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Violences extrêmes et transgression en temps de guerre. Dialogue entre mondes anciens et contemporains
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- PrésentationBroché
- Poids0.001 kg
- ISBN979-10-413-0283-3
- EAN9791041302833
- Date de parution19/02/2026
- CollectionHistoire
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
Depuis les deux derniers grands conflits mondiaux, les actes de cruauté, les privations de territoires, les viols et tueries de masse, n'ont en définitive jamais cessé. Les événements les plus récents, tels que les guerres en Syrie, l'invasion de l'Ukraine, l'évolution actuelle du conflit israélo-palestinien, montrent que la violence inhérente à la guerre, bien qu'encadrée par le droit international, ne semble pouvoir être contenue : les règles de la guerre sont transgressées, les seuils de tolérance sans cesse dépassés.
Au principe de neutralisation forcée de l'adversaire, propre à la guerre et défini comme une finalité tactique, font place les atteintes portées aux populations non-armées. La référence au paradigme démocratique et à l'état de droit nous a laissé croire en l'émergence d'un ordre mondial pour la paix régulé par des normes internationales ; c'est là un des paradoxes de ces deux derniers siècles de l'histoire où les exactions en tous genres se sont multipliées entre belligérants et massivement contre les civils.
Comment expliquer ce paradoxe ? Le livre questionne l'Antiquité et en particulier les civilisations grecque et romaine qui ont connu de manière récurrente les massacres et les violences extrêmes, les ont pensés, les ont mis en récit et représentés, alors même que des règles destinées à contenir les débordements étaient clairement admises, rappelées et invoquées. Il engage aussi un dialogue entre Antiquité et temps présent afin de dégager des spécificités propres à chaque période mais aussi de mettre en évidence des systèmes susceptibles d'éclairer le problème des massacres, des violences extrêmes et de la transgression en temps de guerre.
Au principe de neutralisation forcée de l'adversaire, propre à la guerre et défini comme une finalité tactique, font place les atteintes portées aux populations non-armées. La référence au paradigme démocratique et à l'état de droit nous a laissé croire en l'émergence d'un ordre mondial pour la paix régulé par des normes internationales ; c'est là un des paradoxes de ces deux derniers siècles de l'histoire où les exactions en tous genres se sont multipliées entre belligérants et massivement contre les civils.
Comment expliquer ce paradoxe ? Le livre questionne l'Antiquité et en particulier les civilisations grecque et romaine qui ont connu de manière récurrente les massacres et les violences extrêmes, les ont pensés, les ont mis en récit et représentés, alors même que des règles destinées à contenir les débordements étaient clairement admises, rappelées et invoquées. Il engage aussi un dialogue entre Antiquité et temps présent afin de dégager des spécificités propres à chaque période mais aussi de mettre en évidence des systèmes susceptibles d'éclairer le problème des massacres, des violences extrêmes et de la transgression en temps de guerre.
Depuis les deux derniers grands conflits mondiaux, les actes de cruauté, les privations de territoires, les viols et tueries de masse, n'ont en définitive jamais cessé. Les événements les plus récents, tels que les guerres en Syrie, l'invasion de l'Ukraine, l'évolution actuelle du conflit israélo-palestinien, montrent que la violence inhérente à la guerre, bien qu'encadrée par le droit international, ne semble pouvoir être contenue : les règles de la guerre sont transgressées, les seuils de tolérance sans cesse dépassés.
Au principe de neutralisation forcée de l'adversaire, propre à la guerre et défini comme une finalité tactique, font place les atteintes portées aux populations non-armées. La référence au paradigme démocratique et à l'état de droit nous a laissé croire en l'émergence d'un ordre mondial pour la paix régulé par des normes internationales ; c'est là un des paradoxes de ces deux derniers siècles de l'histoire où les exactions en tous genres se sont multipliées entre belligérants et massivement contre les civils.
Comment expliquer ce paradoxe ? Le livre questionne l'Antiquité et en particulier les civilisations grecque et romaine qui ont connu de manière récurrente les massacres et les violences extrêmes, les ont pensés, les ont mis en récit et représentés, alors même que des règles destinées à contenir les débordements étaient clairement admises, rappelées et invoquées. Il engage aussi un dialogue entre Antiquité et temps présent afin de dégager des spécificités propres à chaque période mais aussi de mettre en évidence des systèmes susceptibles d'éclairer le problème des massacres, des violences extrêmes et de la transgression en temps de guerre.
Au principe de neutralisation forcée de l'adversaire, propre à la guerre et défini comme une finalité tactique, font place les atteintes portées aux populations non-armées. La référence au paradigme démocratique et à l'état de droit nous a laissé croire en l'émergence d'un ordre mondial pour la paix régulé par des normes internationales ; c'est là un des paradoxes de ces deux derniers siècles de l'histoire où les exactions en tous genres se sont multipliées entre belligérants et massivement contre les civils.
Comment expliquer ce paradoxe ? Le livre questionne l'Antiquité et en particulier les civilisations grecque et romaine qui ont connu de manière récurrente les massacres et les violences extrêmes, les ont pensés, les ont mis en récit et représentés, alors même que des règles destinées à contenir les débordements étaient clairement admises, rappelées et invoquées. Il engage aussi un dialogue entre Antiquité et temps présent afin de dégager des spécificités propres à chaque période mais aussi de mettre en évidence des systèmes susceptibles d'éclairer le problème des massacres, des violences extrêmes et de la transgression en temps de guerre.