⚠️ Cette critique contient des SPOILERS. ⚠️
En général, je ne supporte pas le trope du sibling’s best-friend. Et comme je ne lis jamais les résumés, je ne savais pas encore que ce n’était qu’un point de départ temporaire. Assister à sa course éperdue derrière lui m’a mise franchement mal à l’aise. Cependant, elle a dix-huit ans, et l’amour ressemble à ça, à cet âge-là. C’est naïf, c’est pathétique, et oui, c’est embarrassant (Miss Olivia Rodrigo l’a parfaitement résumé, iykyk). Cela n’a donc pas été franchement agréable à lire... mais doute parce que ça m’a touchée plus que je ne veux bien l’admettre.
Mais une fois que le processus du chagrin d'amour s'est enclenché ? C’est là que l’histoire a vraiment commencé. L’autrice a remarquablement bien capturé le sentiment de dévastation — brut, éprouvant, et impossible à ignorer. J’ai beaucoup aimé le fait que la guérison de la protagoniste ne soit pas linéaire. C’est chaotique, douloureux, et ponctué de rechutes. Ce réalisme m’a totalement happée. Il m’a plongée dans mes émotions, m’a remuée, et m’a obligée à affronter certaines choses que je refoulais. (J'ai bien pleuré)
Au début, je craignais que la protagoniste finisse avec le gars qui l’avait rejetée — et soyons clairs : ce trope est le pire, peu importe ce que les gens en disent. Si quelqu’un a maltraité ton cœur une fois, pourquoi prendre le risque de le lui en redonner la chance ? Heureusement, quand le véritable mmc est entré en scène peu à peu, tout s’est éclairé. Ce nouveau mec est sorti de nulle part et m’a totalement conquise. Noah Riley… Quel gentleman, vraiment.
La tendresse au sein du couple principal eux était naturelle et profondément sincère — rien dans leur relation ne sonnait faux ou forcé, ce que je redoutais, surtout que l’autrice aurait pu tomber dans ce piège en essayant de faire évoluer son héroïne. Mais la dynamique entre Noah et Ari était juste adorable et authentique. Même si je pense qu’il faut du temps pour guérir avant de se lancer dans une nouvelle relation, il y avait quelque chose dans la leur qui paraissait parfaitement opportun et logique — comme si elle arrivait pile au bon moment. Les voir tomber amoureux l’un de l’autre fut un véritable bonheur. Et quand les garçons les découvrent ensemble chez elle pour la première fois ? Ils étaient TELLEMENT fusionnel, leur alchimie était indéniable. J’ai aussi adoré que la fmc soit un vrai jukebox sur pattes, et que le mmc se soit complètement prêté au jeu. C'est si mignon. Je ne sais pas exactement ce qu’on appelle un "slow burn", mais si c’en était un, je suis accro. Nouveau trope préféré débloqué.
Noah m’a quand même déçue, quand il a été prêt à ruiner sa carrière — sa vie entière, en fait — simplement parce qu’Arianna était dans le coma. Il était prêt à tout laisser tomber ? L’amour ne devrait jamais effacer qui l’on est. J’ai du mal avec l'idée qu’un personnage se dissolve entièrement dans une relation. C’est le meilleur moyen de perdre sa lumière. Être amoureux ne veut pas dire qu’on cesse d’exister en dehors de ça.
Ensuite, le milieu du roman m’a déstabilisée. L’accident aurait largement suffi à faire monter la tension, mais une perte de mémoire ET une fausse couche ? Cette combinaison m’a semblé excessive. Pas impossible, juste carrément improbable. Et la perte de mémoire comme twist ? Beaucoup trop vue — surtout si, comme moi, vous avez regardé masse de K-dramas. Je ne l’avais même pas envisagé, c’est dire à quel point je pensais ce cliché hors-jeu.
Mais bon, ça a servi à quelque chose : ça a clairement montré que le premier amour de l’héroïne appartenait au passé — et que son cœur était désormais tourné vers quelqu’un d’autre. Et pour moi, qui déteste les triangles amoureux ? Ce fut un soulagement.
Le prochain tome suit Mason, le frère de l’héroïne — et franchement ? Je l’ai trouvé bien agaçant, donc je ne ressens pas l'envie de lire son histoire. Peut-être un jour. Mais après avoir autant aimé Say You Swear, je suis clairement curieuse de découvrir la suite de la série.
⚠️ Cette critique contient des SPOILERS. ⚠️
En général, je ne supporte pas le trope du sibling’s best-friend. Et comme je ne lis jamais les résumés, je ne savais pas encore que ce n’était qu’un point de départ temporaire. Assister à sa course éperdue derrière lui m’a mise franchement mal à l’aise. Cependant, elle a dix-huit ans, et l’amour ressemble à ça, à cet âge-là. C’est naïf, c’est pathétique, et oui, c’est embarrassant (Miss Olivia Rodrigo l’a parfaitement résumé, iykyk). Cela n’a donc pas été franchement agréable à lire... mais doute parce que ça m’a touchée plus que je ne veux bien l’admettre.
Mais une fois que le processus du chagrin d'amour s'est enclenché ? C’est là que l’histoire a vraiment commencé. L’autrice a remarquablement bien capturé le sentiment de dévastation — brut, éprouvant, et impossible à ignorer. J’ai beaucoup aimé le fait que la guérison de la protagoniste ne soit pas linéaire. C’est chaotique, douloureux, et ponctué de rechutes. Ce réalisme m’a totalement happée. Il m’a plongée dans mes émotions, m’a remuée, et m’a obligée à affronter certaines choses que je refoulais. (J'ai bien pleuré)
Au début, je craignais que la protagoniste finisse avec le gars qui l’avait rejetée — et soyons clairs : ce trope est le pire, peu importe ce que les gens en disent. Si quelqu’un a maltraité ton cœur une fois, pourquoi prendre le risque de le lui en redonner la chance ? Heureusement, quand le véritable mmc est entré en scène peu à peu, tout s’est éclairé. Ce nouveau mec est sorti de nulle part et m’a totalement conquise. Noah Riley… Quel gentleman, vraiment.
La tendresse au sein du couple principal eux était naturelle et profondément sincère — rien dans leur relation ne sonnait faux ou forcé, ce que je redoutais, surtout que l’autrice aurait pu tomber dans ce piège en essayant de faire évoluer son héroïne. Mais la dynamique entre Noah et Ari était juste adorable et authentique. Même si je pense qu’il faut du temps pour guérir avant de se lancer dans une nouvelle relation, il y avait quelque chose dans la leur qui paraissait parfaitement opportun et logique — comme si elle arrivait pile au bon moment. Les voir tomber amoureux l’un de l’autre fut un véritable bonheur. Et quand les garçons les découvrent ensemble chez elle pour la première fois ? Ils étaient TELLEMENT fusionnel, leur alchimie était indéniable. J’ai aussi adoré que la fmc soit un vrai jukebox sur pattes, et que le mmc se soit complètement prêté au jeu. C'est si mignon. Je ne sais pas exactement ce qu’on appelle un "slow burn", mais si c’en était un, je suis accro. Nouveau trope préféré débloqué.
Noah m’a quand même déçue, quand il a été prêt à ruiner sa carrière — sa vie entière, en fait — simplement parce qu’Arianna était dans le coma. Il était prêt à tout laisser tomber ? L’amour ne devrait jamais effacer qui l’on est. J’ai du mal avec l'idée qu’un personnage se dissolve entièrement dans une relation. C’est le meilleur moyen de perdre sa lumière. Être amoureux ne veut pas dire qu’on cesse d’exister en dehors de ça.
Ensuite, le milieu du roman m’a déstabilisée. L’accident aurait largement suffi à faire monter la tension, mais une perte de mémoire ET une fausse couche ? Cette combinaison m’a semblé excessive. Pas impossible, juste carrément improbable. Et la perte de mémoire comme twist ? Beaucoup trop vue — surtout si, comme moi, vous avez regardé masse de K-dramas. Je ne l’avais même pas envisagé, c’est dire à quel point je pensais ce cliché hors-jeu.
Mais bon, ça a servi à quelque chose : ça a clairement montré que le premier amour de l’héroïne appartenait au passé — et que son cœur était désormais tourné vers quelqu’un d’autre. Et pour moi, qui déteste les triangles amoureux ? Ce fut un soulagement.
Le prochain tome suit Mason, le frère de l’héroïne — et franchement ? Je l’ai trouvé bien agaçant, donc je ne ressens pas l'envie de lire son histoire. Peut-être un jour. Mais après avoir autant aimé Say You Swear, je suis clairement curieuse de découvrir la suite de la série.