bien l’admettre. Mais une fois que le processus du chagrin d'amour s'est enclenché ? C’est là que l’histoire a vraiment commencé. L’autrice a remarquablement bien capturé le sentiment de dévastation — brut, éprouvant, et impossible à ignorer. J’ai beaucoup aimé le fait que la guérison de la protagoniste ne soit pas linéaire. C’est chaotique, douloureux, et ponctué de rechutes. Ce réalisme m’a totalement happée. Il m’a plongée dans mes émotions, m’a remuée, et m’a obligée à affronter certaines choses que je refoulais. (J'ai bien pleuré) Au début, je craignais que la protagoniste finisse avec le gars qui l’avait rejetée — et soyons clairs : ce trope est le pire, peu importe ce que les gens en disent. Si quelqu’un a maltraité ton cœur une fois, pourquoi prendre le risque de le lui en redonner la chance ? Heureusement, quand le véritable mmc est entré en scène peu à peu, tout s’est éclairé. Ce nouveau mec est sorti de nulle part et m’a totalement conquise. Noah Riley… Quel gentleman, vraiment. La tendresse au sein du couple principal eux était naturelle et profondément sincère — rien dans leur relation ne sonnait faux ou forcé, ce que je redoutais, surtout que l’autrice aurait pu tomber dans ce piège en essayant de faire évoluer son héroïne. Mais la dynamique entre Noah et Ari était juste adorable et authentique. Même si je pense qu’il faut du temps pour guérir avant de se lancer dans une nouvelle relation, il y avait quelque chose dans la leur qui paraissait parfaitement opportun et logique — comme si elle arrivait pile au bon moment. Les voir tomber amoureux l’un de l’autre fut un véritable bonheur. Et quand les garçons les découvrent ensemble chez elle pour la première fois ? Ils étaient TELLEMENT fusionnel, leur alchimie était indéniable. J’ai aussi adoré que la fmc soit un vrai jukebox sur pattes, et que le mmc se soit complètement prêté au jeu. C'est si mignon. Je ne sais pas exactement ce qu’on appelle un "slow burn", mais si c’en était un, je suis accro. Nouveau trope préféré débloqué. Noah m’a quand même déçue, quand il a été prêt à ruiner sa carrière — sa vie entière, en fait — simplement parce qu’Arianna était dans le coma. Il était prêt à tout laisser tomber ? L’amour ne devrait jamais effacer qui l’on est. J’ai du mal avec l'idée qu’un personnage se dissolve entièrement dans une relation. C’est le meilleur moyen de perdre sa lumière. Être amoureux ne veut pas dire qu’on cesse d’exister en dehors de ça. Ensuite, le milieu du roman m’a déstabilisée. L’accident aurait largement suffi à faire monter la tension, mais une perte de mémoire ET une fausse couche ? Cette combinaison m’a semblé excessive. Pas impossible, juste carrément improbable. Et la perte de mémoire comme twist ? Beaucoup trop vue — surtout si, comme moi, vous avez regardé masse de K-dramas. Je ne l’avais même pas envisagé, c’est dire à quel point je pensais ce cliché hors-jeu. Mais bon, ça a servi à quelque chose : ça a clairement montré que le premier amour de l’héroïne appartenait au passé — et que son cœur était désormais tourné vers quelqu’un d’autre. Et pour moi, qui déteste les triangles amoureux ? Ce fut un soulagement. Le prochain tome suit Mason, le frère de l’héroïne — et franchement ? Je l’ai trouvé bien agaçant, donc je ne ressens pas l'envie de lire son histoire. Peut-être un jour. Mais après avoir autant aimé Say You Swear, je suis clairement curieuse de découvrir la suite de la série.
    ⚠️ Cette critique contient des SPOILERS. ⚠️ En général, je ne supporte pas le trope du sibling’s best-friend. Et comme je ne lis jamais les résumés, je ne savais pas encore que ce n’était qu’un point de départ temporaire. Assister à sa course éperdue derrière lui m’a mise franchement mal à l’aise. Cependant, elle a dix-huit ans, et l’amour ressemble à ça, à cet âge-là. C’est naïf, c’est pathétique, et oui, c’est embarrassant (Miss Olivia Rodrigo l’a parfaitement résumé, iykyk). Cela n’a donc pas été franchement agréable à lire... mais doute parce que ça m’a touchée plus que je ne veux bien l’admettre. Mais une fois que le processus du chagrin d'amour s'est enclenché ? C’est là que l’histoire a vraiment commencé. L’autrice a remarquablement bien capturé le sentiment de dévastation — brut, éprouvant, et impossible à ignorer. J’ai beaucoup aimé le fait que la guérison de la protagoniste ne soit pas linéaire. C’est chaotique, douloureux, et ponctué de rechutes. Ce réalisme m’a totalement happée. Il m’a plongée dans mes émotions, m’a remuée, et m’a obligée à affronter certaines choses que je refoulais. (J'ai bien pleuré) Au début, je craignais que la protagoniste finisse avec le gars qui l’avait rejetée — et soyons clairs : ce trope est le pire, peu importe ce que les gens en disent. Si quelqu’un a maltraité ton cœur une fois, pourquoi prendre le risque de le lui en redonner la chance ? Heureusement, quand le véritable mmc est entré en scène peu à peu, tout s’est éclairé. Ce nouveau mec est sorti de nulle part et m’a totalement conquise. Noah Riley… Quel gentleman, vraiment. La tendresse au sein du couple principal eux était naturelle et profondément sincère — rien dans leur relation ne sonnait faux ou forcé, ce que je redoutais, surtout que l’autrice aurait pu tomber dans ce piège en essayant de faire évoluer son héroïne. Mais la dynamique entre Noah et Ari était juste adorable et authentique. Même si je pense qu’il faut du temps pour guérir avant de se lancer dans une nouvelle relation, il y avait quelque chose dans la leur qui paraissait parfaitement opportun et logique — comme si elle arrivait pile au bon moment. Les voir tomber amoureux l’un de l’autre fut un véritable bonheur. Et quand les garçons les découvrent ensemble chez elle pour la première fois ? Ils étaient TELLEMENT fusionnel, leur alchimie était indéniable. J’ai aussi adoré que la fmc soit un vrai jukebox sur pattes, et que le mmc se soit complètement prêté au jeu. C'est si mignon. Je ne sais pas exactement ce qu’on appelle un "slow burn", mais si c’en était un, je suis accro. Nouveau trope préféré débloqué. Noah m’a quand même déçue, quand il a été prêt à ruiner sa carrière — sa vie entière, en fait — simplement parce qu’Arianna était dans le coma. Il était prêt à tout laisser tomber ? L’amour ne devrait jamais effacer qui l’on est. J’ai du mal avec l'idée qu’un personnage se dissolve entièrement dans une relation. C’est le meilleur moyen de perdre sa lumière. Être amoureux ne veut pas dire qu’on cesse d’exister en dehors de ça. Ensuite, le milieu du roman m’a déstabilisée. L’accident aurait largement suffi à faire monter la tension, mais une perte de mémoire ET une fausse couche ? Cette combinaison m’a semblé excessive. Pas impossible, juste carrément improbable. Et la perte de mémoire comme twist ? Beaucoup trop vue — surtout si, comme moi, vous avez regardé masse de K-dramas. Je ne l’avais même pas envisagé, c’est dire à quel point je pensais ce cliché hors-jeu. Mais bon, ça a servi à quelque chose : ça a clairement montré que le premier amour de l’héroïne appartenait au passé — et que son cœur était désormais tourné vers quelqu’un d’autre. Et pour moi, qui déteste les triangles amoureux ? Ce fut un soulagement. Le prochain tome suit Mason, le frère de l’héroïne — et franchement ? Je l’ai trouvé bien agaçant, donc je ne ressens pas l'envie de lire son histoire. Peut-être un jour. Mais après avoir autant aimé Say You Swear, je suis clairement curieuse de découvrir la suite de la série.
    Say You Swear
    Avis posté le 2025-05-14
      Tattoo 'I swear' on my soul — I mean it.
      ⚠️ This review contains SPOILERS. ⚠️ The first part of this book almost made me dnf. And honestly? Thank God I didn’t — because boy, did I end up loving it. I usually can’t stand the sibling’s best-friend trope. And since I never read synopses, I didn’t realize it was just a temporary setup. Watching the fmc chase after her brother’s best friend made my skin crawl — but she’s 18, and that’s what love looks like at that age. It’s naive, it’s pathetic, and yes, it’s embarrassing (Miss Olivia Rodrigo said it best, iykyk). So it was painful to read… but maybe because it hit closer to home than I’d like to admit. But once the heartbreak hit? That’s when the story really came alive. The author outstandingly nailed that feeling of devastation — raw, grueling, and impossible to shake. I really liked how the fmc's healing wasn’t linear. It was messy, wretched, and full of setbacks. I’m absolutely captivated by that level of realism. It pulled me deep into my feels, forcing me to confront things I was trying so hard to keep buried. Early on, I was terrified the fmc would settle for the guy who rejected her — and let me be clear: that trope is the worst, I don’t care what anyone says. If someone mishandled your heart once, why risk giving it back to them? Thankfully, when the mmc slowly emerged, everything started to click. This new guy came out of nowhere and completely won me over. Noah Riley... The gentleman that you are. The tenderness between them felt organic and deeply sincere — nothing about their bond came off as staged or artificial, which was something I feared the author might fall into while trying to make her fmc evolve and move on. But the dynamic between Noah and Ari was just so sweet and authentic. While I do believe you need time to heal before jumping into something new, there was something about their relationship that felt perfectly timed — like it showed up exactly when and how it was meant to. Watching them fall for each other was a pure delight. Like when the boys first see them together at her apartment? They were just SO in sync, their chemistry was undeniable. Or how the FMC is a walking jukebox, and how the MMC just got into it and played along so perfectly! It was honestly the cutest thing EVER! I’m not entirely sure what counts as a “slow burn,” but if this was one, I’m obsessed. New favorite trope unlocked. Noah did disappoint me, though, when he was willing to ruin his career — his whole life, really — just because Arianna was in a coma. He was ready to let everything go to waste? It really bothers me when someone lets love erase who they are. I can’t bear it when a character dissolves their whole identity for love. What a way to lose your spark. Being in love doesn’t mean you stop existing outside of it. Next, the midpoint threw me off. The accident alone would've been enough to raise the stakes, but memory loss AND a miscarriage? That combo felt excessive. Not implausible, just utterly unlikely. And memory loss as a twist? Way too overdone — especially if, like me, you’ve watched tons of K-dramas. I didn’t see it coming, that's how much I thought that trope was off the table. Still, it served a purpose: it made it crystal clear that the fmc's first love was in the past — and that her heart truly belonged to someone new. And for me, who despises love triangles? That clarity was a relief. The next book follows Mason, the fmc's brother — and honestly? He seriously rubbed me the wrong way, so I’m not exactly rushing to read his story. Maybe one day. But after enjoying Say You Swear as much as I did, I’m definitely curious about the rest of the series.
      ⚠️ This review contains SPOILERS. ⚠️ The first part of this book almost made me dnf. And honestly? Thank God I didn’t — because boy, did I end up loving it. I usually can’t stand the sibling’s best-friend trope. And since I never read synopses, I didn’t realize it was just a temporary setup. Watching the fmc chase after her brother’s best friend made my skin crawl — but she’s 18, and that’s what love looks like at that age. It’s naive, it’s pathetic, and yes, it’s embarrassing (Miss Olivia Rodrigo said it best, iykyk). So it was painful to read… but maybe because it hit closer to home than I’d like to admit. But once the heartbreak hit? That’s when the story really came alive. The author outstandingly nailed that feeling of devastation — raw, grueling, and impossible to shake. I really liked how the fmc's healing wasn’t linear. It was messy, wretched, and full of setbacks. I’m absolutely captivated by that level of realism. It pulled me deep into my feels, forcing me to confront things I was trying so hard to keep buried. Early on, I was terrified the fmc would settle for the guy who rejected her — and let me be clear: that trope is the worst, I don’t care what anyone says. If someone mishandled your heart once, why risk giving it back to them? Thankfully, when the mmc slowly emerged, everything started to click. This new guy came out of nowhere and completely won me over. Noah Riley... The gentleman that you are. The tenderness between them felt organic and deeply sincere — nothing about their bond came off as staged or artificial, which was something I feared the author might fall into while trying to make her fmc evolve and move on. But the dynamic between Noah and Ari was just so sweet and authentic. While I do believe you need time to heal before jumping into something new, there was something about their relationship that felt perfectly timed — like it showed up exactly when and how it was meant to. Watching them fall for each other was a pure delight. Like when the boys first see them together at her apartment? They were just SO in sync, their chemistry was undeniable. Or how the FMC is a walking jukebox, and how the MMC just got into it and played along so perfectly! It was honestly the cutest thing EVER! I’m not entirely sure what counts as a “slow burn,” but if this was one, I’m obsessed. New favorite trope unlocked. Noah did disappoint me, though, when he was willing to ruin his career — his whole life, really — just because Arianna was in a coma. He was ready to let everything go to waste? It really bothers me when someone lets love erase who they are. I can’t bear it when a character dissolves their whole identity for love. What a way to lose your spark. Being in love doesn’t mean you stop existing outside of it. Next, the midpoint threw me off. The accident alone would've been enough to raise the stakes, but memory loss AND a miscarriage? That combo felt excessive. Not implausible, just utterly unlikely. And memory loss as a twist? Way too overdone — especially if, like me, you’ve watched tons of K-dramas. I didn’t see it coming, that's how much I thought that trope was off the table. Still, it served a purpose: it made it crystal clear that the fmc's first love was in the past — and that her heart truly belonged to someone new. And for me, who despises love triangles? That clarity was a relief. The next book follows Mason, the fmc's brother — and honestly? He seriously rubbed me the wrong way, so I’m not exactly rushing to read his story. Maybe one day. But after enjoying Say You Swear as much as I did, I’m definitely curious about the rest of the series.
      Blindly Tome 1
      Avis posté le 2025-05-13
        Un beau gâteau peut parfois dissimuler un vilain arrière-goût
        Ce livre avait tous les ingrédients pour être un véritable coup de cœur. L'objet en lui-même est sublime, et l'auteur est clairement un grand lecteur. Le roman aborde des thèmes originaux, tels que la cécité, les relations familiales complexes, et la culture turque, cette dernière étant d’ailleurs brillamment intégrée à l’histoire. Cependant, je n’ai pas réussi à dépasser la page 112. Les personnages, bien qu'âgés d'une vingtaine d'années, adoptent un comportement étonnamment puéril. Certains éléments du récit ne tiennent pas la route. Par exemple, la protagoniste ne reconnaît pas la voix du garçon qu'elle aime depuis des années, et qui est aussi son ami d’enfance, simplement parce qu’il « force » un peu sur sa voix ? On nous présente aussi des "mean girls" à la fac, un plan de classe, et un professeur principal et des répliques qui n'auraient pas impressionné un collégien… Ces incohérences m’ont véritablement dérangée. De plus, le vocabulaire employé semble très orienté vers le lycée, un ton que j’aurais peut-être apprécié à cet âge-là. J'avais tellement, tellement envie d'apprécier ce livre. Il a été tellement hypé sur les réseaux sociaux. Moi qui suis habituellement adepte des formats poche, j’ai néanmoins craqué pour cette édition splendide. Je ne dirais pas que je le regrette amèrement, car 1 euro a été reversé à une association, ce que je trouve admirable et un beau geste de la part de l’auteur. Néanmoins, dans l'ensemble, c'est une grande déception. Moi qui ne comprenais pas comment on pouvait dnf un livre, j'ai finalement vécu cette expérience moi-même.
        Ce livre avait tous les ingrédients pour être un véritable coup de cœur. L'objet en lui-même est sublime, et l'auteur est clairement un grand lecteur. Le roman aborde des thèmes originaux, tels que la cécité, les relations familiales complexes, et la culture turque, cette dernière étant d’ailleurs brillamment intégrée à l’histoire. Cependant, je n’ai pas réussi à dépasser la page 112. Les personnages, bien qu'âgés d'une vingtaine d'années, adoptent un comportement étonnamment puéril. Certains éléments du récit ne tiennent pas la route. Par exemple, la protagoniste ne reconnaît pas la voix du garçon qu'elle aime depuis des années, et qui est aussi son ami d’enfance, simplement parce qu’il « force » un peu sur sa voix ? On nous présente aussi des "mean girls" à la fac, un plan de classe, et un professeur principal et des répliques qui n'auraient pas impressionné un collégien… Ces incohérences m’ont véritablement dérangée. De plus, le vocabulaire employé semble très orienté vers le lycée, un ton que j’aurais peut-être apprécié à cet âge-là. J'avais tellement, tellement envie d'apprécier ce livre. Il a été tellement hypé sur les réseaux sociaux. Moi qui suis habituellement adepte des formats poche, j’ai néanmoins craqué pour cette édition splendide. Je ne dirais pas que je le regrette amèrement, car 1 euro a été reversé à une association, ce que je trouve admirable et un beau geste de la part de l’auteur. Néanmoins, dans l'ensemble, c'est une grande déception. Moi qui ne comprenais pas comment on pouvait dnf un livre, j'ai finalement vécu cette expérience moi-même.
          BCC : une bonté d’âme qui transparaît dans sa plume
          Ce livre a été ma première rencontre avec l’univers de Brittainy C. Cherry. Elle traite de sujets délicats, comme la dépression ou les relations familiales compliquées, avec beaucoup de justesse et de sensibilité. Malgré tout, la lecture reste fluide et agréable — un roman qu’on lit sans s’en rendre compte. Le format, très pratique, rend l’expérience encore plus plaisante. BCC a une plume empreinte de douceur et réconfort, qui enveloppe le lecteur avec tendresse. L’autrice jongle habilement entre la gravité de certains thèmes et des touches de légèreté bienvenues. Un pari vient dynamiser l’intrigue, lui donnant du relief sans tomber dans le déjà-vu. J’ai particulièrement aimé la manière dont l’histoire nous invite à dépasser nos préjugés, à aller au-delà des apparences pour découvrir les autres tels qu’ils sont vraiment. Certaines scènes m’ont profondément bouleversées. On suit avec beaucoup d’émotion l’évolution des personnages, leur cheminement vers une meilleure compréhension d’eux-mêmes et des autres, dans un processus de guérison tout en douceur. Une lecture marquante, pleine d’émotion et d’humanité — et j’ai désormais hâte de découvrir les autres romans de cette autrice.
          Ce livre a été ma première rencontre avec l’univers de Brittainy C. Cherry. Elle traite de sujets délicats, comme la dépression ou les relations familiales compliquées, avec beaucoup de justesse et de sensibilité. Malgré tout, la lecture reste fluide et agréable — un roman qu’on lit sans s’en rendre compte. Le format, très pratique, rend l’expérience encore plus plaisante. BCC a une plume empreinte de douceur et réconfort, qui enveloppe le lecteur avec tendresse. L’autrice jongle habilement entre la gravité de certains thèmes et des touches de légèreté bienvenues. Un pari vient dynamiser l’intrigue, lui donnant du relief sans tomber dans le déjà-vu. J’ai particulièrement aimé la manière dont l’histoire nous invite à dépasser nos préjugés, à aller au-delà des apparences pour découvrir les autres tels qu’ils sont vraiment. Certaines scènes m’ont profondément bouleversées. On suit avec beaucoup d’émotion l’évolution des personnages, leur cheminement vers une meilleure compréhension d’eux-mêmes et des autres, dans un processus de guérison tout en douceur. Une lecture marquante, pleine d’émotion et d’humanité — et j’ai désormais hâte de découvrir les autres romans de cette autrice.
          Tous nos lendemains
          Avis posté le 2025-05-12
            À tous nos lendemains
            J'avais entendu tellement de bien, sur ce livre. Je pensais vraiment que ce serait une dinguerie bien triste comme on les aime. Mais je dois avouer que ça ne s’est pas passé comme je l’imaginais. J'ai trouvé les personnages assez puérils, et je n’ai pas vraiment réussi à m’y attacher. L'histoire aborde des thèmes forts (comme la dépression, l'anorexie et le cancer), mais, selon moi, ils n’ont pas été exploités de manière assez profonde. Le personnage de James, il est d'un pathétique, vraiment. Faut voir comment, même des années après, même en ayant clairement abandonné son frère, il regardait Chloé d'un mauvais oeil. Je voulais tellement aimer ce livre. J’ai persévéré, en me disant : « Si on me l’a autant recommandé, c’est qu’il y a un moment où ça va décoller, un truc va finir par me saisir. » Ce moment, malheureusement, n’est jamais venu. La fin, par contre, m’a un peu réconciliée avec l’ensemble. Son réalisme lui donne de la profondeur, et ce choix narratif a enfin apporté ce petit quelque chose dont l’histoire avait désespérément besoin. C’est sans doute la partie que j’ai préférée. J’ai versé quelques larmes — mais je m’attendais à être bien plus bouleversée. Certaines phrases sont très belles, le style a du potentiel, mais globalement, j’ai été déçue. Le titre et les illustrations, en revanche, sont superbes. Même si, personnellement, j'aurais bien ajouté un petit « à, » devant le titre, pour le rendre encore plus triste.
            J'avais entendu tellement de bien, sur ce livre. Je pensais vraiment que ce serait une dinguerie bien triste comme on les aime. Mais je dois avouer que ça ne s’est pas passé comme je l’imaginais. J'ai trouvé les personnages assez puérils, et je n’ai pas vraiment réussi à m’y attacher. L'histoire aborde des thèmes forts (comme la dépression, l'anorexie et le cancer), mais, selon moi, ils n’ont pas été exploités de manière assez profonde. Le personnage de James, il est d'un pathétique, vraiment. Faut voir comment, même des années après, même en ayant clairement abandonné son frère, il regardait Chloé d'un mauvais oeil. Je voulais tellement aimer ce livre. J’ai persévéré, en me disant : « Si on me l’a autant recommandé, c’est qu’il y a un moment où ça va décoller, un truc va finir par me saisir. » Ce moment, malheureusement, n’est jamais venu. La fin, par contre, m’a un peu réconciliée avec l’ensemble. Son réalisme lui donne de la profondeur, et ce choix narratif a enfin apporté ce petit quelque chose dont l’histoire avait désespérément besoin. C’est sans doute la partie que j’ai préférée. J’ai versé quelques larmes — mais je m’attendais à être bien plus bouleversée. Certaines phrases sont très belles, le style a du potentiel, mais globalement, j’ai été déçue. Le titre et les illustrations, en revanche, sont superbes. Même si, personnellement, j'aurais bien ajouté un petit « à, » devant le titre, pour le rendre encore plus triste.
            Red Falcon
            Avis posté le 2025-05-12
              Une alchimie entre les protagonistes qui ne laisse pas indifférent... !
              Moi qui d’ordinaire lis lentement, je l'ai dévoré en, quoi, trois jours ? L'alchimie entre les personnages explosive, la tension sexuelle à son comble, et l'intrigue est palpitante. C'est mon premier roman de Aurore Payelle, mais ça ne sera certainement pas mon dernier ! Je lui donnerais un bon 3,5/5 !
              Moi qui d’ordinaire lis lentement, je l'ai dévoré en, quoi, trois jours ? L'alchimie entre les personnages explosive, la tension sexuelle à son comble, et l'intrigue est palpitante. C'est mon premier roman de Aurore Payelle, mais ça ne sera certainement pas mon dernier ! Je lui donnerais un bon 3,5/5 !
              Yellowface
              Avis posté le 2025-05-12
                Rebecca F. Kuang et Yellowface : Une lecture qui résonne au-delà des pages
                Ce livre est tout bonnement incroyable ; il n'y a pas d'autre manière de le dire. La plume est brillante, et l'auteure manie les mots à la perfection, réussissant à nous faire comprendre les choix de la protagoniste, même lorsqu'ils sont moralement douteux. Mais ce qui m'a le plus frappé, c'est la manière dont Rebecca F. Kuang parvient à se glisser de façon si authentique, persuasive et pertinente dans la peau d'une femme blanche, capturant ses pensées, ses émotions et son comportement avec une précision tranchante. Il s'agit là, sans aucun doute, de l'un des meilleurs livres que j'ai jamais lus. Cinq étoiles, sans hésitation.
                Ce livre est tout bonnement incroyable ; il n'y a pas d'autre manière de le dire. La plume est brillante, et l'auteure manie les mots à la perfection, réussissant à nous faire comprendre les choix de la protagoniste, même lorsqu'ils sont moralement douteux. Mais ce qui m'a le plus frappé, c'est la manière dont Rebecca F. Kuang parvient à se glisser de façon si authentique, persuasive et pertinente dans la peau d'une femme blanche, capturant ses pensées, ses émotions et son comportement avec une précision tranchante. Il s'agit là, sans aucun doute, de l'un des meilleurs livres que j'ai jamais lus. Cinq étoiles, sans hésitation.