Voici sept nouvelles, toutes inédites en français et qui, dans leur diversité, illustrent quelques-uns des thèmes chers à l'auteur du Monde d'hier : la fragilité des jeunes âmes, la difficulté de certains êtres à trouver leur place dans la communauté des hommes, l'engourdissement moral et affectif généré par le confort bourgeois, l'absurdité de la guerre, l'oeuvre cruelle du temps. Elles furent écrites à différentes époques.
La plus ancienne date de 1900, tandis que celle, inachevée, qui donne son titre au recueil, est une création tardive, récemment retrouvée dans les archives de l'écrivain. Mais toutes portent la marque de ce grand humaniste que fut Stefan Zweig. Dénonciateur de toutes les défaites de la raison, analyste subtil et sensible des souffrances les plus secrètes, parfois fatales, souvent régénératrices, il célèbre avant tout ici cette « intense magie de la vie qui gouverne nos destins, même quand nous croyons les diriger nous-mêmes ».
Voici sept nouvelles, toutes inédites en français et qui, dans leur diversité, illustrent quelques-uns des thèmes chers à l'auteur du Monde d'hier : la fragilité des jeunes âmes, la difficulté de certains êtres à trouver leur place dans la communauté des hommes, l'engourdissement moral et affectif généré par le confort bourgeois, l'absurdité de la guerre, l'oeuvre cruelle du temps. Elles furent écrites à différentes époques.
La plus ancienne date de 1900, tandis que celle, inachevée, qui donne son titre au recueil, est une création tardive, récemment retrouvée dans les archives de l'écrivain. Mais toutes portent la marque de ce grand humaniste que fut Stefan Zweig. Dénonciateur de toutes les défaites de la raison, analyste subtil et sensible des souffrances les plus secrètes, parfois fatales, souvent régénératrices, il célèbre avant tout ici cette « intense magie de la vie qui gouverne nos destins, même quand nous croyons les diriger nous-mêmes ».
