Retour






Les dernières notes et avis
Notes et avis 1 à 8 sur un total de 18
Souvenirs de la marée basse
Avis posté le 2017-09-24
Halte-là !
Vous aimez nager, vous aimez l'écriture ciselée, vous aimez l'humour, la pudeur d'un portrait de mère, vous êtes nostalgique de l'enfance et de la plage : ce livre est pour vous.
"Elle nageait partout, à des heures changeantes, avec une obstination, une opiniâtreté, qu'elle ne manifestait pour aucune autre activité"
"A son insu elle m'a transmis l'essentiel : l'énergie d'un sillage qui s'inscrit dans l'instant, la beauté d'un chemin d'oubli"
"Ma mère est un enfant à part"
"Une enfant estivante, définitivement décrochée de toute perspective de retour"
"Elle ne fera plus aucun sport, sauf nager qu'elle va pratiquer en tant que rite solitaire, conduite de survie, manifeste de style"
"Je n'ai pas de patience. Ca m'énerve la patience"
"Ils sont cinq enfants, tous assez vilains, comme les parents. Ce n'est donc pas la beauté, qui, chez eux, m'attire. Mais quelque chose d'autre, quelque chose d'étranger chez moi où les sautes d'humeur de ma mère créent un climat instable, où, à tout moment, des renversements de situation, des changements de projets sont possibles."
"Elle nageait partout, à des heures changeantes, avec une obstination, une opiniâtreté, qu'elle ne manifestait pour aucune autre activité."
"A son insu elle m'a transmis l'essentiel : l'énergie d'un sillage qui s'inscrit dans l'instant, la beauté d'un chemin d'oubli."
"Ma mère est un enfant à part"
"Une enfant estivante, définitivement décrochée de toute perspective de retour"
"Elle ne fera plus aucun sport, sauf nager qu'elle va pratiquer en tant que rite solitaire, conduite de survie, manifeste de style"
"Je n'ai pas de patience. Ca m'énerve la patience."
"Ils sont cinq enfants, tous assez vilains, comme les parents. Ce n'est donc pas la beauté, qui, chez eux, m'attire. Mais quelque chose d'autre, quelque chose d'étranger chez moi où les sautes d'humeur, de ma mère créent un climat instable, où, à tout moment, des renversements de situation, des changements de projets sont possibles."
Vous aimez nager, vous aimez l'écriture ciselée, vous aimez l'humour, la pudeur d'un portrait de mère, vous êtes nostalgique de l'enfance et de la plage : ce livre est pour vous.
"Elle nageait partout, à des heures changeantes, avec une obstination, une opiniâtreté, qu'elle ne manifestait pour aucune autre activité"
"A son insu elle m'a transmis l'essentiel : l'énergie d'un sillage qui s'inscrit dans l'instant, la beauté d'un chemin d'oubli"
"Ma mère est un enfant à part"
"Une enfant estivante, définitivement décrochée de toute perspective de retour"
"Elle ne fera plus aucun sport, sauf nager qu'elle va pratiquer en tant que rite solitaire, conduite de survie, manifeste de style"
"Je n'ai pas de patience. Ca m'énerve la patience"
"Ils sont cinq enfants, tous assez vilains, comme les parents. Ce n'est donc pas la beauté, qui, chez eux, m'attire. Mais quelque chose d'autre, quelque chose d'étranger chez moi où les sautes d'humeur de ma mère créent un climat instable, où, à tout moment, des renversements de situation, des changements de projets sont possibles."
"Elle nageait partout, à des heures changeantes, avec une obstination, une opiniâtreté, qu'elle ne manifestait pour aucune autre activité."
"A son insu elle m'a transmis l'essentiel : l'énergie d'un sillage qui s'inscrit dans l'instant, la beauté d'un chemin d'oubli."
"Ma mère est un enfant à part"
"Une enfant estivante, définitivement décrochée de toute perspective de retour"
"Elle ne fera plus aucun sport, sauf nager qu'elle va pratiquer en tant que rite solitaire, conduite de survie, manifeste de style"
"Je n'ai pas de patience. Ca m'énerve la patience."
"Ils sont cinq enfants, tous assez vilains, comme les parents. Ce n'est donc pas la beauté, qui, chez eux, m'attire. Mais quelque chose d'autre, quelque chose d'étranger chez moi où les sautes d'humeur, de ma mère créent un climat instable, où, à tout moment, des renversements de situation, des changements de projets sont possibles."

Personne ne gagne. Mémoires
Avis posté le 2017-06-27
"Il y a des façons plus dignes que d'autres de perdre"
rien que pour la préface de Vinau ( lisez ces 76 clochards célestes) et la postface de Burroughs, on peut lire Personne ne gagne. " Qu'est ce qui fait le pouvoir d'un livre ? Qu'est ce qui fait cette magie ? Qu'est-ce qui fait qu'en nous racontant des histoires, quelqu'un nous offre un peu plus de vérité, l'apesanteur en moins, le rêve en plus. Q'est-ce qui fait qu'on peut, dans ces moments-là (...) à la fois rester des hommes et redevenir des enfants ?" Thomas Vinau
page 35 de personne ne gagne " La malle était très grande, en cuir, avec des coins en laiton, et un tas d'étiquettes d'hôtels et de lignes de paquebots collées dessus. Elle était éraflée, cabossée tâchée, signe qu'elle avait fait de nombreux voyages. L'objet me fascinait. je tournai autour, la touchai, déchiffrai les différentes étiquettes (...) la malle avait fait naître en moi des pensées étranges, de curieux désirs (...) je sais aujourd'hui qu'elle m'évoquait le voyage, l'aventure, sur terre comme sur mer - le vaste monde. "
Jack Black
rien que pour la préface de Vinau ( lisez ces 76 clochards célestes) et la postface de Burroughs, on peut lire Personne ne gagne. " Qu'est ce qui fait le pouvoir d'un livre ? Qu'est ce qui fait cette magie ? Qu'est-ce qui fait qu'en nous racontant des histoires, quelqu'un nous offre un peu plus de vérité, l'apesanteur en moins, le rêve en plus. Q'est-ce qui fait qu'on peut, dans ces moments-là (...) à la fois rester des hommes et redevenir des enfants ?" Thomas Vinau
page 35 de personne ne gagne " La malle était très grande, en cuir, avec des coins en laiton, et un tas d'étiquettes d'hôtels et de lignes de paquebots collées dessus. Elle était éraflée, cabossée tâchée, signe qu'elle avait fait de nombreux voyages. L'objet me fascinait. je tournai autour, la touchai, déchiffrai les différentes étiquettes (...) la malle avait fait naître en moi des pensées étranges, de curieux désirs (...) je sais aujourd'hui qu'elle m'évoquait le voyage, l'aventure, sur terre comme sur mer - le vaste monde. "
Jack Black

Va faire un tour !
Avis posté le 2017-05-25
ode a la liberté
C'est vrai, dès fois, on est en colère, les mots nous emportent. On n'entend plus rien, on ne voit plus trop ce qui nous entoure. Mais si on va faire un tour, si laisse un peu le temps filer, on peut voir où ça nous mène, et avec du vent et de la lumière sur son vélo, on peut se calmer, et réfléchir. Avec un peu de recul, on revient serein et prêt à partager de nouvelles aventures.
A partir de 4 ans
C'est vrai, dès fois, on est en colère, les mots nous emportent. On n'entend plus rien, on ne voit plus trop ce qui nous entoure. Mais si on va faire un tour, si laisse un peu le temps filer, on peut voir où ça nous mène, et avec du vent et de la lumière sur son vélo, on peut se calmer, et réfléchir. Avec un peu de recul, on revient serein et prêt à partager de nouvelles aventures.
A partir de 4 ans

Jours barbares. Une vie de surf
Avis posté le 2017-05-21
vague à l'âme
Un homme capable de partir à trois heures du matin pour surfer sur La vague idéale, c'est touchant. On ressort grandi de ce livre, en se disant qu'il faut qu'on se lève nous aussi tôt le matin pour la trouver aussi. Afin de sortir du quotidien pour trouver le feu qui fera qu'il reste, même quand tout fout le camp, le sacré de l'enfance, des rêves à accomplir et des espoirs à sauvegarder.
A lire pour prendre le large, ouvrir ses poumons, dépasser ses limites.
A chacun sa vague
Muriel
Un homme capable de partir à trois heures du matin pour surfer sur La vague idéale, c'est touchant. On ressort grandi de ce livre, en se disant qu'il faut qu'on se lève nous aussi tôt le matin pour la trouver aussi. Afin de sortir du quotidien pour trouver le feu qui fera qu'il reste, même quand tout fout le camp, le sacré de l'enfance, des rêves à accomplir et des espoirs à sauvegarder.
A lire pour prendre le large, ouvrir ses poumons, dépasser ses limites.
A chacun sa vague
Muriel

Les mûres
Avis posté le 2017-05-19
plein les yeux
un album grandiose, on entre dans les images comme dans une clairière
un endroit secret et rempli de mystère
et dans le texte comme dans l'enfance : qui n'a pas connu la nostalgie de ce dernier jour de vacances, où l'on range tout fébrilement déjà tourné vers après et où l'on a aussi envie de cueillir le jour car on sait que c'est le dernier où l'on pourra profiter avant longtemps des mûres sur le sentier ? Trois amis se promènent et goûtent à ce merveilleux temps d'être ensemble, à vivre, tout simplement.
à Partir de 5 ans.
un album grandiose, on entre dans les images comme dans une clairière
un endroit secret et rempli de mystère
et dans le texte comme dans l'enfance : qui n'a pas connu la nostalgie de ce dernier jour de vacances, où l'on range tout fébrilement déjà tourné vers après et où l'on a aussi envie de cueillir le jour car on sait que c'est le dernier où l'on pourra profiter avant longtemps des mûres sur le sentier ? Trois amis se promènent et goûtent à ce merveilleux temps d'être ensemble, à vivre, tout simplement.
à Partir de 5 ans.

Va jouer avec le petit garçon !
Avis posté le 2017-05-19
aimer être seul
Voilà un album a contre courant qui fait un bien fou : on peut jouer tout seul et n'être pas malheureux. un album qui redore le blason de l'imaginaire, des moments d'autonomie où on rêve... A toujours être avec les autres, les enfants n'ont plus beaucoup de temps pour construire un monde bien à eux. Bref, à tous les parents inquiets de voir leurs enfants jouer tout seul, lisez ce beau texte de Clémentine Beauvais, décidément douée pour parler de sujets importants.
Voilà un album a contre courant qui fait un bien fou : on peut jouer tout seul et n'être pas malheureux. un album qui redore le blason de l'imaginaire, des moments d'autonomie où on rêve... A toujours être avec les autres, les enfants n'ont plus beaucoup de temps pour construire un monde bien à eux. Bref, à tous les parents inquiets de voir leurs enfants jouer tout seul, lisez ce beau texte de Clémentine Beauvais, décidément douée pour parler de sujets importants.

Belle maison
Avis posté le 2017-05-19
la maison aux souvenirs
C'est elle qui parle, la maison.
C'est elle qui nous a vu grandir
C'est elle qui nous a vu lire des bandes dessinées dans le grenier
C'est elle qui nous a regardé su la plage construire nos châteaux de sable
c'est la maison qui parle
et toute l'enfance qui remonte
Pour les petits et les plus grands, à partager sans modération et avec une pointe de nostalgie
A partir de 6 ans
C'est elle qui parle, la maison.
C'est elle qui nous a vu grandir
C'est elle qui nous a vu lire des bandes dessinées dans le grenier
C'est elle qui nous a regardé su la plage construire nos châteaux de sable
c'est la maison qui parle
et toute l'enfance qui remonte
Pour les petits et les plus grands, à partager sans modération et avec une pointe de nostalgie
A partir de 6 ans