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Souvenirs de la marée basse
Avis posté le 2017-09-24
Halte-là !
Vous aimez nager, vous aimez l'écriture ciselée, vous aimez l'humour, la pudeur d'un portrait de mère, vous êtes nostalgique de l'enfance et de la plage : ce livre est pour vous.
"Elle nageait partout, à des heures changeantes, avec une obstination, une opiniâtreté, qu'elle ne manifestait pour aucune autre activité"
"A son insu elle m'a transmis l'essentiel : l'énergie d'un sillage qui s'inscrit dans l'instant, la beauté d'un chemin d'oubli"
"Ma mère est un enfant à part"
"Une enfant estivante, définitivement décrochée de toute perspective de retour"
"Elle ne fera plus aucun sport, sauf nager qu'elle va pratiquer en tant que rite solitaire, conduite de survie, manifeste de style"
"Je n'ai pas de patience. Ca m'énerve la patience"
"Ils sont cinq enfants, tous assez vilains, comme les parents. Ce n'est donc pas la beauté, qui, chez eux, m'attire. Mais quelque chose d'autre, quelque chose d'étranger chez moi où les sautes d'humeur de ma mère créent un climat instable, où, à tout moment, des renversements de situation, des changements de projets sont possibles."
"Elle nageait partout, à des heures changeantes, avec une obstination, une opiniâtreté, qu'elle ne manifestait pour aucune autre activité."
"A son insu elle m'a transmis l'essentiel : l'énergie d'un sillage qui s'inscrit dans l'instant, la beauté d'un chemin d'oubli."
"Ma mère est un enfant à part"
"Une enfant estivante, définitivement décrochée de toute perspective de retour"
"Elle ne fera plus aucun sport, sauf nager qu'elle va pratiquer en tant que rite solitaire, conduite de survie, manifeste de style"
"Je n'ai pas de patience. Ca m'énerve la patience."
"Ils sont cinq enfants, tous assez vilains, comme les parents. Ce n'est donc pas la beauté, qui, chez eux, m'attire. Mais quelque chose d'autre, quelque chose d'étranger chez moi où les sautes d'humeur, de ma mère créent un climat instable, où, à tout moment, des renversements de situation, des changements de projets sont possibles."
Vous aimez nager, vous aimez l'écriture ciselée, vous aimez l'humour, la pudeur d'un portrait de mère, vous êtes nostalgique de l'enfance et de la plage : ce livre est pour vous.
"Elle nageait partout, à des heures changeantes, avec une obstination, une opiniâtreté, qu'elle ne manifestait pour aucune autre activité"
"A son insu elle m'a transmis l'essentiel : l'énergie d'un sillage qui s'inscrit dans l'instant, la beauté d'un chemin d'oubli"
"Ma mère est un enfant à part"
"Une enfant estivante, définitivement décrochée de toute perspective de retour"
"Elle ne fera plus aucun sport, sauf nager qu'elle va pratiquer en tant que rite solitaire, conduite de survie, manifeste de style"
"Je n'ai pas de patience. Ca m'énerve la patience"
"Ils sont cinq enfants, tous assez vilains, comme les parents. Ce n'est donc pas la beauté, qui, chez eux, m'attire. Mais quelque chose d'autre, quelque chose d'étranger chez moi où les sautes d'humeur de ma mère créent un climat instable, où, à tout moment, des renversements de situation, des changements de projets sont possibles."
"Elle nageait partout, à des heures changeantes, avec une obstination, une opiniâtreté, qu'elle ne manifestait pour aucune autre activité."
"A son insu elle m'a transmis l'essentiel : l'énergie d'un sillage qui s'inscrit dans l'instant, la beauté d'un chemin d'oubli."
"Ma mère est un enfant à part"
"Une enfant estivante, définitivement décrochée de toute perspective de retour"
"Elle ne fera plus aucun sport, sauf nager qu'elle va pratiquer en tant que rite solitaire, conduite de survie, manifeste de style"
"Je n'ai pas de patience. Ca m'énerve la patience."
"Ils sont cinq enfants, tous assez vilains, comme les parents. Ce n'est donc pas la beauté, qui, chez eux, m'attire. Mais quelque chose d'autre, quelque chose d'étranger chez moi où les sautes d'humeur, de ma mère créent un climat instable, où, à tout moment, des renversements de situation, des changements de projets sont possibles."

Personne ne gagne. Mémoires
Avis posté le 2017-06-27
"Il y a des façons plus dignes que d'autres de perdre"
rien que pour la préface de Vinau ( lisez ces 76 clochards célestes) et la postface de Burroughs, on peut lire Personne ne gagne. " Qu'est ce qui fait le pouvoir d'un livre ? Qu'est ce qui fait cette magie ? Qu'est-ce qui fait qu'en nous racontant des histoires, quelqu'un nous offre un peu plus de vérité, l'apesanteur en moins, le rêve en plus. Q'est-ce qui fait qu'on peut, dans ces moments-là (...) à la fois rester des hommes et redevenir des enfants ?" Thomas Vinau
page 35 de personne ne gagne " La malle était très grande, en cuir, avec des coins en laiton, et un tas d'étiquettes d'hôtels et de lignes de paquebots collées dessus. Elle était éraflée, cabossée tâchée, signe qu'elle avait fait de nombreux voyages. L'objet me fascinait. je tournai autour, la touchai, déchiffrai les différentes étiquettes (...) la malle avait fait naître en moi des pensées étranges, de curieux désirs (...) je sais aujourd'hui qu'elle m'évoquait le voyage, l'aventure, sur terre comme sur mer - le vaste monde. "
Jack Black
rien que pour la préface de Vinau ( lisez ces 76 clochards célestes) et la postface de Burroughs, on peut lire Personne ne gagne. " Qu'est ce qui fait le pouvoir d'un livre ? Qu'est ce qui fait cette magie ? Qu'est-ce qui fait qu'en nous racontant des histoires, quelqu'un nous offre un peu plus de vérité, l'apesanteur en moins, le rêve en plus. Q'est-ce qui fait qu'on peut, dans ces moments-là (...) à la fois rester des hommes et redevenir des enfants ?" Thomas Vinau
page 35 de personne ne gagne " La malle était très grande, en cuir, avec des coins en laiton, et un tas d'étiquettes d'hôtels et de lignes de paquebots collées dessus. Elle était éraflée, cabossée tâchée, signe qu'elle avait fait de nombreux voyages. L'objet me fascinait. je tournai autour, la touchai, déchiffrai les différentes étiquettes (...) la malle avait fait naître en moi des pensées étranges, de curieux désirs (...) je sais aujourd'hui qu'elle m'évoquait le voyage, l'aventure, sur terre comme sur mer - le vaste monde. "
Jack Black

Va faire un tour !
Avis posté le 2017-05-25
ode a la liberté
C'est vrai, dès fois, on est en colère, les mots nous emportent. On n'entend plus rien, on ne voit plus trop ce qui nous entoure. Mais si on va faire un tour, si laisse un peu le temps filer, on peut voir où ça nous mène, et avec du vent et de la lumière sur son vélo, on peut se calmer, et réfléchir. Avec un peu de recul, on revient serein et prêt à partager de nouvelles aventures.
A partir de 4 ans
C'est vrai, dès fois, on est en colère, les mots nous emportent. On n'entend plus rien, on ne voit plus trop ce qui nous entoure. Mais si on va faire un tour, si laisse un peu le temps filer, on peut voir où ça nous mène, et avec du vent et de la lumière sur son vélo, on peut se calmer, et réfléchir. Avec un peu de recul, on revient serein et prêt à partager de nouvelles aventures.
A partir de 4 ans