Les massacres de la République romaine

Par : Nathalie Barrandon
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  • Nombre de pages448
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.656 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-213-67131-4
  • EAN9782213671314
  • Date de parution11/04/2018
  • CollectionHistoire
  • ÉditeurFayard

Résumé

L'exécution en masse des ennemis politiques à la fin de la République romaine illustra un mot inventé pendant les guerres de Religion : le massacre. Au XXe siècle, la destruction de Carthage et les exterminations pratiquées en Gaule par César ont nourri la réflexion sur le génocide. En quoi ces considérations font-elles écho aux perceptions des Anciens ? Dans une analyse inédite des massacres perpétrés par les Romains entre le IIIe et le Ier siècle av.
J.-C., Nathalie Barrandon plonge le lecteur au coeur de ces violences politiques et militaires. Récits littéraires, iconographie ou archéologie éclairent les conditions du passage à l'acte, les responsabilités, les choix opérés (tuerie, pillage, destruction matérielle, asservissement...) et dressent un portrait novateur de la société romaine. Car s'il n'y eut que peu de massacres, ces expériences de la violence de masse participèrent à l'élaboration d'un système de valeurs fondé sur le comportement des élites et leurs vices, donnant peu à peu matière à la figure du tyran.
L'exécution en masse des ennemis politiques à la fin de la République romaine illustra un mot inventé pendant les guerres de Religion : le massacre. Au XXe siècle, la destruction de Carthage et les exterminations pratiquées en Gaule par César ont nourri la réflexion sur le génocide. En quoi ces considérations font-elles écho aux perceptions des Anciens ? Dans une analyse inédite des massacres perpétrés par les Romains entre le IIIe et le Ier siècle av.
J.-C., Nathalie Barrandon plonge le lecteur au coeur de ces violences politiques et militaires. Récits littéraires, iconographie ou archéologie éclairent les conditions du passage à l'acte, les responsabilités, les choix opérés (tuerie, pillage, destruction matérielle, asservissement...) et dressent un portrait novateur de la société romaine. Car s'il n'y eut que peu de massacres, ces expériences de la violence de masse participèrent à l'élaboration d'un système de valeurs fondé sur le comportement des élites et leurs vices, donnant peu à peu matière à la figure du tyran.