Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En Zulfu, le lecteur de Bedel trouvera une héroïne qui, paradoxalement, parvient à trouver en France le moyen d'échapper à la vague de, changements...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 3 octobre
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Résumé
En Zulfu, le lecteur de Bedel trouvera une héroïne qui, paradoxalement, parvient à trouver en France le moyen d'échapper à la vague de, changements qui submerge l'ancien régime ottoman ! Belle occasion pour Bedel, de brocarder les effets pervers de ce Progrès que l'homme, en sa grande mégalomanie, ne parvient pas à maîtriser (comme dans Voyage de Jérôme aux Etats-Unis d'Amérique), et de prôner sa chère Touraine (particulièrement, dans Molinoff - Indre-et-Loire ou La Nouvelle Arcadie). C'est le porte-parole de l'auteur, Hubert, qui condamne ce qui est à l'origine de la destruction de l'environnement. Selon Amédée (alias Ahmed), le narrateur, " la science et la philosophie (sont) la véritable parure de la femme ". Aussi déplore-t-il que Zulfu, la fille de son maître, cache ses cheveux " sous une sorte de turban de soie noire " qui lui donne " l'aspect d'une femme des temps passés ", mais il doit bien reconnaître que, " ainsi parée, Melle Zulfu [est] bien jolie ". En cela, Amédée et Hubert sont bien d'accord...